42. une goute d'eau dans l'océan de sa vie.

524 28 1
                                    

PVD Scott

je la regarde rire, parlé, évolué dans l'espace et je me demande comment la personne qui était avec moi dans cette chambre d'hôpital, au sol, en pleure peux dégagé autant d'assurance et force moins une heures plus tard. la vision de sa marque reste gravé dans ma rétine, et ses paroles tourne en boucle dans ma tête et je comprend sa haine, sa rage et ses envies de vengeance. je sens deux personnes s'arrête à coté de moi en m'encadrant , je tourne la tête et reconnais Véronique et Fédériqua.

"elle est impressionnante" dis-je tout bas

"et tu ne la connais que depuis quelque semaine..." dit Fédériqua 

"tu n'as jamais épanouie en été en Europe... son pouvoir raillons et apaise toute personne qui l'approche" dit Véronique en tournant sa tête vers moi et me souriant doucement "tu ne connais que quelque goutte de l'océan de sa vie peut être encore courte mais déjà très bien remplie"

"je le sais" dis-je sobrement en reposant les yeux sur elle, assise, les jambes croisée sur le canapé, un cocktail à la main. elle était dans une conversation sur l'écologie et était autant captivé par la conversation que captivante quand elle expliquait des fait et expliquait ses propre expérience. "j'ai peur de n'être moi aussi qu'une goutte dans l'océan de sa vie" en le disant cela deviens réelle et je me rend compte que je me bâterais de toute mes forces pour elle. je sens le regard des 2 femmes sur moi

"intéressant..." dit Fédériqua "la mort te fait peur jeune homme?"

"non mais je ne l'aime pas et tué est une chose horrible et je met un point d'honneur et ne pas tué"

"très intéressant..." dit véronique "c'est une tueuse tu le sais?" j'hoche la tête "et tu reste?"

"oui" dis-je déterminé

"très très intéressant!!!" s'écrient elles ensemble 

"ramène la à ses origines et tu la gardera prés de toi" dit fédériqua en posant son bras autour de mes épaules

"soutien la quoi qu'il arrive, n'essaye jamais de la stoppé, aime la de toute tes forces et sur tout ne la rabaisse jamais jamais jamais" dit Véronique en mettant son bras sur mon épaule comme Fédériqua puis au même moment elles me lâchèrent "va la retrouvé" et elles me poussèrent vers elle

mon corps se choque au sien et j'ai l'impression d'avoir 15 ans dans ses yeux émeraude, mes mains sont moite, je sens un frisson me prend la colonne vertébral, je ne sais plus du tout quoi dire. mes mains ce pose sur ses hanches et je l'embrasse avec tout l'amour et le désir que je lui porte. je me rappelle de la voir chanté, je me rappelle le touché de peau nue. et j'ai l'impression que chaque cellule de mon corps me hurle que c'est pour toujours. elle me rend le baisé et c'est un vrais feu d'artifice à chacune de mes terminaisons nerveuse.

"que me vaux ce baisé?" dit elle un sourire coquin au lèvres

"je t'aime comme un fou c'est tout" dis je en souriant surement de façon niaise

"woooo!" dirent tout le monde

elle rit, rougit et se sera contre moi qui la serra aussi vite dans mes bras. Je me rend compte que ce que je ressens pour elle est 100 fois plus fort que je ressentais pour Allison. D'un coup American Idiote se met à la radio elle saute sur la table et commence à dansé et à crié la chanson comme une folle, certaine fille comme Lidia et Une fille blonde la rejoigne. Au loins je vous le père de Iz faire une mauvaise tête. On rit tous je me sens tellement bien, une grande main se dépose sur mon épaule ce qui me fit sursauté, j'étais tellement captivé par Iz que je n'avais pas vu son père s'approché

La sirène de Beacons HillsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant