Chapitre 3: La petite fille

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Assise dans le froid, mes joue sont rouge, je le vois, dans le reflet du lac gelé. Pourquoi me rejete-t-on? Je ne suis pas si différente. J'ai deux main, deux pieds, deux yeux... je sais parlé et puis je sais écrire et lire. Alors pourquoi? Pourquoi ne suis-je pas une fille comme les autres?

J'ai essayé, mais toujours, on me la répeté, " Vas joué plus loin! Tu pourrai nous blessé!!! " Mais ce n'étais les enfants de mon âge qui ce plaignaient, non, c'était Madame Nervice. La directrice. Oui, je n'ai jamais eu de parents, ou du moins, il n'ont jamais voulu de moi. À vrai dire, je ne sais rien d'eux, mais je sais que s'ils ne sont pas là avec moi en ce moment même, c'est qu'ils m'ont abandonnée. C'est tout.

-Jelena!!! Cris une voix. Jelena!!!

Je me lève, péniblement, et je marche tête basse vers cette voix qui cris mon nom. Arriver au seuil de la porte, je lève légèrement les yeux pour identifier la personne. Madame Nervice, je reconnais ces vielle choisir pointue et recourbé, ce noir parfait ciré la plupart du temps par les autre orphelines.

-Que fais-tu!? Tu sais très bien que l'inspecteur vas arriver dans très peut de temps!!! S'il te vois dans cette état, il risque de me renvoyé!!! Hurle-t-elle.

Je ne répond pas et me contente d'admiré ses chaussure que je n'ai pas,  mes petit pieds nu et sale marche à même le sol.

Elle se décale alors pour me laisser passé, j'avance lentement dans le couloir menant au chambre.

-Tut tut tut! S'écrit la directrice. Non, pas dans ses chambre, il y a beau avoir un inspecteur, cela ne change rien par rapport au question de sécurité! Aller, zou! Sous les toits!

Je regarde alors avec tristesse et envie la porte menant au dortoir chaud et douillés. Puis reprend mon chemin jusqu'au vielle et étroit escalier. Lorsque mon pied puis sur la première marche, celle-ci grince, je soupir alors et les grave toute une à une.

-Voilà, soupire-je. Je te retrouve, ma petite chambre.

Petite, oui, même très petite, je ne peux faire que cinq petit pas en longueur et trois en largeur. Au fond se trouve un vieux matelas craqué, un coussin et une couverture. Je n'ai le droit qu'à une bougie. L'électricité ne monte pas jusque sous les toits. Je me blottit alors dans mon petit paradis. Mon paradis? Oui, pour moi, c'est la meilleure chose que je possède, un oreiller, de quoi dormir.

Soudain, la cloche résonne dans tout le bâtiment. Je redescend alors les marche quatre à quatre. L'heure de dîné? De se douché?

J'aperçois toute les orpheline aligné bien sagement devant la porte du bureau de la directrice. Je me contente de resté loin des regard. Elles me haient toute. Elles m'appellent souvent " le fantôme ", car je suis présente, mais pour les autres je n'existe pas. Parfois certaines d'entre eux essaye de me tenir compagnie, mais on les en empêche. Pourquoi? Parce que je suis dangereuses.

-Jelena.

Je sursaute, je médecin retourne lentement. Leena. Une surveillante de l'orpheliat. Je la regarde, mais ne dit rien. Je sais qu'elle me comprend.

-C'est l'inspecteur. Dit-elle. Mais tu n'as pas le droit de le voir. Je suis désolé, mais ce sont les consigne donné.

Je hoche la tête en guise de réponse. Mais soudainement, la porte s'ouvre un une homme assez âgé apparaît, ils salut toute les orpheline, puis il cherche du regard quelque chose.

-Je voudrai voir Jelena. Dit-il.

Je me redresse subitement. J'avance document près de lui, toutes les filles reculent comme pour évité le danger. Pourquoi veut-il me voir?

HopeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant