Diabolik lovers: sang noir

chapitre II : arrivée

Je m'assis sur mon lit caressant les draps blancs, j'avais vraiment une nouvelle vie. De toutes les fois où j'ai tenté de m'échapper, celle-ci est la meilleure, bien que extrêmement farfelue. Je m'allongeai sur mon beau lit, fermant doucement les yeux. Mais aussitôt, un cri me fit les rouvrir brusquement. Quelqu'un avait hurlé. Je me leva en sursaut et sortis de ma chambre. Ne retrouvant plus le couloir par où j'étais venue, je fonçai à toute vitesse vers l'endroit que m'indiquait mon ouïe. Je trébucha à la dernière marche des escaliers et fini par heurter brutalement le sol. Tous les regards se portèrent sur moi. Les six frères à nouveau réunis étaient accompagnés de deux filles. L'une ressemblait plutôt à ça.

J'adore ses cheveux noirs nattés et ses yeux gris, tellement, tellement... Indescriptibles. Et l'autre, au merde elle sent la niaiserie à plein nez

Elle est plate!
Je me relevait donc et me dirigeai vers elle
- c'est toi qu'on attendait... Fit Reiji en remontant ses foutus binocles.
Je m'inclinai en souriant.
- je m'appelle Storia! Ravi de vous rencont-
- celle ci, elle est à moi! Me coupa soudainement Ayato en tirant la noiraude vers lui.
Laito : non ! Je veux pas la plate!
Kanato : Yui va devenir ma poupée, n'est ce pas Teddy?
Reiji : Ayato, amène Miranda jusqu'à sa chambre, Kanato fait de même
Moi: personne ne gère ce que je dis...
Je me résigne à aller embêter Subaru. J'entre dans sa chambre en courant partout comme une folle.
Subaru : fout le camp!
Moi : non!
Je continue de courir no stress quand il m'attrape et me jette dehors.
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Ça fait mal aux fesses! Je me lève et lui tire la langue. L'imbécile.
Il claque la porte et je sursaute. Je vais dans ma chambre juste à côté.
À peine couchée sur le lit, je m'endors direct.
Je suis réveillé par une masse blonde allongée sur moi. S-Shu! Il est si proche, tellement proche...
Je sais pas quoi faire... Je sens mes joues me chauffer. Il ressemble à un chaton.

Et il est tellement beau. Je vais en mourir. Il ouvre un œil et me regarde
Shu : t'es quand même confortable...
Il couche sa tête sur ma poitrine comme un oreiller. Je frisonne. Soudain, Reiji ouvre la porte et entre.
Reiji : ce n'est pas le moment pour ce genre de chose, il est l'heure d'aller à l'école.
En un battement de cils, ils n'étaient pas plus là et il y avait un uniforme sur mon lit
Woua!

C'est ça le pouvoirs des vampires?