(T/P) (T/N), ultime dessinatrice, allant à son premier jour à l'academie Kibogamine, se retrouve finalement dans une tuerie entourée de 16 autres étudiants qui sont sensés être ses camarades de classes, tant de malchance... Mais pour qui au final?
A...
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J-je, j'ai l'impression d'être un cadavre en décomposition... Je marchai comme un zombie vers la salle de bain, pris des vêtements propres puis pris une douche... Je ne faisais que regarder dans le vide, en réfléchissant à rien. Quand j'eu finis, je m'habillai, m'assis sur mon lit pour entendre une voix que j'aurais voulus oublier à jamais...
*ding dong bing bong*
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Monokuma- Ahem, le comité exclusif de ce voyage de l'Académie Kibogamine a une annonce à faire. . . Boooooonjour, tout le monde! Il semblerait qu'aujourd'hui va être un autre jour parfaitement tropical! Maintenant montrez un peu d'enthousiasme et soyez sur de vous donnez au maximum!
Tellement voulus oublier...
......................
J'ai faim...
Je suppose que je devrai aller à l'hôtel-restaurant.
Je sortais de ma chambre pour aller au restaurant. En marchant je vis Peko passer.
Peko- (T/N)-san, il faudrait que tu ailles au restaurant.
(T/P)- C'est ce que je comptais faire. Dis-je avec un sourire fatigué. Mais tu me cherchais?
Peko- On m'a chargée de la tache d'informer les retardataires qu'ils devaient se rendre au restaurant, il ne manque plus que Soda-kun ainsi que Hinata-kun.
(T/P)- D'accord, alors à tout de suite...!
Quand j'arrivai, il y avait tout le monde sauf Kazuichi et Hajime comme Peko me l'avait dit.
Byakuya-Tu es en retard... Et où sont les deux autres?
(T/P)- J-je ne sais pas je ne l'ai est pas vu depuis hier.
Puis Peko revint et Hajime venu.
Au final, Kazuichi à fuit "quelque part", comme si il était le seul à être dans une situation super bizarre. Je lâchai un soupir d'exaspération et en quelque sorte de soulagement qu'il n'y ai aucun mort. Mais à quoi je penses moi!? Bien sur que personne ne tuera personne! Je secouai ma tête de droite à gauche et de gauche à droite comme une dégénérée, avant de m'arrêter et de relâcher un autre soupir cette fois emplie d'exaspération envers moi-même.