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Chez les Tasaner,

Après la petite visite au début agréable qui se termine en une vraie catastrophe de retour chez lui Burak appeler son frère afin de discuter de la situation.

Oliz: alors comment c'était?

Burak : quand je suis arrivé elle était profondément endormi. J'ai attendu jusqu'à son réveil pour pouvoir discuter. Ça m'a fait de la peine de la voir ainsi. Ça se voyait même qu'elle était dans une dépression totale.

Oliz: et tout ça la faute à qui?

Burak le fusilla du regard avant de répondre son récit.

Burak : quand elle s'est réveillée et qu'elle m'a vu elle a sauté dans mes bras. Comme si rien ne s'était passé. À ce moment-là j'ai su que je ne pouvais plus mais mes sentiments vis-à-vis d'elle. Dit-il sur un ton nostalgique.

Oliz: ensuite.

Burak : on s'est embrassé ,elle s'est excusé un million de fois je crois ,puis nous avons éclaircir les choses. Jusqu'à ce qu'il apparaisse.

Oliz: qui? Pablo ?

Burak : oui. J'ai mis les points sur les i avec lui aussi. Tu ne sais pas à quel point ce gars lourd est lourd. Je lui ai dit que je ne voulais plus qu'il s'approche d'elle mais je ne crois pas qui va céder à ma menace .

Oliz: je pense que tu es allé un peu trop loin en le ménaçant.

Burak : et moi je crois que si continue à s'approcher d'elle, je suis capable de le tuer. Dit il d'une voix lourde de promesses en buvant d'une traite son verre.

Ils passèrent encore quelques heures à discuter jusqu'à ce que son frère s'en aille. Burak décida d'appeler Henri.

Henri : allô ?

Burak : Henri, c'est moi Burak à l'appareil.

Henri: bonsoir monsieur Tasaner comment allez-vous?

Burak : bien merci. Je suis désolé de vous déranger à une heure aussi tardive mais je voudrais que tu me rendes un petit service.

Henri: lequel?

Burak lui expliqua le plan qui flottait  dans sa tête  pendant qu'il discutait avec son frère et il accepta volontier. Car c'était dans l'intérêt de sa sœur.

Burak : d'accord on fait comme ça merci encore Henri.

Henri : je ferais n'importe quoi pour elle merci d'avoir appeler, je vais raccrocher maintenant au revoir. Dit il avant de raccrocher.

Burak se rendit chez Korel tard dans la nuit . Aux environ de 23h et il était même étonné de voir que toutes les lumières  étaient encore allumées.
Il entra dans la maison par la porte de derrière.

Korel était assise dans son lit se posant mille et une question sur le court de son histoire avec Burak et c'étaitévident qu'il ne lui avait pas complètement pardonné. Épuisé elle éteint la lampe et ferma enfin les yeux. Son frère l'avait appelé pour lui dire qu'il viendrait que sa femme avait  piquée encore une crise sûrement dû aux hormones de sa grossesse. Quelle drôle de couple.

Henri: vu que je n'ai plus la clé elle m'a dit qu'elle laisserait la porte de derrière ouverte.

Burak : je suis effectivement elle est ouverte. Je vais te laisser merci beaucoup pour ton aide Henri.

Henri: de rien je compte sur toi.

Burak : ne t'en fais pas. Dit-il avant de raccrocher.
Burak prit les escaliers qui mène et jusqu'à sa chambre. Il ouvre la porte et il n'était pas surpris de voir qu'elle était profondément endormi.
Il était à sa chemise et ses chaussures il se coucha doucement sur le lit pour ne pas la réveiller en encerclant sa taille.

Korel dormait profondément lorsqu'elle sentir tout à coup une chaleur envahir son corps. Prise de panique elle se leva d'un seul coup ce qui lui fallu une chute parterre.

Korel se leva rapidement pour voir la masse qui était poser sur son lit. Sans la pénombre elle arrivait à distinguer cette silhouette et cetait celle d'un homme.
Pensant que c'était son frère.

Korel : Henri, qu'est ce que tu fais ici ?  Dit elle d'une voix endormie. Tu ne devrais pas être en ce moment avec ta femme et ton futur bébé?

Mais il ne lui donna aucune réponse. Elle se mise alors debout et alluma la lampe de chevet.

Korel : Henri..... s'interrompt elle en apercevant enfin la personne qui était dans l'ombre.

Burak qui avait depuis longtemps ouvert les yeux resta silencieux pendant quelques secondes avant de se redresser il s'approchait d'elle  avec sa démarche féline.

Korel surprise de le voir en plus à une heure aussi tardive de broncha pas.

Burak : il fallait que je te vois. Dit il d'une voix irrésistiblement suave et sexy une fois maintenant à quelques centimètres d'elle.

Korel était confuse et appréhendait un peu c'est qu'elle allait entendre. La première question qui lui vient en tête est , est-ce qu'il allait la quitter? Est-ce qu'il voulait mettre fin à leur relation? Ou voulait-il ils soient comme avant?

Korel : pou..pourquoi veux tu me voir.

Burak s'approcha encore plus d'elle.

Burak : j'ai besoins de toi. Cette distance qui s'est  crée en entre nous depuis ton retour me tue ,tu ne peux pas comprendre à quel point je te désire. Dit il avant de l'embrasser fourguesement en la serrant dans ses bras. Elle répondit à son baisé avec passion comme si sa vie en dépendait.

À bout de souffle se détacha de ses lèvres toit en collant son front au sien.

Burak : je t'aime et je ne m'imagine pas un seul moment sans toi, hors de ma portée, hors de ma vue. Murmure t'il contre ses lèvres.

Ému par ces belles paroles, elle laissa une larme couler sur sa joue qu'il vient rapidement nettoyer à l'aide de son pouce.

Burak : s'il te plait ne pleure pas, tu ne sera plus jamais triste à partir de maintenant. Je serai toujours là pour toi, pour te consoler quand tu seras triste, pour te soigner quand tu seras malade, de protéger quand tu auras peur, égayé tes journées chaque jour , à chaque  heure , et à chaque minute.  Je promets de faire tout mon possible pour te rendre heureuse, faire de toi la femme la plus heureuse au monde.

Korel : moi aussi je t'aime. Je suis désolé pour ce qui c'est passé. Dit elle en le prenant dans ses bras, le serrant fort contre elle avec des larmes de joie aux yeux . Je t'aime très fort.

contrat d'enfer tome 2( à la recherche de l'amour)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant