The end

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Passage lemon, si vous ne vous sentez pas à l'aise, passez jusqu'aux petites étoiles !


La tension sexuelle était palpable dans la chambre, nos souffles se mélangèrent, nos habits rejoignent vite le sol et nos corps nus se touchent du bout des doigts. Cameron parcourt chaque centimètres de mon corps avec sa bouche, une décharge électrique me parcourent le long du corps, il me fait toujours autant d'effets. Sa main glisse dans le seul vêtement qu'il me reste et il titille mon clitoris avec deux doigts. Je pousse des soupirs de plaisir, poussant mon bassin pour qu'il continue. Sa langue remplace ses doigts et je sens mon premier orgasme arriver.


Moi : Putain Cam'


Je me laisse aller et atteint l'apogée. Il remonte sa bouche contre la mienne et dépose un long baiser en appuyant son bassins contre mon intimité, son sexe est dur à travers son boxer, il n'attend qu'un chose, être retiré. Mes mains agrippe son dernier bout de tissus et le jette au bout de la pièce. En moins de quelques secondes, je sens son érection dans mon intimité. Il commence ses vas et viens en grognant.


Cameron : Jouis pour moi Cherry


Il n'a pas besoin de me le rappeler, après quelques coups de reins j'atteins mon deuxième orgasme. Cameron se retire et essoufflé, se couche sur moi, la tête entre ma poitrine.


***


Je caresse ses cheveux du bout des doigts, nos corps sont en transe, recouvert de sueur, puant le sexe à plein nez. Mais à cet instant je m'en fous complètement.


Cameron : Tu m'as tellement manqué

Moi : Toi aussi, j'ai fait une erreur de partir loin de toi, loin de Shawn et du groupe

Cameron : Betty est parti le lendemain quand elle a su que tu étais parti, ce n'était qu'une question de vengeance

Moi : L'important est que je t'ai retrouvé


Il relève la tête et m'embrasse tendrement. J'amplifie ce baiser et me retrouve à califourchon sur lui, bougeant mon bassin contre le mien.


Cameron : ¨Prête pour un 2ème round bébé ?

Moi : La ferme Cameron


Je l'embrasse et nous passons une majore partie de la nuit à faire l'amour.


4 heures du matin


La sonnerie de mon téléphone me fait sortir de mon sommeil. Je tâte la table de nuit jusqu'à trouver mon portable, décrocher et le tendre à mon oreille.


Moi : Allô ?

??? : Madame Mendes, c'est l'hôpital


Mes yeux s'ouvrent en grand et je me redresse dans le lit, incapable d'affronter ce qu'ils vont m'annoncer.

With youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant