Chapitre IV : Pew pew pew ! *Boom*

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 Les coups de feux se rapprochaient de plus en plus. C'était des militaires ? Des bandis ? Des tarrés qui font mumuse avec des flingues ? (je penchais pour cette opinion) Quand les flingues arrivaient dans ma rue, j'avais tout de suite compris qui tirait de partout, des militaires qui exterminaient les derniers survivants. Je m'étais caché derrière un bloc de béton  et attendais que la foule armée parte. Deux soldats rentrèrent dans les ruines où je me trouvais et fouillaient la maison. L'un d'eux passa juste devant moi sans me remarquer, j'ai vu proche de moi un couteau de cuisine qui pouvais me servir pour tuer les mecs au flingue. J'attendais qu'il partent de la pièce où j'étais et fonçai prendre la lame. Je me réfugiai dans une armoire (avec encore une fois une nouvelle espèce sur elle) et attendais qu'un soldat passe devant pour lui planter la lame dans sa nuque et lui prendre son arme.  Par chance (après vingt minutes d'attente) un garde passa devant moi. Après une courte réflexion, je sortis brusquement de l'armoire et lui plantais le couteau dans la nuque, ce qui le fit hurler de douleur. Je prit son ARX 160  et m'enfui par l'une des fenêtres de la maison. Des hommes armés m'avaient remarqués. Je courus pour leur échapper mais ils me pourchassèrent  comme des chiens enragés et je me fus retrouver dans le bâtiment du psychopathe.

J'essayais de trouver une cachette (pas évident) et d'utiliser le ARX 160 pour m'occuper d'eux. Après une fouille intense, j'avais enfin trouver une cachette, la même qu'avec le psychopathe, où était le problème ? Il n'y avait plus le cadavre :

-Tu sais ce qui est bien avec les virus ? C'est que suivant quel virus t'a infecté, tu es pratiquement immortel. Me dit le cadavre ambulant.

-Quoi ? Me dis-je, Tes encore en vie ??

-Y a du bruit Là-bas ! Hurla un militaire.

-Hehe, j'aime les virus, et oui, je suis plus jeune que toi, de un ans.

-Et tu compte me faire quoi ?

-Si tu me rend mon flingue, je verrais si je t'épargne, et si tu ne me le rend p...

Le psychopathe se fit interrompre par des sifflements de balles, les militaires nous avaient repérés !  Je fonçai me réfugier sous un bureau (le bâtiment était un bulding), le steampunk lui, n'a pas eu le temps de se réfugier et se fit transformer en bouillie :

-Au revoir, D212... M'adressa-t-il

Je ne compris pas de quoi il parlais puis je vu ce qui me fit comprendre ce qui se passait, un insigne et c'était pas bon, ça voulait dire qu'il était pas de mon côté (même si je me doutais déjà qu'il ne l'était pas). Les militaires approchaient et n'allaient pas tarder à faire la même chose qu'ils ont fait au clown. J'observais mon ARX 160 et compris ce que je devais faire, les tuer. Je me relevai puis commençai à tirer toute mes balles sur eux et en touchai trois sur neuf. Ils criaient de douleur, j'ai très souvent joué à Call Of Duty pendant mon enfance mais je n'ai jamais testé ce que ça donnait en vrai. Je vidai tout ce qui me restait de balle sur les soldats et n'en toucha aucun. Il me restait mon révolver avec six balles, sois une balle par soldat. J'en tira une qui toucha un soldat, une qui en toucha un second, une troisième qui percuta le mur et arriva à vider le reste de mes balles sur les soldats restants. Il n'en restait qu'un. J'observais ce qui pouvait me rester. Il me restais un chew-gum et mon couteau. Je pris mon couteau et le lança sur le soldat, il l'esquiva :

-Mains en l'air ! Hurla-t-il comme un lion.

Je ne savais pas quoi faire, je devais lui obéir ? Essayer de riposter ? Il s'approchait de moi et je n'avais pas trouvé de solution !  J'observa mon ARX 160 vide et frappa le front du garde avec. Il recula de trois pas et me visa avec son FAMAS. J'essayai de détourner l'arme et lui donner un coup de genou dans le ventre, j'y parvint. Je lui enfonça deux doigts dans ses yeux et lui prit l'arme pour lui tirer une balle dans le crane, je n'y parvint. Il me tira une balle dans la jambe, ça faisait atrocement mal ! Je n'avais jamais autant saigné de toute ma vie (sauf la fois où mon chien m'a mordu le bras) ! Je réessayai de lui prendre son FAMAS et n'y parvint toujours pas, il me colla une balle dans l'autre jambe, ce qui me fit tomber. Je rampai pour lui échapper mais il appuya sa botte de combat sur le dos. Je me retourna et vis que il avait un couteau accroché à sa botte, je le prit et lui le planta dans la jambe. Il cria de douleur et mit un genou à terre. Je le fit tomber sur le sol et arriva enfin à prendre son arme à feu et lui tira une balle au dessus de l'oreille. Ca arrangeait un minimum mon cas mais ne changeait rien au fait que j'étais blessé, il fallait que je trouve de quoi me soigner ! Je commençais à me vider de mon sang et ne trouvais toujours pas de quoi stopper l'hémorragie et m'évanoui.  

D212 [En réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant