"Je n'entend aucun bruit . C'est le silence le plus parfait que je n'ai jamais entendu . Je regarde la pièce. Elle est comme je me la suis toujours imaginé. Mais maintenant que je la regarde de plus près , elle est ... elle est plus réaliste . J'ai l'impression que je ne l'ai jamais vu.
Je me sens bien . Dans cette pièce je ne suis qu'une statue . Qui ne bouge pas . Je me sens reposer . Moi qui d'habitude est toujours stresser ou qui pense à quelque chose . Tout ce que je fais pour l'instant , c'est regarder le pièce où je suis et profiter du silence. C'est reposant . J'ai l'impression de retourné en arrière. À l'époque où je n'avais à penser à rien . Ou tout étais plus simple . Pas d'informations de partout de stresse ou de perpétuelle besoin de divertissement . Juste de la chaleur , du silence , des sourires , des champs de blés , le chant des cigales , le piaillement des oiseaux , le bruissement des feuilles . Une compagne calme et reposante . Le parfait endroit pour vivre une bonne enfance . En ville les seuls sont que j'arrive à entendre c'est c'elle des voitures . Repenser à tout ça éveille un peut de nostalgie. Repenser à ça le fais du bien . Continuons de se remémorer c'est beau souvenir . Les sons des voix familier de mon frère , père et surtout de ma mère . Les chemins calmes . L'odeur de la boulangerie. Le croissant chaud , les bon plats fait maison de maman , les competition de pétanque eu vente ville , les banderoles de partout , les quelque rare voiture qui passer devant chez nous . La petite cours pleine de gravier et galet . Cette veille ville où tout le monde se connaissent . Le chemin de l'école qui consisté à juste traverser le trottoir , les heures de sieste que je détester , au que maintenant je les aiment . La trentaines d'élèves de sacrés cœur , les deux seules institutrice dont l'une d'elle était la directrice. Les grand escaliers que j'ai dévaler en roulades avant comme en roulade arrière . Être obliger de dire le nom de la grande ville d'à coter car notre petit village c'est pas connue . Les jours des marcher ou tout le monde hurler dès chose incompréhensible, mais cette bonne ambiance presque familiale. Les longs trajet en voiture durant plus de 3 heures pour aller voir tata habitant à Paris. L'accent du sud et tout ces manières que j'ai oubli en restant dans le nord . Le bon pain Jalouser , la fougasse , les tarte au pignon. Le manger brûler , les BBQ cramer , les mouches volants de partout . Les travaux pratique et la colle lisuide comestible . La chaleur de l'été, la froideur des hivers. Et les aurevoir . Les travaux et leqs réparations , l'auteur de colle neaupres . Les moquette et les papier peint moche . L'odeur de cheminer et le froid constant . L'immense jardin et l'odeur de gazon fraîchement couper . Les chambres partager et l'amusant grenier . La solitude dans le garage noir , le pipi non retenus dans les escaliers . Les premier cours de primaire et la solitude . Les années passant les maisons et les voyage défilant . La petite maison à trois étage , les cauchemars extravagants, le billard de papa , la cuisine bar , et l'imagination débordante qui reste toujours la . Le gentil boucher qu'on appelle cousin , les bonne pizza , le marcher , et les supérettes suprimer par un Monoprix. Les travaux interminables et ceux Durant seulement deux mois . Les rires et l'innocence. L' Ignorance et le policier voleur . Les dalle de classe colorer et le vieux bâtiments . La continues aux collège et les cours de piscine inutiles . Et les au revoir .
Les hormones travaillant et la tristesse aparante . L'impression d'être perdue , ne pas aimer les ville ressente , avoir l'impression que tout est superficiel. Le début de l'adolescence. Le debuts des violence , des isoléments , des groupes idiots ou l'on a pas ça place . Puis dès changement , des amis Marant , des passions en commun , un peut de folie , des adultes bien veillent mais certain énervant . Des maladies , de l'agitation . Mais tout ça sa sert à rien . Et pares il y a des au revoir . Mais n'y pensant pas pour l'instant , ne pensant à rien . Profitant juste de se silence et de la nostalgie , c'est ci rare c'est temps ci de revoir dès couleurs autre que le gris , alors profitant et puis tant pis ."
-le recueille de l'ennuie p 178/179-
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Le recueil de l'ennuie
De TodoVoici un recueil de petite histoire sans liens entre elle que j'écris quand je m'ennuie . Elle n'ont ni contexte , ni suite poir certaine, se sont juste des extraits où vous pourrez vous imaginez le contexte .