Chapitre 3 : réouverture

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Julia

J'ai continuer ma vie, plus ou moins normalement, avec mon oncle Jérémy, comme j'étais très jeune à l'époque, j'avais 8 ans, les événement de cette nuit restaient très flou, peut être que sans m'en rendre compte, je l'avais oublier ? Moi peut être, mais pas mon subconscient, j'avais des cauchemars mais je ne comprenais pas ce qu'ils représentaient, c'était plus ou moins stable, à l'époque j'allais voir mon père très souvent, on l'avait interner, tout le monde pensait qu'il était fou, peut être étais-ce le cas ? Et comme je ne me rappelais presque rien de cette nuit, je pensais qu'il était innocent, quand j'allais le voir, il était assit en boule dans sa cellule et il répétait " c'est eux, c'est eux, c'est eux, c'est de leurs fautes, je suis innocent, je suis innocent" il était détruit mentalement, il ne restait plus rien de l'homme bon qu'était mon père avant, beaucoup quand je fis mes études, m'insultèrent de tarée comme mon père, mais je n'avais pas encore appris la fausse vérité, à chaque fois que je demanda à mon oncle pourquoi mon père était à l'asile, il ne me répondait pas, il me tourna le dos et dit qu'il devait aller se reposer, une fois j'écouta à sa porte, j'entendis des sanglots étouffer et des paroles incompréhensibles, mais un jour quand j'eus 18 ans, il me prit à part et m'expliqua tout,

"tu sais à l'époque je travaillais comme policier, j'enquêtais sur une série de meurtres sanglants, des pauvres familles massacrer, puis votre maison à été piller, mais ton père n'à pas voulus déménager, on s'est un peu disputer à ce propos et c'est alors qu'il m'à tenu des propos étranges, qu'il avait des preuves, qu'il fallait finir cette histoire, définitivement , c'était étrange et assez perturbant et j'ai commencer à craindre pour votre sécurité mais quand nous sommes venus l'arrêter, il avait déjà commit l'irréparable, il avait tuer ta mère et ta sœur, et tu étais la suivante et on l'à arrêter à temps, les interrogatoires et les tests on confirmer nos craintes, il était fort atteint et la meilleure chose à faire était de l'enfermer."

j'étais terriblement dévastée d'apprendre ça, j'allai une dernière fois à l'asile pour dire un adieu à mon père, car je n'allai plus venir le voir, j'essayais de lui parler, de comprendre pourquoi, juste pourquoi, mais il parlais tout seul, comme à chaque fois," ce sont eux, leurs fautes, m'ont pris tout, tout préparer" je lui demanda de qui ils parlaient et là il sembla sensé, la première fois depuis bien des années, quand il me parla, une lueur folle brillait dans ses yeux.

" tu ne te rappelle pas les monstres ?"

" le seul monstre que je vois ici, c'est toi"

" écoute moi, rappelle toi, les monstres, peux plus te protéger d'eux ici, je sais moi,être pris pour fou, même par toi, mais les monstres sont dehors et ils s'arreteront pas, les monstres sont vils et malins, je t'en supplie, rappelle toi des monstres, rappelle toi des monstres."

je courus pour m'échapper je l'entendis crier derrière moi, pas mon nom, il l'avait surement oublier il criait "rappelle toi les monstres, rappelle toi les monstres" et je ne suis plus jamais revenue, plusieurs jour plus tard, j'appris qu'il s'étais suicider, encore un membre de ma famille qui disparaissait dans les ténèbres de la mort, je n'étais attrister comme je pensais que je le serais, maintenant il ne reste que mon oncle Jérémy et moi.

Mon oncle était policier, mais il n'y à une semaine, il s'est fait renvoyer, ça nous à mis dans des pétrins financiers et pourquoi s'est-il fait renvoyer, car il s'est battu avec un supérieur, donc actuellement il cherche du travail, puis un matin il vient me réveiller tout content, m'expliquant qu'il à trouver du travail et qu'en plus c'était bien payer, il était passer là bas et il avait réussit l'entretien et il avait été embaucher il ne me dit rien de plus et il préféra me montrer et m'emmena en voiture, ce fut un trajet calme, on écouta la radio, quand on arriva sur le parking, il y avait une pancarte, employés seulement, on se gara et on descendit ensuite nous fîmes face à la devanture, le nom du bâtiment était en très grand, The New Freddy Fazbear pizza, et en dessous il était marquer, ouvert bientôt, on entra, une odeur de peinture se fit immédiatement sentir, très forte et désagréable, mon oncle me fit visiter les différentes pièces m'expliquant à quoi elles devraient ressembler, une fois finie et me montra les choses intéressantes à voir,

Five night at Freddy Inside demonsWhere stories live. Discover now