Tokyo Ghoul |• JOKER •|

chapitre 13

Après que le coup me fut porter , je ne sentait plus rien , je flotais légèrement haut dessus du sol , je me sentais bien , au lieu d'être paniquer face à ma mort , j'était heureuse j'étais bien , j'entendait la voie de mes parents décéder , les caresses , je pouvait aller dans leur bras , leur raconter mes peine et mes joies qu'ils écouterait avec joie . Mais de l'autre cotes , un corp conduit par la vengeance , pourchacer malmener , un corp que l'on souhaiterait disparu à jamais , qui haujourdhui sans vie pourait très bientôt grâce à mon choix revivre , mais mes parents ou un monde horrible qui n'a que pour but l'enrichissement de chaque êtres vivant , honnêtement , le paradis et le bonheur de la paix était tentant mais , l'appel de ses âmes torturés , par ses colombes ! Cet enfant , hinamie ! Dont les parents fut horiblement tuer ! Ce froid sur mes lèvres , ce vent glacer sur mon corp , l'effort fournis à chaque inspiration , ce mouvement dans ma poitrine ...
Tout bonheur était partis , il n'y a plus la place que pour la haine , le désir de vengeance , la vie revient , lentement mais sûrement , je reprend conscience de mes sens , et je sens comme un léger balancement au rythme d'un moteur , des voix d'homme criant leur victoire accompagner de Ris ... une chanson au rithme de ma mort , je lève ma main , mais elle heurte la patois d'un mur , après quelques minutes de réflexions je conclut que c'est un couvercle , je serait donc dans un cerceuil ? Je pousse le couvercle mes un homme et assis dessus .

Moi: NON ASSER C'EST ASSER .

la colère mevahie , libérant mon kagune qui transperca le couvercle et l'homme au dessus , plus aucun sons , je sors en furie de ma boîte et tout en tournant sur moi même , mon kagune egorgea chaque soldat autour de moi , quelques sanglot par ci par la de la part d'un soldat , mais ils de conclures rapidement par la mort , le camions toujour en marche , j'ouvris la porte , nous étions encore dans une clairière , ici pas de place pour ce cacher, j'ai pris allors l'initiative d'attendre notre arriver en ville .

Quelques minutes plus tard , le centre-ville étais la , plein de lumière et de bruit , de chair humaine et d'ennemis, mais pourtant bourés allié .Je sortis d'un saut hors du camions , je mengoufre dans une ruelle , je me dirige vers le bout , je savait qu'au bout mattendrai une proie , je ne sens aucune presence de goule mais je presse le pas , je sens qu'on m'observe.