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Aujourd'hui à 14: 57

"Wesh Rugge, c'est Lionel. J'voulais dire que... bah j'ai vraiment envie qu'on se voit, en fait... T'es super sexy et tout. Fin bref j'arrive chez toi, bientôt."

Aujourd'hui à 15: 03

"C'est Pasquale, j'te préviens juste que si tu parles du groupement et tout à quique ce soit, t'es mort."

Trois coups retentissent à ma porte alors que mon cœur bat très fort dans mon thorax. Le message de Pasquale me fait vraiment flipper. Qui sait ce qu'il serait capable de me faire ?
Pour celui de Lionel, je ne sais pas ce qu'il va faire mais... j'ai un mauvais pressentiment. D'ailleurs, je pense que c'est lui qui a toqué. Comment connait-il mon adresse ?

Je vais vers ma porte et, après avoir pris une grande inspiration, je l'ouvre. Lionel se tient devant moi, sourire aux lèvres. Il me fait un signe de tête et entre dans mon appartement, sans mon accord.

-T'es tout seul ?

Je ne réponds pas et ferme la porte. Il se retourne vers moi, me fixant d'un regard noir.

-Quoi ?

-J't'ai causé.

-Ouais, j'suis seul. J'habite seul.

Il fronce les sourcils.

-T'as dix-huit ans ?

-Nan. J'me suis fait émanciper.

-Vraiment ?!

Je hoche la tête et me gratte la nuque nerveusement. Ce sont mes affaires personnelles, et je ne vais pas en parler, surtout avec lui.

-Tu me veux quoi ?

-J'sais pas. Un plan cul.

-Je baise pas.

-Si.

Ses lèvres s'étirent, formant un sourire narquois et moqueur. J'essaye de faire genre que tout va bien, mais au fond de moi je sais qu'il est capable de n'importe quoi. Tout le monde croit que je peux baiser avec n'importe qui, alors que ce n'est pas vrai. Je ne l'ai fait qu'avec Valentina, et je ne suis même pas sûr de ce qu'il s'est passé... Si seulement on m'expliquait. Si seulement il y avait un témoin qui...

Mon cerveau fait tilt. Il y avait bien quelqu'un, la personne qui a pris les photos. Mais qui était cette personne ? Ça reste un mystère... Elle ne se manifestera sans doute jamais..

-J'sais que les mecs ça t'attire aussi.

Je secoue la tête négativement mais il s'approche de moi, me plaquant contre la porte qui se trouvait derrière moi.

-Regardes, tu bandes déjà.

Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil en bas, et me sens rougir en remarquant qu'il ment. J'entends son rire raisonner, me faisant trembler.

-C'que tu peux être naïf toi.

Il place ses mains dans mon dos avant de les descendre lentement, jusqu'à mes fesses. Tout mon corps se contracte et je commence à avoir terriblement chaud. Et ce n'est pas l'excitation qui me fait ça.

-T'as un bon p'tit boule toi...

Ma respiration se coupe alors qu'il pose ses lèvres dans mon cou, commençant à le sucer. Je n'arrive pas à bouger. Je suis figé, impuissant. J'ai peur.
Il se colle un peu plus à mon corps et je sens son sexe dur contre moi. Il cesse de sucer ma peau. Qui sait ce qu'il va sucer après...

-T'es bon..

-Arrête...

Je ferme fort les yeux, essayant d'empêcher mes larmes de couler. Il place sa main dans mes cheveux, l'autre étant toujours sur ma fesse droite. Il mord mon lobe d'oreille et le tire. J'ai peur de ce qu'il va faire par la suite. Je ne sais pas jusqu'où il peut aller. Sa langue passe sur mon cou, mon oreille, et il passe ses mains sous mon t-shirt.

-Mmm.. C'est des abdos que je sens là ?

-Lâche-moi...

-Hors de question bébé.

Il soulève rapidement mon haut et me force à l'enlever. Je n'aime pas être torse nu devant lui...
Il commence à jouer avec la chaîne autour de mon cou. Il la tourne, la tire...

-J'aime bien cette chaîne..

Il commence alors à la tourner encore plus, jusqu'à me serrer le cou. Ça me pince la peau jusqu'à me l'ouvrir. Je gémis de douleur alors qu'il aborde un sourire sadique. Mes larmes coulent sur mes joues et ma peur s'agrandit. J'ai juste envie de m'enfoncer sous terre.

-Vas-y, pleure connard.

La chaîne me fait de plus en plus mal au cou, et le regard de Lionel me transperce. Il est si sombre et sadique. C'est horrible. J'ai l'impression d'étouffer, ce qui est sûrement vrai vu l'emprise qu'il a autour de mon cou. Je me mets à tousser, et il recule un peu, relâchant ma chaîne. Je sens alors une libération.

-Évite de me tousser à la gueule.

Machinalement, je hoche la tête et passe ma main dans mon cou. Il me fait mal, je dois avoir de sacrées traces. Mon cœur bat très fort alors qu'il se colle à nouveau à moi. Il commence à embrasser mon torse, puis à mordiller mes tétons. Inconsciemment, mes mains se posent sur son torse et je le pousse en arrière. Son regard devient alors noir, et je comprends qu'il ne va plus y aller doucement.

INSTAGRAM} Ruggero Pasquarelli & SL CastOù les histoires vivent. Découvrez maintenant