Être Aimé ✓

Chapitre 1

Lucien Johnson✔️

"Zut!" Ma mère a crié avec des larmes coulant sur son visage. "Je suis si fatigué de toi! Tu m'avais promis de t'arrêter mais dès que je te retourne dans les rues!" Je fermai la bouche et fixai la fenêtre avec mon poing couvert de sang.
serrés ensemble. Je n'ai pas pris la peine de lui dire ce qui s'est réellement passé. De toute façon elle n'allait pas me croire, elle ne l'a jamais fait.

"Savez-vous à quel point il doit être difficile pour cette famille de garçons de voir leur fils à l'hôpital se battre pour sa vie!?" Elle continue à crier. Je le préviens de cesser de m'agacer mais dès que je m'occupe de lui, je deviens le méchant. Connerie.

"Je suis tellement au dessus de toi, Lucien. Dès que nous serons à la maison, j'appelle ta tante et je suis sérieux cette fois-ci." Je haussai les épaules avec nonchalance. Cette menace ne fonctionnait plus sur moi, elle avait trop abusé de cette menace. Elle rit amèrement, "Tu penses que je plaisante? D'accord, on va voir." Encore une fois, j'ai haussé les épaules. Dès qu'elle s'est garée dans l'allée, je n'ai pas hésité à sortir de la voiture et à me diriger vers notre perron avant.

L'ignorant, j'ai enlevé mes vêtements, jeté un short de basket-ball au hasard et pris mon cul pour dormir.

*****

"Corrige ton visage Lucien", ma mère a grincé alors que nous marchions autour de l'aéroport. J'étais encore en train de traiter le fait qu'elle m'envoyait vivre avec ma tante.

Tout a commencé quand je suis rentré chez moi ce matin, après avoir couru toutes mes affaires, que tout a commencé à partir.

D'un côté, cela ne me dérangeait pas de quitter la Nouvelle-Orléans parce que cela signifiait que je n'avais pas à traiter avec ma mère et que j'avais toujours des ennuis. De l'autre côté, je n'étais pas vraiment impatient de vivre avec ma famille qui pensait être meilleure que tout le monde.

Ma tante, ça ne me dérangeait pas, mais son mari strict et ses enfants gâtés étaient des personnes que je n'étais pas vraiment impatient de voir. Cela fait bien dix ans que je les ai vus pour la dernière fois et je n'étais pas excité de les voir du tout.

"Maintenant, assure-toi de dire à sa tante Sherry que je t'ai dit", dit ma mère en me regardant et en soupirant. "Ne sois pas comme ça, je ne le fais que pour ton bien, Lucien." Connerie.

"D'accord Lucien, c'est là que je termine." Elle arrête de me faire arrêter aussi, "tu ne vas pas donner à ta mère un bon dernier câlin?" J'hésite avant de me pencher doucement pour la serrer dans ses bras. "Tu vas me manquer Luci."

"Tu vas me manquer à maman." Je murmure à son oreille. Vais-je si? Je ne sais même pas. Ce n'était pas comme si elle était toujours avec moi.

Elle se recule, "sois un bon garçon Lucien et ne les dérange pas, s'il te plaît." Elle a plaidé. "Appelle-moi quand tu débarqueras."

Avec un léger signe de tête, je me retournai avant de disparaître pour faire mon enregistrement.

Je passai à travers la sécurité et tout et soupirais de soulagement une fois que je trouvai mon siège assis à côté de la fenêtre et ma chance, personne d'autre n'était assis à côté de moi.

Je me suis assis et relaxé, bien fatigué aussi. Je n'étais pas vraiment un grand fan d'avions. Après avoir vu tous ces avions s'écraser et disparaître dans tous les médias, j'ai juré de ne jamais y entrer, mais je suis là maintenant. Mais ce n'était pas comme si j'avais le choix.

Je me demandais comment ce serait à Atlanta et maintenant que j'étais loin des rues et de problèmes.

C'était peut-être un nouveau départ pour moi, mais cela ne voulait pas dire que j'allais baisser ma garde et être amical ou gentil. Je serai toujours le garçon impitoyable, sans cœur et sans pitié de la Nouvelle-Orléans. Ni plus ni moins.

J'ai senti mes yeux devenir lourds et avant de le savoir, j'étais endormi.

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