Syndrome de Stockholm

XVIII

Adrian- Pourquoi tu me dis sa? Sa te fais peur?
Kono- Oui. Je trouve cela tellement pas normal... c'est bizarre...
Adrian- Et tu ne veux pas qu'on soit différent? C'est ennuyeux d'être comme les autres. Tu trouve pas?

Il releva sa tête et plongea son regard perçant et à se moment la j'ai eu ma réponse. Mon cœur avait percer ma poitrine et je me détester d'être amoureuse de mon bourreau. Mais je le détester aussi qu'il soit si beau.

Adrian- Kono?
Kono- Oui... Tu as raison, c'est bien d'être différent.

Ma réponse le fis sourire, ce sourire qui me faisait craquer littéralement. Je sentis mes joues devenir rouge... C'est dingue mais en moins de deux secondes il vient de remettre mon évasion en question!

Kono- Alors nos « sentiments » ces quoi? De l'empathie ?
Adrian- Non! Je pense pas....
Kono- Tu pense pas ou tu es sur?
Adrian- J'en suis sur. J'ai cette adrénaline quand je te sens près de moi! Je te veux tous les jours à mes coter j'aime te regarder dormir et te caresser les hanches pendant que tu rêve.
Je sais très bien que quand tu a lu ce livre, mon journal, tu as voulu me quitter enfin partir d'ici. Et tu sais pourquoi, parce que tu n'a pas confiance en moi. Mais tu sais quoi je m'en fou.
Kono- tu le pense vraiment? Et pourquoi tu t'en fou!? Dis moi tout Adrian. J'ai besoins de le savoir...
Adrian- Kono ne complique pas la chose s'il te plaît.
Kono- D'accord alors maintenant laisse moi te dire...

Il se redressa pour qu'on soit en face l'un de l'autres et pris mon visage entre ses mains. Il m'embrassa avec tellement de passion il demanda accès à la langue ce que j'accepta sans hésiter. Au fil de notre baiser on se rapprocha beaucoup et il fini par carrément me  toucher. Il s'asseya et moi je m'assis sur lui il agrippa mes fesse et les malaxa. Son sexe était sur ma partie intime. Il me suçota le cou et je balança ma tête en arrière quand il donner des coup de bassins il aller entrer quand je le Stoppa.

Kono- Adrian... anww... stop
Adrian- Kono s'il te plaît.
Kono- Noon annnw stop.
Adrian- C'est ma manière à moi de te dire je t'aime.

Je m'arrêta net et le contempla un moment.
Il m'aime? Ou il a juste dis sa pour me baiser?
Moi aussi je l'aime!? Oui! Ou non c'est peut être de l'empathie. Ou le syndrome qui agit! Je sais plus... Si j'écoute ma tête elle me dirai de tout stopper et de m'enfuir vite. Mais si j'écoute mon coeur, il me dirai de continuer et de tout lui avouer.

Adrian- Kono, Je t'aime. Je t'aime je t'aime je t'aime  je t'aime ! Je pourrai te le dire mille fois.
Kono- Adrian... sa va peut être trop vite?
Adrian- Est ce que tu m'aime aussi?
Kono- Je crois...
Adrian- Tu crois?
Kono- Non j'en suis sûr! Mais j'ai peur Adrian.

Je me dégagea de son étreinte, me replaça en face de lui et regroupa mes jambes au niveau de ma poitrine, je mis ma tête sur mes genoux et ferma les yeux.

Adrian- Arrete d'être triste, sa me brise le coeur. De quoi as tu peur Kono?
Kono- Je suis pas triste... J'ai peur de finir comme toute ces filles... J'ai peur que tu me saute et tu me laisse.
Adrian- Non! Jamais je ferai sa! Je suis peut être une ordure qui suit ses victimes qui kidnappe des filles et j'en passe, mais jamais je ne te ferai de mal. Jamais.

Je sortis du bain qui était devenu froid, et enroula une serviette autour de moi. Je partis dans le dressing prendre une culotte et un soutiens gorge. Je me pavaner en petite tenue dans ma chambre...

Adrian- Tu joue à quoi?
Kono- A rien pourquoi tu dis sa?
Adrian- J'ai envie de toi et tu te balade en sous vêtement !?
Kono- Bah... je suis juste à l'aise je vois pas...

Il me prit comme un sac à patate et me porta jusqu'à sa chambre où il me déposa sur le lit.
Je rigoler tellement fort que sa le fis rire aussi...
sa faisait tellement longtemps que j'avais pas ris ainsi.

Kono- Pourquoi tu m'amène ici?
Adrian- Tu va dormir avec moi!
Kono- Qui me dis que tu ne tentera rien!? Hein?
Adrian- Je te jure que je tenterai rien, puis baiser une meuf qui dort c'est pas mon truc.

J'étais dos à lui et assez espacé pour crée une distance entre nous...
quand je sentis son bras s'enrouler autour de ma taille et me rapprocher de lui pour me coller contre son torse. Je sentais sa respiration contre mon oreille et les battements de son coeur.

C'est dingue mais maintenant je me sentais vraiment en sécurité!

Adrian- Bonne nuit princesse.
Kono- Bonne nuit Adrian.

Ce matin fu doux. Les caresse d'Adrian me réveilla et il me regarder dormir le con!
Je m'étira et mon estomac cria famine.

Adrian- On dirait que ta faim?
Kono- Un peu oui...

Il se leva et attrapa une longue chemise pour moi. Je me leva aussi et il la posa sur mes épaules.

Adrian- On va déjeuner?
Kono- Oui!

On était en chemin pour prendre notre petit déjeuner, on se courrait après en hurlant comme des gamins et sa me plaisait. Jay arriva et fis signe au Maitre de le suivre un instant.

Son sourire disparaît immédiatement et je vois même de la peur traverser son regard.
Qu'est ce qui ce passe?!