Charles Mary

Partie 1

" On ne doit au grand jamais dire ce qui s'est passé ici. " Un garçon, êtes en train de dire c'est quelques mots, alors que l'orage gronder, à ses côtes se tenait huit autres enfants. Le garçon repris la parole est dit " personne ne devra jamais dire... "

Dring, dring, le réveille sonne je vais devoir me levait pour l'éteindre. Humm, ça m'énerve. Tout en me disant ça je pris l'un de mais oreiller et le lança vert le bruit pour qu'il s'arrête. Ça marcha j'étais heureux je pouvais paresser toute la matinée, mais bon, il fallait bien s'en douter je ne pouvais pas avoir autant de chance. Bien évidemment, au moment où j'allais me rendormir, mon téléphone qui se trouver dans mon salon sonna, je pris l'oreiller qui me rester et le mis sur mais oreille pour ne plus l'attendre. Quand il s'arrêta enfin, une personne se mis a sonné excessivement à ma porte, puis entra, je me cachai alors sous ma couette en espérant qu'on ne me trouve pas, malheureusement la personne entra dans ma chambre est me retira la couette que j'avais sur moi toute en me crient dessus.

" Ça va bientôt faire une heure que je vous attend dehors dans le froid, je vous est même appeler mais vous n'avais pas répondu, heureusement j'ai trouvé le double de vos clé cacher dans un pot de fleurs, je vous signale que vous avait bientôt 30 ans est que normalement a cette âge on se débrouille tout seule..." ; la personne qui est remonter contre moi est Rosita mon subalterne, normalement je devrais dire quelle que chose car je suis quand même son supérieure et quelle na pas le droit de me parler comme ça, mais bon c'est ça qui est bien avec elle c'est qu'elle dis toujours se quelle pense alors je ne dis rien. Tous en continuent de me faire la morale Rosita me sort mais vêtement quelle poses sur une chaise avant de me tire de mon lit puis va les récupérait et me les donne.

" Dépêcher vous de vous préparais, il vient dis avoir un meurtre est tout le monde vous attend pour pouvoir débarrasser le corps. " ; puis elle sortit enfin.

" Pff, j'été bien là à rien faire je vais me dépêcher dis aller pour revenir me coucher en espérant que personne d'autre n'ai une envie de meurtre. " ; me disant ça a moi-même pour me motiver un peut. Je sortie de mon lit m'habilla et rejoignit Rosita dehors. On alla à pied jusqu'au lieu du crime, cette un petit bar à côté de la poste qui se trouve au centre du village se n'ai pas loin de chez moi. Une fois arriver, un policier qui se trouver là m'expliqua la situation. Je rentrai dans le bar ou m'attendez les trois suspects, je demandai au policer qui les surveiller de bien vouloir se retirer le temps que je parle avec eux et que j'examine le corps.

Je commençai par le corps, cette un homme de la trentaine, surement un enceint militaire vu les cicatrices qu'il avait sur le village ou sinon une personne peut fréquentable. L'autopsie du corps, faite par les policiers, rapporter qu'il avait était empoisonner. Apparemment, il y avait de l'acide nitrique dans son vers. La personne qui avait dû mettre le produit dans le verre, à surement les mains jaunes maintenant car il devait agir vite et mis une dosse assez forte d'après les donne une vraie haine envers cette personne, ce qui me donné déjà une première piste à explorer. Rosita m'interrompu dans mais réflexion en me tendant un document consternant la vie de cet homme. J'y jeta un rapide coup d'œil et alla vers le suspect pour les interroger. Les suspects étaient le barman, un ivrogne, et un vieillard qui jouer contre lui-même au échec. Je ne pense pas que l'ivrogne et le vieillard n'ai eu la possibilité d'empoisonner cet homme mais a vrai dire leur main non aucune trace jaune. Il ne reste plus que le gèrent de se bar, qui porter des gants m'empêchant de vérifier ma théorie, d'ailleurs au moment où l'examiner il est en train de me parler de ça version des faits, mais cela ne m'intéresser pas. Je rester longuement à regarder ces gants me donnant une impression de déjà-vu. Quant d'un coup, des mots du barman me firent sortir de mes penser.

" Je trouve cela injuste que nous soyons tous là à nous faire interroger alors que se poulet qui se trouve juste là, ne les pas étais. Il se trouver là après tous au moment du meurtre. "