Chapitre 2

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Attention chapitre un peu "violent". je fais mention de suicide. EN AUCUN CAS JE CAUTIONNE CA! Ne le faites pas! Si vous avez des problèmes parlez en, avec quelqu'un de votre entourage ou à quelqu'un de random! mais ne faites jamais ça. La vie vaut la peine d'être vécu même si elle est pourri parfois! Vous ne connaissez pas le futur! et que vous pensez, quelqu'un tient à vous! Moi déjà! Alors s'il vous plait faites attention à vous!

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Rien n'était plus angoissant que le noir qui vous entourait. Il était monstrueusement profond et suffoquant. Pourtant ce n'était rien comparé aux innombrabes paroles haîneuses proféré par les voix de vos amis, votre famille. Chacun d'eux vous accusait de sa mort, chacun vous prouvant par des petits détails à quel point vous étiez inutile, à quel point vous étiez un poids, un porte malheur pour votre entourage. Vous étiez en boule, les suppliant d'arrêter, de se taire. Vous aviez beau appeler à l'aide, personne n'est venu. Les voix étaient de plus en plus forte, de plus en plus froide et colérique.


Puis, vous changiez de décors. Vous étiez sur un toit d'un batiment quelconque, un hopital de ce que vous pouviez en voir. Vous étiez près du bord mais quelque chose vous retenez. Vous saviez exactement de quoi il s'agissait. Pourtant lentement, comme dans un film, vous vous retournez. Il n'y a rien mise à part, un tas de cendre. Un gros tas de cendre monter d'une couronne, une couronne. Vous l'auriez reconnu partout et tout ce qu'elle fait remonter. cela vous coupa le souffle et vous étiez incapable de contenir vos larmes. votre corps se déchirait sous les sanglots incessants. Vous hurliez encore et encore. Vous hurliez les sentiments qui étaient profondement encrer en vous.


Les larmes se tarirent, les bruits disparurent et seul le vide occupez votre esprit. Ils avaient raison, ils avaient tous raison. Vous ne serviez à rien, vous étiez un poids lourd dans la vie de vos proches. Cette constation fit sortir un rire amer de votre bouche, qui sorti plus comme un grognement rauque. Si vous ne serviez à rien, à quoi bon rester. Vous le saviez, c'était de votre faute. Tout était de votre faute. Ils n'avaient pas le droit de patir de vos erreurs.

Vous n'aviez qu'à dispraître. le vide était là, si accueillant, il ne vous jugeait pas, il vous tendait juste les bras. Et les messages rempli de haines et de colère qui ne cessaient d'arriver, ne cessaient de vous pousser vers ce vide si chaleureux. Alors vous prenez votre portable, ignorant les messages continuel, et regardez avec attention les derniers messages que vous aviez eu avec lui. Un pauvre sourire eclot sur vos lèvres. Il était amer, triste, douloureux. vous seriez incapable de sourire comme avant.

Finalement vous le lancez près du tas de poussière. Vous prenez une grande bouffer d'air en regardant l'horizon. La dernière. Vous tendez les bras, comme si vous aussi, vous étiez à prendre le vide dans vos bras. Et puis vous vous laissez emporté par la gravité, un sourire d'acceptance aux lèvres.

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Vous vous réveillez en sueur. Votre coeur bat la chamade alors que votre souffle est ératique. Vous asseyez dans ce qui vous sert actuellement de lit, c'est-à-dire un canapé. Pas très confortable, mais vous ne vous en souciez pas; Rien n'avait plus vraiment d'importance pour le moment. La pièce est plongé dans le noir alors que les restes de votre cauchemar s'impriment dans votre esprit. vous laissez les larmes provoqué par ce songe couler.


Cela fait quelques années maintenant depuis l'incident. depuis qu'il était....qu'il avait.... qu'il était parti. C'est rapidement devenu la déchéance pour vous. Vous n'êtes plus qu'une loque humaine. Si on pouvait vraiment vous qualifiez comme ça maitenant. C'est à peine si vous mangez un repas tout les trois jours, si vous sortez. Vous avez lentement abandonné tout le monde. D'abord Blue, pour ne pas lui faire du mal, puis  papyrus et Cross. Vous ne parlez presque jamais, et seulement par message avec dream. Vous avez besoin de garder contact avec lui avec votre nouvelle condition. Vous étiez maintenant T/P gardien(ne) des sentiments négatifs.


La seule personne avec qui vous n'avez pas perdu contact, est raven. mais là encore, ce n'est que par pur égoïsme. Vous ne restez avec elle que parce qu'elle vous est utile dans vos.... projets. d'ailleurs vous vivez chez elle, incapable de retourner dans votre appartement.


Mais ce n'est pas le moment de penser à ça. Vous chassez, avec beaucoup d'efforts, les derniers restes de sommeil. Preque machinalement, vous vous levez et allumez la lumière. Son intensité vous brûle les yeux mais vous ne vous plaignez pas. Vous avez besoin de ressentir un minumum de douleur physique, pour ne pas croire que c'est juste un cauchemar et sombrer dans la folie. La pièce, qui était un salon mais qui est maintenant votre chambre, est totalement déranger. le sol est juché de vêtements, de paquets de nourriture et de canettes. C'est un vrai dépotoir. Et pourtant la propriétaire ne dit rien, elle regarde juste ça avant de soupirer et de partir, ce qui à le don de vous agacer. Mais vous vous agacez pour un rien. Vos "nouveaux" pouvoirs sont entrain, lentement de prendre le dessus sur vos vrais sentiments. Mais ça personne ne le sait et personne ne doit le savoir.


Vous allez à la cuisine, qui elle, est relativement propre. Vous n'y venez presque jamais. la seule idée de nourriture vous rend malade. Mais cette fois, votre gorge sèche et le goût désagréable qui stagne dans votre bouche, vous oblige à boir de l'eau. Presque inconsciemment, vous utilisez une de vos tentacules, compris dans le paque gardien(ne) des sentiments négatifs, pour prendre un verre dans un des placards alors que vous faites couler l'eau pour qu'elle soit bien fraîche. Vous prenez un grand verre d'eau que vous buvez d'une traite.

Vous déposez votre verre dans l'évier avant de retournez sur le canapé. Il est tôt puisque le soleil n'est pas encore sorti. Et vous aviez un de ces mal de crâne. Vous vous allongez et placez votre bras sur vos yeux, n'ayant pas la force de vous lever de nouveau pour éteindre la lumière.

Alors que vous allez tomber dans les bras de Morphée, vous ressentez une présence. Vous quittez votre somnolence pour mettre tout vos sens en alerte. Il y a une seule personne dans la pièce. Elle s'est assis sur une chaise de la table. Et elle vous fixe. Vous avez une petite idée sur qui pourrait être la personne en question mais vous devez vérifier.

"- Qui est là? demandez-vous d'une voix basse, cassé par le manque de sommeil réparateur.

- C'est moi Mylord(Mylady)."

Pas de doute, c'est lui, c'est Bill. Cet idiot n'arrête pas de vous rendre visite à pas d'heure. Au début, votre haine envers lui et les autres était telle que vous n'arrêtiez pas d'essayer de le tuer. Maintenant la haîne à laisse place au désespoir et à chaque fois qu'il vient, vous esperez juste qu'il parte très vite. C'est d'ailleurs pour ça qu'il prends un malin plaisir à faire durer ses "visites".

Vous ne dégnez même ouvrir les yeux pour le regarder. Il ne le mérite pas. même si à chaque fois qu'il vient, il dit qu'il n'a pas fait ça de bon coeur. et que si vous n'étiez pas déjà pris(e), il aurait bien fait en sorte de vous avoir. lorsqu'il a dit ça, vous ne saviez pas si vous deviez rigoler ou pleurer. Du coup vous aviez fait les deux. vous lui aviez demander pourquoi il venait sans cesse, il a répondu que vous l'intriguiez.

Pour le moment celui-ci se contente de vous fixer. Et vous êtes prêt(e) à parier qu'il sourit. Vous grognez tel un chien mécontent, ce que vous êtes à ce moment là. Votre réaction à le don de le faire ricaner. Vous enlevez le bras qui vous cache la vue, tournez la tête vers lui et le fusiez du regard. Son hilarité augmente.

Il est, comme prévu, assis sur une chaise mais il l'a mise à l'envers pour poser sa tête sur le dossier. Bien évidemment, il sourit avec un air moqueur, toujours vêtu des même vêtements noir et jaune. Si votre situation n'était pas si compliqué, vous auriez pu affirmer avec admiration qu'il avait une certaine classe. Vous gardez le silence devant son sourire qui s'agrandit. Parcontre la lueur malicieuse qui s'est allumé dans ses orbites ne vous rassure pas.

" - Et alors le(la) petit(e) ne dit plus rien?"


C'était des simples mots, une phrase parmis des milliers d'autres. Et pourtant pendant un seconde, un instant fuguace, vous étiez de retour dans ce grand chateau, une chaîne à la cheville, un trône à coté. Et finalement un magnfique squelette au dessus de vous. Vous avez le souffle couper et les souvenirs se mélangent à la réalité. Vous répondez à sa question avec une voix d'outre-tombe.

"- Le(la) petit(e) n'a rien à dire, c'est tout.

Bill a l'air surpris de votre voix, de votre réaction. Mais rapidement son petit sourire moqueur revient.

- Je vois, un souvenir qui remonte hein?

Vous vous reprenez rapidement et vous lui lancez l'un de vos regards les plus noirs. Mais ça n'a pas l'air de lui faire grand chose.

- Oh mais que je suis bête, pour toi, tous tes souvenirs avec lui, sont des mauvais souvenirs.

- Ferme la Bill.

- Oh je t'ai blessé? Vraiment désolé, mais de toute manière, il est bientôt terminer non?"


Vous le regardez suspicieux(euse). Vous savez exactement de quoi il aprle. Mais il n'est pas censé le savoir. Les rares personnes à savoir, à part raven et vous, ne sont pas censé en parler. Puis la réponse vous vient en tête, claire coomme de l'eau de roche.


"- Tu la suis encore n'est-ce pas?

- On ne peut rien vous cacher Mylord(Mylady). Déclare-t-il avec un clin d'oeil ( je sais pas comment il fait '-' )

- Tu es fou.

- Est-ce réellement moi le fou ou toi? Es-tu sûr que je suis là à te parler, que j'existe, que les monstres existent? la folie est une notion relative mon(ma) cher(e).

- Epargne moi ton moment philosophique. Tu es juste un être ignoble à l'épié.

Cette fois, vous avez touché la où ça fait mal. Il n'a pas l'air d'avoir apprécié vos paroles. Mais c'est le cadet de vos soucis. Il se lève de sa chaise et s'approche avant de se pencher sur vous. Vous le toisez du regard.

- Dit moi T/P, qui de nous deux, est l'être le plus ignoble. Tu l'utilise pour tes propres ambitions. Quand il sera fini, tu l'abandonneras comme les autres.


Chaque mots de sa part est un poignard dans votre coeur. vous le savez, pourtant ça fait mal. mais vous ne laissez rien paraître. Vous avez l'habitude de rester impassible face à ce genre de parole. Bill, par contre, semble déterminé ( à tous les attraper!!!) à remuer le couteau dans la plaie. Il se penche un peu plus, et vous souffle à l'oreille.

- Tu n'es pas humain(e) T/P. Tu n'es pas un monstre non plus. Tu es une abomination.

- Mesure tes paroles Bill... Et va-t'en avant que je ne décide de te tuer. On sait très bien comme ça va se finir...


Il soupire et se plante au milieu de la pièce, flottant à quelques centimètres du sol. Son sourire moqueur à repris sa place.

- Oui,oui. Moi presque mort et toi salement amoché. On l'a déjà fait ça!

- Alors dégage avant que je ne change d'avis.

Il soupire de nouveau et une lueur machiavélique brille dans ses orbites. Vous vous tendez prêt(e) à affronter tout ce qui viendra de sa part.

- Je me demande ce que Nightmare penserait de toi maintenant! dit-il d'une voix douce.

Votre corps se tend alors que vous essayez de juguler la vague violence qui vous prend. Vous n'êtes plus que haine et colère. et votre regard le fait bien comprendre à votre interlocuteur. mais il ne bouge pas. Comment ose-t-il pronocé son nom si facilement alors que vous e^tes incapable de le dire en penser sans vouloir tout détruire. Vous serrez votre poing, qui vous démange grandement.

- Je t'interdis de prononcer son nom comme ça. dégage d'ici. Maintenant. Sinon je te transforme en poussière."


Bill ne se le fait pas dire deux fois et disparait une élégante révérence et un Mylord(Mylady). Une fois sûr(e) qu'il ne reviendrait pas, vous soufflez pour faire dispaître toute la tension accumulée dans vos muscle. Cela prend du temps car il faut que la colère et la haine diminue, ce qui est plus facile à dire qu'à faire.

C'est à ce moment là, que Raven arrive dans la pièce. Elle est déjà habillé, tout en noir parce qu'elle se sens à l'aise. la brune est surprise de vous voir debout mais ne fait aucun commentaire; Elle déjeune avant de vous avertir qu'elle va au(en) boulot(cours). Elle rajoute qu'elle a reçu la dernière pièce ce matin et qu'elle la montera ce soir. Je la remerci et elle me répond par un sourire. Si seulemtn elle savait que ce merci n'est rien d'autre qu'un mensonge.


Le reste de la journée, vous faites mon boulot de gardien(ne) tout en restant là où vous êtes. Rien de très palpitant. Vous distribuez des mauvais sentiments; car les bons n'existeraient pas sans les mauvais. Lorsque le soir tombe, Raven revient. Elle fait à manger et comme tout les soirs depuis que vous êtes ici. et comme tout les soirs, vous lui répondez que vous n'avez pas faim.

raven termine à peine de manger qu'elle va dans la chambre d'ami. Et elle y reste toute la soirée et une partie de la nuit. Pedant ce temps, votre impatience augmente. Vous n'arrêtez pas de faire des aller-retour dans la pièce. Rien, ni la télé, ni votre téléphone, ni les aiguilles de l'horloge n'arrivent à vous faire penser à autre chose. Lorsque la brune revient, elle n'a pas le temps de dire un mot que vous vous précipitez dans la pièce.

la pièce est un bordel énorme. Pleine de pièces métaliques désséminé un peu partout et vous ne regardez même pas les trucs super pousser qu'il y a aussi. Votre regard est attiré par la forme allonger sur le lit. C'est dans ce genre de moment que vous auriez accepter de pleurer mais rien. Vous pouvez juste vous affler à côté du lit. Inconsciemment, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde,  vous caressez le visage de la forme. Son visage est froid, il ne vit pas encore mais ça ne devrait pas tarder. Il allait revenir.

Nightmare allait revenir... Et c'est tout ce qui importe.

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 24, 2019 ⏰

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Et tu ne t'en réveillera jamais T2 [ NightmareXReader]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant