Un regard, une sensation, ...

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Ces yeux parfais , incroyablement séduisant et effrayant à la fois , je n'ai jamais eu la chance de croiser ce regard si envoûtant, je ne suis pas la seul à avoir remarqué ces yeux noisette qui parcoure du regard la cafétéria bondés d'étudiant, mais je l'observe quand même priant que je ne me fasse attraper et pourtant un sentiment d'excitation rien quand pensent à son regard qui s'accroche au mien pendant quelque secondes, quelque minutes. Il a le don de me faire ressentir toutes les émotions possible en le regardant simplement, fixement, jusqu'à que mort sans suive. Par mort je veux dire discutions de mes amies qui me coupe dans ma rêverie, ou plutôt de ma seule amie, Anda:
- Encore lui, tu veux pas trouver mieux sérieusement, je sais qu'il est hyper beau, ténébreux et autre mot que les autres filles emploi mais franchement mon livre est toute aussi mystérieux et intéressant !
- Je sais And mais j'y peux rien mon regard est attiré par un truc ténébreux comme tu dis, enfin bon je finis mon sandwich et je vais aller lire dehors vu qu'il fait beau, tu viens avec moi ou pas ?
- Euh je sais pas, je vais voir Eddy a l'association théâtre peut être après quand j'ai finis
- Ah Eddy dis-je en lui fessant un clin d'œil
- Oh arrête, on est juste très amie, enfin je crois rétorque Anda perturber
- Mais oui bien sûr répondis-je en rigolant
Je releva ma tête pour observer And avec les joue rouge , j'éclate de rire on dirait qu'elle a fait un 100 mètre
Quelque personne n'ayant aucune autre chose d'intéressante à regarder, m'observe alors j'en fixe quelqu'un pour leur faire comprendre qu'il n'y a rien à voir, il y a donc une vague de personne qui se retourne d'un coup. Je lève alors la tête vers « yeux noisette », nos yeux se croire, nos regard se mélange, je sens alors comme si j'avais avaler des papillons et qu'ils volais dans mon ventre, mon cerveau est débranché pendant une à deux seconde, le temp est en suspend au dessus de nous, je vois dans ses yeux un jeune homme simple et gentille cacher sous une épaisse couche d'orgueil et de maîtrise de soi et de sa vie, un homme assez original avec une vie des plus banales, mais je lis aussi son nom, Léo, la dernière chose que je comprend dans cet vague de sensation et quittant alors la transe dans laquelle j'étais plonger. Je baisse alors la tête sentent mon crâne affluer de sang, ma respiration accélérée se calme progressivement .
- Tilla ça va tu es blanche comme un linge ?
- Oui oui ça va, répondis-je essoufflé
Je ne jette pas un regard à ce sois disant Léo et vais poser mon plateau et part aussi vite que possible dans le petit jardin derrière l'université.
Je m'allonge dans l'herbe verte et respire
profondément.
« Léo » résonne dans ma tête, je suis vraiment en train de devenir folle je paris que ce n'est pas du tous son nom.
Et pourtant ça lui irais tellement bien et ça replacerais « yeux noisette » .
Je sors alors de mes pensées entendent un bruit je regarde autour de moi me relevant un peu pour observer les alentours. Beaucoup d'agressions on été recensés en ce moment , j'ai pas envie d'être là prochaine sur la liste des victimes . Et derrière un buisson je vois alors un chat sortir des branches , un chat aussi noir que la nuit, avec un pelage qui luisais au soleil et des yeux d'un bleu surnaturel. Je vois qu'il s'approche de moi et commence alors à se frotter à ma jambe. Je n'ai jamais vu se chat ici et pourtant ce jardin est mon endroit secret enfin avec And qui viens quelque fois me tenir compagnie pendant mes moments de lecture et de détentes sur la pelouse . Je regarde alors ma montre et me rend compte que je devais passer à la bibliothèque avant les cours je me lève alors et marche en direction du couloirs menant à la salle de lecture et de travail .
J'ouvre la porte à la volée ce qui me vaut le regard noir de Mme Brogi , la bibliothécaire . Je me presse vers le fond de la salle passant entre les étagères et trouvent enfin la corbeille , marchant vite pour l'atteindre je n'ai pas vu qu'une autre personne allais dans la direction de cette corbeille. Et donc le voilà par terre après mettre taper la tête contre la crâne de la personne non identifier pour le moment ...

Lion Où les histoires vivent. Découvrez maintenant