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Ton cœur.
Il bat, il battait fougueusement.
Il était en compétition contre la mort, il continuait de battre.
Malgré tout, il était trop rapide.
Mais il avait peur, peur de la mort.
Tes yeux fondaient en larmes
Tu ne pouvais rien y faire, la maladie était incurable.
Tu étais attaché à différents fils et appareils,
Les machines qui t'encourageaient à vivre.
Pourtant, qui était près de toi ?
Qui te tenait la main ? Qui pleurait pour toi ?
Où sont-ils ? Que font-ils ? Morts ? Vivants ?
Sans sentiments, sans chagrin, aucune personnes présentes.
Tu mourras.
Tu mourras de tristesse,
De haine, de solitude..
Tu étais énervé et tellement triste
À la fin du parcours, tu es tout seul et tu le resteras.
Pour rejoindre ce ciel, tu dois y parvenir seul
Alors, ton âme s'envola
Ton au revoir définitif au monde cruel dans lequel tu essayais de vivre.

AmertumeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant