IV

49 30 22
                                    

L'écho de son rire résonne encore dans ma tête.

Je pense à elle et je me sens seul dans la fête.

Tout devient flou comme si j'étais déjà parti,

Loin de ce bouge infernal qu'on appelle la vie.



Je me retrouve là, souffrant et agonisant.

Un chagrin d'amour qui persiste depuis trois ans.

Le même visage qui me hante jour et nuit.

Dans mes rêves je nous vois dans Paris.



Oh on danse, on danse dans la nuit pâle.

Oh on s'aime, on s'aime, comme c'est banal.

Puis je me réveille, et je vois.

Ma solitude, mon désarroi.



Chaque matin plus triste que le précédent.

Chaque jour plus terne, chaque jour plus lent.

Si seulement elle m'aimait.

Si seulement elle m'aimait.

RienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant