PARTIE 22 ✨

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PARTIE 22

Mon pouce me dit que se soir du sang va couler ...

Quelque heure plus tard je reçois un appel de Lesko .

Moi : Alors ?

Lesko : C'est bien lui le traître chef .

Moi : Kidnappe sa mère et met la dans le sous sol .

Lesko : Ok chef .

Bip bip bip je raccroche.

Hum alors se petit Batard me faisait croire que sa mère été malade, qu'elle avait le cancer et tout ?

Bon bah elle va vite l'attraper son cancer avec moi ..


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               DANS LA PEAU DE ZAYA .



J'étais toujours avec Farah dans cette petite cabane. On se racontait un peu se qui c'était passé récemment.

Moi : PUTAIN FARAH ARRÊT DE PETER TU PUS DU CUL !

Farah : Krkrkrkrkrkr désolé j'ai des gaz !

Moi : Bah retiens tes gaz dans ton cul la sa pu et on est enfermée dans une petite cabane .

Farah : Et Zaya ta entendu le bruit ?

Moi : Quel bruit ?

Farah : Je crois qu'il y a quelqu'un derrière la porte qui nous écoute .

Moi : Arrête t'es connerie tu me fais peur là.

Farah : Non wallah je suis grave sérieuse .

Puis d'un coup la porte s'ouvre violemment.

.. : Vous croyez vous êtes ici pour bavarder ! ?

Moi : Farès ? C'est toi ?

Farès : Ferme ta guelle toi ! Tu n'as pas le droit à la parole traîtresse.

Moi : En quoi je t'es trahi ?

Farès : Tu fais parti du camp ennemi .

Moi : Quand j'étais dans la merde c'était pas toi qui était là pour moi !

Farès : Je t'es demandé de parler ?
Toute façon tu va bientôt te marier !

Moi : Quoi ? Et oui ta raison .

Farès : On a pas demander ton avis . Je te préviens aujourd'hui c'est les fiançailles . Ta juste à dire oui à tout ta compris?

Moi : Non !

Farès : Continue à faire la Warriors et c'est ta  copine qui prendra pour toi .
Je vous préviens Farah tu seras à côté de moi . Je vais placer une arme derrière ton dos un seul faux mouvement ou une seule mauvaise parole et je tire . Et c'est pareille pour toi Zaya !

Il nous fait sortir de la cabane et il nous conduit à la maison. Nous étions dans une chambre où il y avait des robes arabes .

Farès : Vous avez dix minute pour vous habiller . Et croyez pas hein ! Il n'y a pas de maquillage ou de coiffure .

Moi : Mais attend tu joue à quoi ?

Farès : Je t'es demandé de parler ? Non.

Puis il sort en claquant la porte .

J'avais mis cette robe .

Puis Farah celle là

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Puis Farah celle là.

Farès entre dans la chambre puis charge son arme et la pointe sur Farah

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Farès entre dans la chambre puis charge son arme et la pointe sur Farah .

Farès : Un faux mouvement, une parole mal placé , et le chargeur sera déchargée .

On avance en direction du salon, j'allais enfin pouvoir voir qui est l'homme avec qui ils vont me marier !

J'avance puis je vois une dame âgée accompagnée d'un homme qui devait sans doute être son marie et une fille qui devait être leur fille .

Nous avançons puis ils viennent nous saluer.

On faisait connaissance c'est une petite famille toute gentille .

Le monsieur : Mon fils va bientôt arriver .

Son fils etait celui avec qui je devais me « marier » .

Moi : D'accord .  Vous êtes ses parents ?

La dame : Non et oui .

Moi : Comment ça ?

Le père : Il n'a pas de parent. On est les parents de son ami et il nous a demander de jouer le rôle des parents pour le mariage religieux vue qu'il n'a pas de famille..

Moi : Ah ! Je suis désolé .

La mère : Mais si tu es sa future femme tu étais censée le savoir !

Je regarde Farès qui me fait montrer discrètement l'arme .


Moi : Euh.. enfaite ce sujet nous l'avons pas vraiment abordé.

La mère : Comment êtes vous rencontrer ?

Moi : Euh.. bah..

... : C'est la cousine à Farès et il me l'a présenter .


Cette voix ! Je l'a reconnais . J'avais peur de me retourner. J'avais peur de faire face à la réalité.

Le père : Ah le voici mon fils Naïm !

Naïm .. Alors c'était donc sa son vrai prénom . Il s'avance vers moi et me tend la main .

Je lui serre la main mais il l'a compresse pour me faire mal . Je lève les yeux pour faire face à son regard si dur .


  Cet homme, vous le connaissez, c'était ..

                      Le diable !


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           By @Couscous_Harissa

Excusez moi pour le retard les filles ! Je vais me rattraper .

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