Dangereusement tienne

Chapitre 3:

(Mayson en média)

-je... ba en fait...

-Et si tu commençais par me donner son prénom, me coupa ma mère en voyant que je ne pouvais pas placer un mot devant l'autre correctement

-il s'appel Mayson

-Mayson comment?

-mayson Rodriguez

-tiens, se nom La me dit quelque chose

-des Rodriguez y en a partout

-oui c'est vraie ta raison

-je peu aller dormir maintenant?

-non, il manque encore quelque chose?

-ha oui, quoi? Demandais-je intriguer par ce qu'elle allait me dire

-on le rencontre quand?

-on qui? Demandais-je

-moi Et ton père, répond-elle comme si c'était une évidence

Je failli m'étouffer avec ma propre salive.
ma mere qui voulait rencontrer Mayson sa pouvait passer mais mon père, ho sa non. C'est l'homme le plus jaloux Et impulsifs que je connaisse alors si je le présente à Mayson je suis sur a 99,9% que sa ne ferra pas bon ménage.

-pa...papa, tu veux que je le présente à papa

-oui, ou est le problème

- ho rien hormis  le fait que c'est papa, dis-je ironiquement

-détend toi Malya, ton père n'est pas un monstre

-peut être mais en présence de Mayson il pourra le devenir

-ne dis pas de sottise, Et de toute façon je saurais le canaliser, je veux juste le rencontrer Malya je ne te demande pas la lune

-ok, soufflais-je en manque d'argument pour essayer d'éviter l'inévitable

-samedi prochain sa te va?

-oui, je le préviendrais

-ok super, bonne nuit chérie

Elle m'embrassa le front et me laissa enfin partir, je n'avais même plus sommeil maintenant.

Je monta dans ma chambre mis mon pyjama et m'allongea dans mon lit, aujourd'hui nous sommes jeudi donc il n'y a que 3 jour qui me sépare de cette fameuse rencontre, super.

Après avoir passer la moitié de la nuit à penser à la façon dont j'allais annoncer sa à Mayson je me suis endormie

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-à ton avis elle dort?

-oui, on devrait La laisser dormir

-non t'es fou

-alors on fait quoi??

~~~

-A L'ATTAQUE, crièrent mes deux petits frère en m'aspergeant d'eau provenant de leurs nouveaux pistolet nerf

-haaaa!! Criais-je en me redressent rapidement, vous êtes de gros malades

-on sait, firent-ils en même temps

-je vais vous tuer

-maman, maman!!

Ils sortirent de ma chambre a l'unisson pour dévaler les escaliers, bon au moins je suis bien réveiller.