Lenfer de lamour.

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Les jours passaient, les disputes aussi
Avant j'allais à la bibliothèque avec quelque amies, maintenant j'y vais toujours, mais avec des lunettes de soleil sur le nez.

J'avais de la chance que l'on étais en été je n'osais pas montrer mes bleues, mes cicatrices sur mon visage a mes amies. J'avais peur du jugement. Et puis même, elles allaient me dire de partir, de le quitter, mais moi j'en avais pas envie. Je l'aimais tout de même mon cheri, malgré ses coups violents qu'il me donnais sans cesse, je l'aimais.

Il a vécu beaucoup de choses dans sa vie, je peux comprendre. Je lui pardonnerais tout.
Je n'ai juste qu'au... je sais pas moi être d'accord avec lui à chaque instant. Et puis même si je partirais, j'irais avec qui ? Il me répète sans cesse que personne ne voudra de moi. Que j'ai de la chance de l'avoir, car sans lui je ne serais qu'un pauvre fille à la rue. Que personne ne s'intéresse à moi, que je suis tellement laide pour Qu'un autre homme veulent se marier avec moi ni même apprendre à me connaître. Alors dans tout les cas je n'avais pas le choix.

Le soir je rentra avec le repas, un petit plat thaïlandais dans le resto du coin. Il me dévisage, et pars regarder la télé. Il ne faisais plus attention à lui, il ne se rasais plus, il négligeais son habit et sa coiffure. Il mangeais des mauvais aliment pour lui et buvais mais buvait.

J'étais trop aveuglé par l'amour que je m'en fichais . Je l'aimais .
Plus tard, il voulais "s'amuser" avec moi, mais j'étais fatiguée je lui dis non. Il insista. Je répète non à plusieurs reprises mais il devenais de plus en plus violent et autoritaire. Je le repoussa hors de la chambre claqua la porte quand soudain. CLAC ! Il l'a re ouvra, je me glissa dans le lit hurlant, il n'a jamais été comme ça. Il commença à venir plus près montant sur le lit juste en face de moi, prenant mes poignets et les coinca contre les barres du lit, me laissant aucune chance de m'enfuir. Il commença à baisser son pantalon mais mais.. je n'en avis nullement envie..
je criais, essayais de me débattre de tout mon cœur. Pleura de toute mes larmes..

Quelque minutes après il re partait. Toujours agacée. Moi j'étais encore tétanisée, choquée, pleurant tellement que je ne voyait plus rien autour.

Avait-il abusée de moi ?

Frappée par mon mari.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant