Je ne suis pas responsable ! J'ai écrit ce Dumbledore/McGonagall en cadeau !
Personnellement je suis pour le Grindledore.
Ça parle de sexe. Pas de lemon ( j'entends déjà vos cris de frustration, muahahahaha) mais les jeunes âmes innocentes (ça existe encore ?) n'ont rien à faire ici.
Ah, et comme je suis une yaoiste bien atteinte, j'ai pas pu m'empêcher de placer un petit SB/SR/RM donc ennemis des gays, prenez garde...
D'ailleurs je vais sortir bientôt une fic sur ces trois là, qui s'appelle « Trois contre la Mort ». Il y aura 3 chapitres, le premier est déjà écrit et publié sur Hpf, si vous le voulez en avant première ! Bonne lecture !_____________________________________
Le professeur Rogue allait rentrer dans sa salle de potion, quand il entendit des bruits suspects. Espérant prendre des élèves la main dans le sac, il entrouvrit délicatement la porte, et tomba sur un spectacle horrible. Choqué à vie, il lâcha la poignée de fer forgé , laissant la porte s'ouvrir dans un grincement de mort.
A l'intérieur, Albus Perceval Wulfric Bryan Dumbledore, et Minerva McGonagall procédaient à ce qui ressemblait à un prélude à l'accouplement. Prise littéralement la main dans le sac, la vielle femme rougit, repoussa son compagnon et lissa ses vêtements d'une main fébrile. Le vieux fou, quant à lui, sourit malicieusement, et dit au professeur, qui était resté dans l'encadrement de la porte, la bouche ouverte et les yeux écarquillés au point de pourvoir tomber de leurs orbites :
- Voyons, Severus. Tu n'es pas innocent ! Je ne citerais personne, pour nous éviter des images mentales qui nous ferais à coup sûr perdre toute envie pour plusieurs jours, mais tu n'es pas le dernier pour ce genre de choses !
- Moi au moins je le fais avec discrétion, et avec des hommes qui ont une apparence un tant soit peu désirable !
- Comment osez-vous, Severus !
McGonagall était outrée de tant de vulgarité.
- Ma chère, vous êtes décidément pleine de contradictions ! Vous adorez...
- Hum-hum. Je me permets de vous interrompre avant de me donner la nausée plus que je ne l'ai déjà, mais je préférerai que vous déguerpissiez d'ici afin que je puisse m'adonner à certaines activités à but sexuel en toute tranquillité avec mes amants, qui attendent eux aussi derrière moi, sachant que je n'ai pas eu l'occasion de retrouver ces deux hommes depuis de nombreuses années.
Voyant que le deux vieux ne bougeaient pas, il réitéra avec plus de véhémence.
- Si vous n'aviez pas compris, ça voulait dire cassez-vous je veux baiser ! Avec Sirius et Remus qui vous ont vus aussi ! Ça va bientôt faire 13 ans que j'ai pas eu de véritable orgasme ! En plus vu le passé de Maraudeurs de merde...
- Sev' ! Un minimum de respect !
- Désolé. Donc, avec le « passé tumultueux » de ces deux-là, ça ne m'étonnerai pas qu'ils aient pris des milliers de photos et de vidéos de vous deux en pleine séance de préliminaires.
Sa voix s'était faite doucereuse, mielleuse, et les deux imbéciles qui avaient cru bon de s'envoyer en l'air dans la salle du maître des potions de Poudlard -aussi appelée chauve souris des cachots, monstre graisseux, ou proie diabolique, ce dernier surnom venant bien évidemment de Sirius- comprirent vite qu'ils devaient filer avant de se voir affichés sur tous les magasines du monde.
Ils s'enfuirent en courant, malgré leur vieillesse ils n'étaient pas rouillés. Ils riaient comme deux adolescents, tout en se remémorant le début de leur relation, dans cette même salle de potion, des vingtaines d'années plus tôt.
À cette époque, Albus était jeune et séduisant -c'est difficile de le croire en le voyant comme ça, mais il était plutôt pas mal- et Minerva avait beaucoup moins de rides, même si elle restait tout aussi sévère. En effet, ils avaient 10 ans d'écart et ne s'étaient donc jamais croisés durant leurs années d'école. L'année où la professeur de métamorphose fut intégrée à son poste, n'ayant que faire de cette différence d'âge, le fringant pas-encore-directeur-à-ce-moment-là se mit à lui faire assidûment la cour.
Les deux vieillards s'arrêtèrent de courir, en sécurité. Légèrement essoufflée, McGonagall demanda à son amant :
- Tu te souviens, quand tu m'avais embrassée pour la première fois et que Slughorn nous avait interrompus ?
- Bien sûr ! Tu était intarissable sur le sujet pendant des semaines après ça ! Tu en as même parlé à Sibylle ! Heureusement que personne ne la croit jamais, sinon on aurait été démasqués dès le début...
- Oh oui ! Mais d'ailleurs, pourquoi se cache-t-on ?
- Hihihi !
- Qu'est-ce qu'il y a encore ?
- Tu as dit cacheton !
- Tu es irrécupérable... mais c'est comme ça que je t'aime !
- Au fait, si on se cache, c'est parce que tout le monde émettrait un jugement.
- Ah oui...L'année suivante, Minerva refusa d'enlever une heure de retenue à Blaise Zabini, malgré l'insistance de Rogue, alors que le motif de la punition était « a embrassé Ronald Weasley avant d'entrer en classe », chose qu'elle avait pris pour une agression sexuelle. Or, les deux jeunes hommes étaient en réalité en couple et l'avaient annoncé le matin même.
Le lendemain matin, la Grande Salle, Poudlard, l'Angleterre, le monde sorcier dans son entièreté était paralysé devant la photo de la sévère professeur de métamorphose de Poudlard et du directeur dudit établissement d'éducation magique, en train de se déshabiller mutuellement, leurs bouches parfaitement soudées, qui s'étalait à la première page de tout les journaux sorciers de la planète. Au dessus s'étalaient des légendes aussi diverses que « La sex-tape McGonagall/Dumbledore : la perversité du sexe chez les plus de 150 ans » ou bien « Scandale à Poudlard : Dumbledore et McGonagall bientôt destitués pour outrage à la pudeur et atteinte à l'innocence de mineurs (et du monde sorcier dans son entièreté par la même occasion) »
FIN
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La salle de potion
FanfictionLe professeur Rogue va pour rentrer dans sa salle de classe... quand une vision horrifique le fige sur place