Michael avait souvent l'habitude de passé dans cette rue, il l'emprunté pour allé au lycée, pour rentré chez lui et allé en ville, cette rue donnais accès à la plupart des éléments de la ville alors il lui était naturel d'y passer, comme à beaucoup de personne, comme par exemple son meilleur amis, George, ils était amis depuis très longtemps, à tel point qu'ils se considèrent comme frère, une complicité comme rare les lié.
George et Michael allé donc au même lycée et dans la même classe, ils passait donc par le même chemin et donc par cette fameuse rue ou touts le monde passe, sauf à quelques rares exception, par exemple quand l'un des 2 était en retard ou malade.
Mais malgré que tout le monde passe par cette rue il arrive tout de même que Michael soit le seul à la prendre, comme si lui seul connaissait l'existence de cette rue, sauf qu'a chaque fois il y avait un homme appuyé contre le mur qui attendais, Michael ne le savait pas et s'enfichait, il était rare que cela arrive, et pourtant...Ce jour là était l'un de ces jours, et Michael ne se doutais pas que ce jour ainsi que ceux qui suivirent allé changer sa vie pour toujours.
Ce jour là, Michael prenait cette fameuse rue ou tout le monde passé,si ce n'est que ce jour là il n'y avait personne, George avait pris de l'avance et ne pouvait donc pas accompagné son compère, et comme a chaque fois qu'il prenait cette rue seul, il y avait cette homme qui attendais, Michael passa devant sans le regardé, mais au moment précis ou il ne fût plus dans son champs de vision, cet homme surgit derrière lui et l'étouffa, Michael senti son cœur battre et battre comme jamais, il avait l'impression de mourir, d'autant plus qu'il senti les doigts de l'homme se serrai de plus en plus, il essaya de ce débattre mais rien ne fit, après un court moment qu'il lui sembla une éternité, Michael évanouie...
Michael ce réveilla avec un mal de crâne qu'il ne put décrire, il avait du mal a respirer et avait la vision trouble, il tenta à plusieurs reprise de parler mais sans sucés à cause de son souffle, il prit néanmoins le temps de regarder autour de lui et vis qu'il ce trouvé dans un endroit qui lui sembla un bunker, un grand bunker sombre et sale de vieillesse et pleins de poussière, avec une échelle qui donna sur une porte imposante et lourde. Michael fini par retrouver son souffle après plusieurs minutes mais ne pouvait toujours pas parlé, il n'y arrivé pas, et quand il essayer cela lui tiraillé la gorge. Au bout d'un moment il entendis la porte s'ouvrir, il ce retourna et observa un homme y entrait et referma derrière lui la porte.
Michael savait qu'il s'agissait de l'homme qui attendais, car il avait vue son visage lors de l'agression, il était grand, devait avoir 10 ans de plus que lui,avait les cheveux long et doux, mais une voie agressive et une odeur pestilentielle , Michael essaya de lui parlé mais rien ne fut, il n'y avait aucun mot qui parvint a sortir de sa bouche.
L'homme s'approcha de Michael et le frappa au visage avant de le plaqué au sol et sur le ventre, Michael ce vis le visage écrasé contre le sol et les bras dans le dos, l'homme les lui cassa et se mis a rire lorsqu'il senti sous sa force les os se casser, la voie de Michael avait repris mais de très peu, suffisamment pour faire pensait qu'il avait attrapé une sévère angine qui lui cassait violemment la voie.
L'homme profita de cet instant ou Michael était concentré sur sa douleur pour lui baisser son pantalon et lui arrachait son caleçon, il commença par cracher dans sa main avant de l'étalé sur l'anus de Michael, il saliva aussi sur son propre pénis afin de le lubrifier, une fois cela fait,il pris sa bite toute dur et la plaça en face de l'anus de Michael,ce pauvre garçon n'eus le temps de réalisai ce que son agresseur lui faisait, il le compris immédiatement lorsqu'il senti son anus ce faire pénétré avec insistance par le sexe de son agresseur.
Michael pus tout juste faire entendre sa voie, alors qu'il hurlai de toutes ces forces, dans cette endroit sombre et solitaire, rien ne pouvait le sauver, mêmes ces propres cris ne ce faisait pas entendre, il était seul, seul avec pour unique compagnie les gémissement intense de son agresseur qui lui broyé le colon avec son pénis, qui semblait ne pas être freiné par le manque de lubrification.