Les Diablesses.

jour de L'an.

Chapitre 40

Dehors, la neige tombe à flot, poussé par le vent qui sille. Encore une fois une tempête sévie, noircissant cette journée du jour de l'an, rendant les déplacements très difficile avec la chausse glacé et la vue obturé par la poudrerie.

Dire que demain les fêtes de Noël, seront déjà choses du passé encore une fois. Et que la famille de Scott va enfin repartir.

Soulagé ? En effet! bien que je ne l'avoue jamais à Scott qui est très heureux que sa famille soit ici, surtout Fred qui lui avait énormément manqué. Ils avaient fait tout ce trajet pour venir célébrer les fêtes avec nous. Ce qui semblait être un miracle de la part de sa grand-mère selon eux, elle n'aimait pas particulièrement voyager.

Bien que je n'aie rien contre eux en particulier. Par leur simple présence, ils me rappel constamment a quel point, je ne suis pas de leur monde et qu'ont n'a rien en commun si ce n'est notre nouveau lien de parenté.

Si Fred le cousin de Scott, a tout fait pour me mettre a l'aise en leur présence, c'est loin d être le cas de sa femme Cécilia et de la Duchesse qui m'évite perpétuellement et ne font aucun effort pour apprendre à me connaître depuis qu' il ont découvert que j'étais la mystérieuse épouse de Scott a ma sortie de l'ascenseur la semaine dernière .

Bon dieu! Je revoie encore leur regard choqué par mes cries obscène, digne d'une putain. J ai jamais été aussi gêné de ma vie, qu'en cette instant alors que Fred m'a présenté officiellement en tant que la femme de Scott.

C'est dans un moment comme ça que j'aurais aimé formuler que j'étais en faite Lydia et non Sue, seulement maintenant la preuve de mon identité était tatoué à mon annuaire gauche.

Dire qu'on a jamais une deuxième chance, de faire une bonne impression. On peut croire que j'avais royalement loupé la mienne à voir l'expression de leur visage à ce moment là.

La Duchesse était tout simplement outré, ses yeux de la même couleur que ceux de Scott brillait d'indignation, alors qu'elle me dévisageant sidéré, bien que de petite taille, elle dégageait une prestance digne d'une reine qui me laissait peu de doute tant qu'à son statue. Elle a prit la main que je lui tendais d'un air résigné, alors je n'ai pas tenté de la prendre dans mes bras pour l'embrasser, je crois qu'elle aurait fait une syncope.

Cécilia, tant qu'à elle m'a tendu la main, en me regardant d'un drôle d'air. Moi même je n'ai as pu m'empêcher de rester surprise devant son allure. Bien que minuscule, elle est très belle, avec sa chevelure noir et son teint de porcelaine qui faisait ressortir ses immenses yeux vert.

Je voulais disparaitre sous terre incapable de prononcé la moindre parole intelligente qui pouvais interpeller en ma faveur vue la situation.

Jusqu'à ce que Kate avoue que je l'imitais à la perfection, ce qui n'a pas eu l'air de les rassuré loin de là.

Pour dissiper le malaise, Sacha à évoquer le besoin qu'ils se rafraichissent un peu, avant de descendre souper avec nous et ainsi ils disparurent à sa suite à mon plus grand soulagement alors que Kate à pouffer de rire à côté de moi devant la scène.

Comme ci cela ne suffisait pas, je m'étais laissé attendrir par deux, trois verres en attendant leur retour, que Kate m'avait offert afin de se soutenir mutuellement devant nos malheurs comme à l'époque.

Légèrement enhardie par l'alcool qui coulait dans mes veines, plus confiante et soutenue par Kate qui m'avait affirmé qu'il ne pouvait pas, ne pas m'aimer. J'avais littéralement foncé vers eux à leur retour, accompagné de Scott et de mon frère qui les présentait au reste de ma famille.

Coupé en plein trajet par Lou le jeune fils de Vicky, que j'ai essayé d'éviter croyez moi, qui a décider de se couché par terre devant moi afin de faire rouler son camion. C'est quand j'ai atterrie, face première dans l'immense gâteau prévue pour dessert, dresser sur la table de l'immense buffet que j'ai réalisé que je ne l'avais pas évité finalement, surement du a la lenteur de mes gestes, avec cette alcool et ma fatigué accumulé, avait eu raison de mes reflexes.

Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer devant le ridicule de la situation, lorsque j'ai relevé la tête, bafouée de crémage au chocolat, j'en étais latéralement couverte jusqu'à la poitrine. Je sentais la texture collante fixé sur ma peau nue comme un masque de boue. J'imaginais très bien de quoi je pouvais avoir l'air et priait pour disparaître comme par magie et que tout cela soit seulement un mauvais rêve.

J'ai tentée désespérément de me relever, puis arrêtée devant les cries alarmé de ma famille, quand j'ai sentie que la table tanguait dangereusement sous moi, m'émettant un bruit des plus inquiétant.

Ne bouge pas Sue!

A supplié mon père derrière moi. Alors tout le monde s'empressait de venir aider à redresser la table, avant qu'elle flanche avec le contenue du souper sous mon poids.

Bon dieu, il manquait plus que ça, j'ai gémit accabler en réalisant que mon téléphone sonnait, la sonnerie que j'avais attribué à l'hôpital. Incapable de répondre devant ma situation rocambolesque. C'est Scott qui est venu à mon secoure en répondant à ma place alors que mon père m'a fait signe que je pouvais enfin me relevé en me tendant des serviettes de papier.

Aussitôt mes sœurs sont arrivées à ma rescousse avec le matériel nécessaire afin de m'enlever le plus gros.

Alors que mon regard restait fixé sur Scott.

Qui a répondu : Ont arrivent ! Avec un regard inquiet.

Bien que j'aie voulu par dessus tout échappée à cette soirée, ce n'était vraiment pas dans un tel contexte que j'avais prévu m'échapper.

Ryan avait contacté un virus, il présumait qu'il ne passerait pas la nuit.

C'est les yeux fixés d'inquiétude sur le minuscule corps de mon bébé, j'ai réalisé que mes petits déboires de la soirée n'étaient rien comparés au combat que livrait mon petit Ryan pour survivre. En une semaine ils étaient devenues inestimables dans ma vie, son frère et lui, ainsi que Scott. Je les aimais tellement, ils étaient toutes ma vie et eu seul comptait maintenant, ils étaient ma famille à moi, peut importe ce que la famille de Scott pouvait penser de moi après tout.

Dieu merci! Ils avaient trouvé le bon antibiotique, dés le lendemain Ryan prenait du mieux et fut présenté officiellement à son arrière grand-mère ainsi que son frère.

Elle à versé des larmes, je ne saurais dire si c'était parce qu'elle était heureuse ou de pitié devant leur état précaire. Seulement elle est revenue les voir à chaque jour depuis.

Ne m'adressant la parole que lorsque c'est nécessaire ou pour me demander des nouvelle de leur état santé jusqu'a aujourd'hui, elle a demandé à venir à l'hôpital avec moi accompagné de Cécilia.

Surprise j'avais acquiescé.

Alors qu'on avance sous cette tempête. Je me questionne sur leur réelle intention à mon égard, alors qu'un silence de mort trône dans la voiture. Légèrement anxieuse de me retrouver seul avec elles, je mets la radio ou des mélodies du jour de L'an, passent sans cesse depuis une semaine, histoire de mettre un peu d'ambiance dans cette journée qui s'annonce des plus bizarre.

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Désolé du retard les amies.....