Couleurs si étrangères.

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Je suis d'une âme peiné,
par ces maux qui sont tragédie.
Cœur vautré, par cette société,
les blessés, eux, sont parties.

L'homme est contraire à la piété,
voué au pouvoir que le monde transmet.
Oubliant les rêves, des étrangés,
gâché, par ces mes messes basses d'une grande piété.

Autrefois à nos devoirs du à une erreur enfin partie,
ne voyez vous pas le Malheur que vous venez répandre.
Oui, vous, qui rejeter ceux qui sont partie.
Se réfugier,
pour ne plus pleurer.
Vous n'avez fait que les blasphémers, sans voir leurs cœurs outragés, pendre.

La nature pleure leurs cœurs,
remplie de mots calumnieux.
Vous qui regardez, ces paroles d'un heureux,
avez vous ressentis ces malheurs du à votre couleurs ?

Étrangement, les couleurs font l'âme,
dans vos têtes accablé par la folie.
Nous, humain, avons les mêmes armes,
n'oubliez pas, votre fin n'est jamais finit.
Les armes sont désormais pointé,
vers ces beaux parleurs,
comprenants leurs erreurs,
poussés, par les rebellés.

Recueil De Poème, Fables Et CitationsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant