L'amour dans son faux

À travers les mailles de ta robe moulante
La couleur de tes cuisses me laisse,
Totalement stupéfait et le jeu de tes fesses
Me foudroie tel un ouragan, une tempête

Hélas ! Je suis perdu dans cet univers
Le sourire de tes jambes m'angoisse
Ta démarche telle une lionne qui chasse
Me rend totalement malade et mon corps,

Se laisse faire tel un adolescent,
Sans défense qui attend sa sentence
Je me laisse guider dans un grand,
Cabaret où elle est la directrice

Hélas ! Où m'entraîne t-elle ?
Les rideaux revêtaient les fenêtres,
De sa gigantesque chambre
Il fallait que je parte, mais c'est nul

De s'en fuir lorsque la proie
Est à portée de main
Ce soir là, je n'avais pas le choix
Il faillait que je reste jusqu'au matin

Oiseaux et coqs chantaient
Le réveil semblait tout à fait
Tardif jusqu'à ce que je remarque
Que la fille avait disparu avec mon chèque