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Ce matin je me réveille par les bruits de valises qui roulent dans la chambre, je m'assois remarque toute l'équipe à Shawn, il y a aussi une caméra, nous sommes bien à Paris...

Shawn viens me voir quand il remarque que je suis réveillée, il me sourit.

-Désolé ce matin c'est un peu spécial, mais il y a la télévision qui veut m'interviewer.
-D'accord pas de soucis, qu'ils me laissent au moins m'habiller.

Je pars dans la salle de bain munie d'une chemise de Shawn est d'un jogging, le bébé prend de plus en plus de place, la tournée passe si vite, cela fait déjà deux mois que on bougent sans arrêt, depuis Berlin j'ai du mal à sortir le soir, je panique un peu. Je me coiffe avant de descendre déjeuner, en bas il y a Brian, Andrew, Mike, John est encore d'autre personnes, ils me font une place est je mange avec convivialité à leur table. Après avoir bien déjeuner je remonte dans ma chambre, mais je tend l'oreille est écoute ce qui es dit.

« -Monsieur Mendes, vous êtes fiancé ?
-Oui, j'ai l'honneur d'être avec la même femme depuis 4 ans, je ne veux en aucun cas la perdre.
-Vous allez devenir père ?
-Oui.
-Êtes vous prêt ?
-Je pense oui, j'ai très hâte !
-Pendant le mois de janvier, vous avez quitter Elisabeth Swiriz non ? »

Entendre ça, sa me détruit je suis attentive j'écoute.

« -Oui, j'ai eu une période de doute, quand on devient célèbre beaucoup de gens s'approche de vous pour la gloire ou autre, alors je sais pas j'ai eu peur.
-De votre propre copine ?
-Oui...
-Et elle vous a laissée revenir dans sa vie ? Vous êtes chanceux.
-Je suis revenue la voir deux semaines après que j'ai tout laissé tombé, je suis revenue et je l'ai détruit plus que je souffrait, je me suis rendu compte combien j'était heureux avec elle, combien elle compter pour moi. Je ne savais plus où me mettre quand elle m'a dit qu'elle avait plus souffert que n'importe qui, je m'en veux encore tout les jours, est si elle me vois ou m'entend, je suis désolé, Eli je t'aime.»

A cette phrase, je fond en larmes dans le couloir m'accroupissant devant ma chambre, oui Shawn tu ma fais souffrir et je le regrette tout les jours aussi, mais tu as était pardonné, et j'espère que j'ai pu être pardonnée aussi.

« -Monsieur Mendes une dernière question.
-Pas de soucis.
-On vous a vu avec Camélia il y a 1 mois, alors que vous êtes avec Elisabeth, qu'était vous entrain de faire ?
-Euh... On est amis, on ce vois régulièrement.
-Elisabeth n'a pas de concurrente ?
-Absolument pas, mais je...Euh...on est juste amis.
-D'accord, ben nous allons vous laissez merci beaucoup d'avoir répondu à nos questions bonne chance avec votre bébé, on ce vois une prochaine fois.»

Je me relève en vitesse essuie mes larmes et fait comme si je venais d'arrivée. J'ouvre la porte et vois tout le monde remballer, alors je pars embrasser le Brun sur la joue avant de m'assoir en tailleur sur le lit, je les regarde faire, mais mon regard ce fige sur Shawn, qui leur dit ou tout doit aller, je ne peux m'empêcher de le regardé c'est limite une obsession, puis dans ma tête je me dis qu'il me ment, il continue de voir Camélia, je ne sais pas si je dois rien dire ou tout faire peter pour ensuite gâcher sa tournée, je pense que je vais attendre mais je te promet Mendes que ce coup là je ne vais pas l'oublier de ci tôt. Il tourne la tête vers moi ce qui me fait enfin réagir, il vient s'asseoir en face de moi.

-Tu regardera l'interview ?
-Ben oui, de toute façon tu n'as rien n'as caché ?
-Absolument pas, c'est juste que c'est bizarre non ?
-Non pas temps que ça, je me fais un plaisir de savoir ce que tu dit à la caméra est pas à moi.

Ma voix est ferme.

-Je ne te cache rien, Elisabeth...

Il se lève du lit un peu énervé.

-Comment vas Camélia ?

Il se retourne vers moi.

-Tu joue sur un terrain glissant Elisabeth.
-Tu glissera avant moi.

La tension est monté d'un seul coup dans la pièce mais j'était obligée d'aborder ce sujet.

-Alors comment vas t'elle ? Elle a pas la langue trop baladeuse au moins ? Toi non plus j'espère ?

Mon ton est très sec est ironique.

-Oui, elle vas très bien je lui dirais que tu as pris des nouvelles d'elle, sa langue est râpeuse, la mienne est déjà occupé...
-Tu lui diras que j'ai très hâte de la revoir.

J'ai un sourire méchant collée sur le visage je ne peux pas le retiré.

-Je pense pas de si tôt, tu risque de t'énervé est c'est pas bon pour le bébé.
-Je suis énervé et le bébé vas bien je t'assure.
-Bon alors...Tu veux peut-être m'insulter de voir Camélia ?
-Oui, surtout après ce que tu m'as fait subir. Tu veux que je le rappelle ?
-Non, je m'en souviens très bien ne t'inquiète pas.
-C'est vrai ? Parce que tu n'était pas là...
-Oui, c'est vrai mais tu me la déjà explique une fois, c'est censé suffire non ?

Je me lève du lit, il faut que je sorte d'ici je vais devenir folle ! Je passe devant lui sans le calculer, je m'arrête.

-Je te le répèterai jusqu'à ce que tu te sois contenté d'elle.
-Tu veux que je te repère pourquoi j'ai fais un coma de neuf jours peut-être ?
-Vas-y donne moi la raison.

Cette question m'a touchée, j'ai mal au fond de moi je sais que je vais perdre et glisser en première.

-Tu avait bu, et tu as fait ta gamine, tu m'as laissé tout seul alors j'ai fait un malaise, j'ai même peut-être fallut y resté. A cause de toi.

Je reste statique. Je le dévisage. Une larme coule le long de ma joue. Poum ! Il m'a tuée. Une balle dans le crâne a cran comme la dernière fois. Il n'as aucune pitié quand il ne veux pas perdre. Son regard est dur. Je ne peux m'empêcher de partir dehors alors qu'il est déjà dix-huit heure est que le concert commence dans deux heure. Je pars m'assoir près de la Seine pendant longtemps, je pleure et touche le petit sans-abri, je caresse mon ventre et lâche tout les larmes de mon corps, mon portable n'arrête pas de vibrer, tout le monde essaye de m'appeler mais je ne décroche pas, je sais que en faisant ça je peux déclenché une crise a Shawn, mais je doit me dire aussi que je ne vis pas que pour Shawn, ce qui m'a dit ce soir ma blessée.

Il est tard, presque minuit je commence à rentrée à l'hôtel, Paris est calme cette nuit, je m'arrête en plein milieu de la rue, j'observe et écoute, je tourne ma tête, Shawn est au bout de la rue. Il me regarde.
Je le regarde, je ne peux pas m'empêcher de pleurer, il me manque, d'un coup je sens le sans-abri bouger, ma tête fix mon ventre qui bouge, dans ma tête je ne peux pas m'empêcher dire : oh ! C'est vrai tu as 4 mois, tu peux commencer à bougé...
Shawn s'approche de moi. Je le fix entrain de pleurée, je prend sa main est la pose sur mon ventre, le petit sans-abri continue de bouger.
Shawn relève ma tête.

-Je suis désolé.

Je me répond pas et re-baisse la tête sur mon ventre qui a encore grossis davantage.

-Je veux mourrir à tes côté. Shawn Mendes...

Anxiety...Shawn Mendes ❤️Où les histoires vivent. Découvrez maintenant