Chapitre 8

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PDV DE Lil
J'ouvrais la porte avec violence, elle sursauta mais elle ne se retourne n'a pas 

Moi : retourne toi Ayla

Je venais de me rendre compte que j'étais troubler du à notre proximité sûrement

Elle : je ne peux pas ... sors s'il te plaît... je t'en supplie ...
Moi : me force pas à te tourner avec violence
Aucune  réponse
Je mis mes mains autour de sa taille ,elle essayer de me repousser mais c'était peine perdue  je la retournais doucement pour ne pas la braqué

PDV DE AYLA
Il me tenait avec fermeté la taille , j'étais impuissante je pouvais  pas réellement le pousser , mes bras était rempli de sang
Je priait dieu intérieurement qu'il lâche la faire mais c'était peine perdue .
J'étais là devant lui les yeux basés ne voulons pas croiser sans regarder remplir de je sais trop comment qualifié ça sûrement de colère indescriptible
Il ne parlait pas il regarde simplement ma chemise  je savais pas réellement comment il allait réagir je voulais simplement pas qui le dise à ma mère ou à la assistante sociale
Après un long moment de silence il pris la parole

Lui sec : que ce que c'est ?!
Moi : rien ce n'est rien ...
lui énervé : t'es folle merde c'est quoi ça ?!
Moi :RIEN ... pas important ... je ... RIEN
Lui:  je savais que tu étais conne, folle et bizarre mais pas jusqu'à la merde !!

C'est mots m'avais anéanti , je regardais mes bras puis je me suis mis à me cognée la tête contre le mur  on ignore les cris de lil qui me disait d'arrêter ...
je me rendue contre que je sentais plus la douleur de mes coups lorsqu'il me souleva et me portait jusqu'à je sais pas où , je m'en fichait

J'étais proche de la personne qui venait de m'anéantir mais le sentiment que je ressentais n'était ni de la colère ni de la peur mais plutôt de la sécurité , je respirais son odeur corporelle et l'odeur de la cigarette qu'il avait sûrement fumé bizarrement sa m'apaiser .
J'avais juste besoin d'un câlin qui allait me faire comprendre que même si j'étais une mauvaise personne  dans le passé comme dans le présent je pouvais compter sur quelqu'un .
J'étais dans les vagues je réfléchissais pas vraiment  je voulais simplement me perdre dans mes pensées .

Lui doucement : Ayla je t'es posé une question...
Moi : j'ai pas entendu excuse-moi
Il soupira puis dit
Lui : où tu vis je dois te ramener chez toi 

Je décolla ma tête de son épaule , je plongeais mon regarde c'est yeux bleu océan

Moi : non ! Je peux pas regarder moi... je suis... comme une fille qu'on a à battu...

Il me scrutait quelques instants et soupira je pense que je commençais l'agacer

Lui : ok... tu dors chez moi pas un mot à tes ringards d'amies sinon je te défense
Moi légèrement timide : ok...

Il m'avait porté jusqu'à la voiture et m'avait ouvert la porte le trajet c'était fait en silence, il s'était concentré sur la route sans même m'adresser un simple regarde . Je pense qu'il était perdu dans ses pensées en voyants sa tête.

Lui : euh nous sommes arrivés euh tiens mon pull je vis pas seul ici dit il d'une voix calme

Sa maison non c'était plus tôt sa villa elle était grande très grande il y'avais un grand jardin une piscine c'était une villa à étage de couleur marbre ( noir et blanc )

Moi : co..comment ça
Lui : je vis avec quelques amis et ils sont plus allergique au gens comme toi
Moi déçu : ah d'accord ...

J'avais finalement mis le pull qui m'avait donné qui était beaucoup trop grand pour moi et nous nous dirigions vers l'entrée...

PDV DE LIL
On venait de pénétrer l'entrée il y'avais Julien qui se défoncée à la cocaïne  y'a vais Marvin et Thomas qui étaient là entrain de jété de l'argent sur les fesses d'une prostituer qui se déhanchait devant eux.

Marvin : tu viens nous rejoi... ah ! tu as de la compagnie pour ce soir dit-il avec un sourire narquois
Moi sec : mais putain t'as gueule.

Je guettais vite fait Ayla , elle avait la tête baissée et la cachais dans la capuche

Julien s'adressant à Ayla : jolie demoiselle comment vous vous appelé
Moi énervé : tu la touche pas, tu ne lui parle pas et tu la ferme sinon ... tu me connais pas besoin d'expliquer plus.

Julien a toujours tendance à  me pété les couilles Mais bon j'y peux rien on fait avec

Tout le monde se mis a rire sauf moi et Ayla qui voyaient rien de d'autre a cette scène.
J'attrapais sans bras pour la conduire direct dans ma chambre qui était aussi grande que ma maison

Moi gêné : désolé ils sont casse couilles...
Elle : c'est pas grave... je peux  me changer où  ?  Et me désinfecter mes plaies où ?
Moi : dans la salle de bain la porte noir au fond de chambre
Elle : ah d'accord j y vais
Moi : attends !

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Une vie de dealer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant