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la haine sur le cœur, le cœur sur la main

le feu de l'enfer a envahi mon cœur

le seul avenir est notre fin

l'ombre du diable

mon cerveau me cache la vérité pour ne pas me faire mal

qui rallumera les lumières ?         (ª)

« tu as raison d'avoir peur, j'en connais un rayon sur la douleur » dit alors l'ange

si tu tombes c'est la chute, si tu chutes c'est la tombe

la vie c'est fait toute belle pour un rendez vous avec la mort

dernière révérence quand les roses fanées rempliront la scène             (ª)

le diable cherchait une âme et j'ai faillit m'y vendre

pardon si parfois je parle pas trop, c'est assez bruyant dans ma tête

j'aimerais tellement qu'on dise de moi que j'ai ce truc que les autres non pas

c'est à se demander ce que je fais encore la, mon passé me fait souffrir, le présent je ne le vis pas, et le futur me terrifie

je vise la lune mais je suis trop occupée à contempler les étoiles

le diable au grand cœur   (ª)

a propos je t'aimais, je te le dis maintenant car ça n'a plus d'importance            (Sarthe)

mon cerveau me cache la vérité pour ne pas me faire mal

je t'en pris dis-moi que tu me détestes, en me regardant droit dans les yeux

doigt sur la gâchette, mon ange de gauche me dit d'appuyer

des papillons dans le ventre et ma main dans la tienne

la nuit nous ouvre les bras, et la lune nous murmure tout bas, d'ouvrir nos cœurs une toute dernière fois

cœur brisé et yeux explosés mais toujours dans ma tête 

ces doux baisers, partis en fumée, le jour où tu m'as quitté

se faufiler, à travers ton ombre, jusqu'à ce que nos corps se confondent

la noirceur de tes pleurs, la douceur cœur et tes baisers sur ma peau me font perdre mes mots, mes maux

j'encaisse mal la vérité

mentir pour se convaincre soi-même

de la vie je m'efface, de la mort je m'approche

je me sens au bort de la mort

notre cœur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes

quand j'étais seule y'a que ma tristesse qui m'a servi, personne me comprend y'a que l'insomnie qui m'a cernée

un homme a tiré, en plein dans son cœur, sans regarder, sans rancoeur

j'aimerais que tu sois contre moi, jusqu'à sentir la douceur de ta peau

mes mains sur tes hanches, mon esprit divague dangereusement

la nuit qui défile, l'amour qui nous consume et nos corps qui se brûlent

l'amour a ses raisons que la raison ignore

ta paix se trouve au dessus de nous

c'est triste, on se rend compte que la vie est belle quand on est sur le point d'en finir avec elle (@ depressed.soo)

j'ai commencé à croire aux monstres quand moi même j'ai su que j'en étais un monstre
(@ depressed.soo)

mon cœur a mal, il saigne, il va cesser de battre a force de trop souffrir
(@ depressed.soo)

ils me dévisagent tous, car je ne suis pas comme eux  (@ depressed.soo)

épuisée par ce monde, je déambule sans savoir où aller  (@ depressed.soo)

dernière chaque cicatrices se cachent une histoire (@ depressed.soo)

la vie ne veut pas que je réussisse alors je la laisse gagner (@ depressed.soo)

je garde espoir pour qu'un jour tout s'arrange, tout ira mieux, pour vous et pour moi
(@ depressed.soo)

on se défonçait les poumons jusqu'à ne plus pouvoir respirer (@ depressed.soo)

j'écris pour me libérer de toutes ses mauvaises ondes qui sont en moi (@ depressed.soo)

y'a que ta solitude qui est la quand t'es pas bien

et on criait notre détresse dans la rue, qui a vu nos larmes et notre sang
(@ depressed.soo)

elles sont bien noires les pensées des adolescents (@ depressed.soo)

même détruire je garde ce putain de sourire
(@ depressed.soo)

t'aimer est un suicide (@ depressed.soo)

on cache nos malheurs derrière nos sourires (@ depressed.soo)

t'étais ma lumière qui illuminait mes idées noires

ils parlent d'amitié mais sont hypocrites, ils parlent d'amour et sont infidèles, ils parlent de moi alors qu'ils me connaissent pas
(@ depressed.soo)

combien m'ont tendu la main quand j'appelais à l'aide ?
(@ depressed.soo)

même ton ombre disparaît dans le noir

nos peines d'aujourd'hui seront nos forces du futur
(@ depressed.soo)

je dors plus de la nuit, mon seul rêve c'est de pouvoir rêver
(@ depressed.soo)

le vide est devenu pour moi, ce que je connais aujourd'hui de plus peuplé
(@ romain gary)

avec toi à mes côtés je n'ai plus peur, plus peur du noir autour de moi, plus peur du silence, plus peur du vide, plus peur de moi.
(@ textehuman)

c'est une souffrance étrange, mourrir de nostalgie pour quelque chose que tu ne vivras pourtant jamais.
(@ alessandro baricco )

puisqu'il faut souffrir, autant que ce soit par toi
( @ sarte)

et cette nuit là, même les clowns se sont mis à pleurer                     (@ depressed.soo)

si ta vie est tracée, dévie !           (@ texthuman)

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