Le jour qui a changé ma vie

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Un autre matin comme les autres, j'aimerais tellement que ma vie soit un peux plus palpitante... Je m'appelle Vanessa, j'ai 17 ans, je suis de taille moyenne, j'ai des cheveux bruns, des yeux verts, bref tout ce qu'il y a de plus basique. Je n'ai jamais connue l'amour. Comme tous les matins, je prend mon petit déjeuner en écoutant la télévision, je suis une fille assez routinière il faut croire. Aujourd'hui, il y a eu un étrange programme à la télé qui disais que l'Union soviétique allait entamer des recherches à grande échelle dans le monde. Si vous ne le saviez pas, tous les survivants de la dernière Grande Guerre se sont réfugiés en Russie, le dernier pays à tenir. Tous les autre pays, telle que le Canada, les États-Unis, le Japon, la France et la Grande-Bretagne ont été détruits durant cette dernière guerre. Moi, pour ma part, je suis Canadienne.

Je venais à peine de finir mon petit déjeuner, que je me remise à ma routine. Je mis mes plus beaux vêtements et me rendis devant la porte, au même moment, quelqu'un cogna à la porte. C'était assez inhabituel que quelqu'un cogne chez moi, donc, je mis un certain temps à comprendre ce qui ce passais. La personne qui cognait à ma porte avais l'aire de s'impatienter, il ne cognait plus, il frapait maintenant. Je ne mis que deux secondes à ouvrir la porte. À ma surprise, un grand soldat, ayant une attitude hâtive, comme s'il fut pressé, se tenait devant moi:

- Je suis ici pour t'avertir de ne pas sortir de chez toi et de barrer ta porte aujourd'hui.

- Pourquoi ça? Je n'est rien fais de mal?

- Non, mais un homme assez dangereux se promène dans le quartier, donc ne sort pas.

L'homme ferma la porte puis fit demi-tour. Je pouvais entendre ses bruits de pas s'éloigner. Je me suis dis que j'allais écouter ses indications. Je barra ma porte à double tour, et me mise à barrer toutes mes fenêtres. Rendue dans ma chambre, je remarqua quelque chose d'étrange, ma fenêtre était brisée et il y avait une traînée de sang qui menait jusqu'à mon placard. Mon coeur se mis à battre tellement fort que je suis sûre que la chose derrière cette traînée de sang pouvais l'entendre. Je me mise en direction du placard, aussi lentement qu'une tortue. Après près de 5 minutes, j'était enfin devant la porte. Je mis ma main sur la poignée er et la fit tourner très lentement, mais sûrement. La poignée ne pouvait tournée plus, je décida donc de prendre mon courage à deux mains et d'ouvrir la porte.

Surprenamment, un homme qui devait avoir le même âge que moi était étendu dans mon placard, inconscient. Il était enroulé de bandages ensanglantés. Je pris la décision de le traîné jusque dans mon lit. Pour une fois, on peux dire qu'il y enfin un événement qui viens brisé ma routine. Après l'avoir étendu, je courue aux toilettes pour prendre du peroxyde d'hydrogène et d'autres bandages. Lorsque je retourna dans la chambre, le jeune homme était assis et regardait dans ma direction sans dire un mot, ses yeux exprimait une douleur et une incompréhension totale, comme si il ne se rapellais pus de rien ou que c'était un robot qui venais de ce réveillé.

- je vais m'approcher de toi pour désinfecter tes blessures et changer tes bandages, donc, tu n'as pas à avoir peur.

Le jeune homme ne fit qu'un simple signe de tête pour dire qu'il était d'accord. Je m'avançai vers lui et me mise à enlever ses pansements tranquillement. Son visage était maintenant à découvert. Je pris deux secondes pour le regader dans les yeux. Mon coeur battait très fort, c'était l'homme le plus beau que je n'avais jamais rencontrée. Je crois que lorsqu'il ouvrit ses yeux, lui aussi a ressenti quelque chose, je pouvais remarquer ses yeux scintillant qui me regardaient: « Sois ma reine écarlate! »

J'était tellement surprise de l'entendre parler, que je n'avais pas remarquée ses bras qui commençaient à m'enlacer. D'un coup, il avança la tête et m'embrassa. Un grande lumière jaillit, je ne pouvais plus rien voir. Cela pris quelques minutes pour retourner à la normal. J'ouvris tranquillement les yeux, et, à ma grande surprise, le jeune homme se trouvait devant moi, un genou à terre, ses blessures ayant disparues. Un tatouage s'était rajouté sur la partie gauche de son visage, et moi, je me rendis compte que j'avais le même tatouage, mais sur la main.

La guerre d'une vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant