Chapitre 14

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Adrien qui avait passé toute la journée auprès de son frère, décida de sortir de l'hôpital.

Il espérait pouvoir tenir la promesse qu'il lui avait fait.

Félix compte énormément pour lui.

Papillon est vraiment un monstre pour le retenir en otage comme cela.

Soudain le chat s'immobilisa, un murmure lui parvenait. Il l'écouta.

«Chaton si tu reçois ses mots, c'est que ma théorie fonctionne. Je suis du haut de la tour Eiffel. J'ai eu envie d'y aller pour vérifier une théorie qui dormait au fond de mon esprit. Je t'aime Chaton, n'en doute pas, mais mon cœur est partagé en deux. Pour toi et un autre garçon. Si tu m'as entendu, peut-être que nous pourrions nous rencontrer dans le monde réel, en tout cas je l'espère.»

Sa Lady.

Sa Lady pensait à lui. Sa Lady l'invitait à le rejoindre en haut de la Tour Eiffel.

Mais, elle disait également qu'elle aimait un autre garçon, n'avait-elle pas apprécier le baiser. Avait-il été si mauvais.

Le garçon ne savait pas. Il savait néanmoins que s'il découvrais le nom de l'autre garçon, celui-ci subirait sans nul doute la colère du félin.

Le garçon, sortit de ses pensées, couru pour essayer de prendre un taxi pouvant le mener à la dite Tour Eiffel.

Une voiture avec un panneau marqué “Taxi” l'attira.

Le garçon courut plus vite.

Le conducteur, le voyant et le reconnaissant l'emmena à la Tour.

Le jeune homme fut ébloui par la beauté du monument. Il s'arrêta donc, un instant, pour profiter du paysage.

Il espérait retrouver sa Lady. Il espérait qu'elle n'était pas partie.

Le blond voulait la voir, l'admirer, plonger dans son regard saphir.

Il lui avait dit “je t'aime”, il était donc hors de question qu'il ne se batte pas pour le cœur de la demoiselle.

Elle lui appartenait, elle était SON âme sœur. Fû, le lui avait dit, et il avait confiance en le vieux maître.

Son concurrent, adversaire, qu'importe le nom, ne gagnerai pas face à sa détermination, son amour et son courage pour la bleutée.

L'amour ne triomphait-il pas toujours ?

Si, il en était certain. De tous les contes qu'il avait lus, aucun ne mentionnait la défaite de l'amour.

Alors, c'est d'un pas assuré, d'un regard brillant de détermination que l'héritier Agreste commença à gravir les escaliers de la Tour.

Il courut dans les escaliers, chutant, plusieurs fois, se blessant.

L'amour n'avait pas de prix, il pouvait tous encaisser, sa Lady était son énergie.

Chaque nuit, il passait de très beau moments avec elle. Chaque nuit il l'a voyait sourire, rigolé.

Rien que de la voir heureuse cela lui donnait de l'énergie.

Adrien l'avait vue pleurer, cette fois la, il avait senti son cœur se déchirer. C'est comme si, ça avait été lui qui souffrait.

L'alter ego de Chat Noir posa son pied sur la dernière marche.

Il inspira, il ferma les yeux et pensa au doux visage de sa coéquipière.

Enfin, son regard émeraude réaparut.

L'intensité de la couleur de ses yeux étaient magnifique, jamais son regard n'avait été aussi beau.

Il aperçut une silhouette, une jeune fille, seule.

Elle avait des couettes et ses cheveux étaient bleu.

Il l'a reconnu, Marinette.

Le blondinet prit son courage à deux main, et demanda:
- Es-tu ma Lady ? Es-tu la fille que j'aime ?

La bleutée se retourna, son regard était aussi intensément bleu que celui de son camarade.

Leurs yeux brillaient:
D'espoir,
D'amour,
D'attente,
De peur.

Le chat attendait patiemment qu'elle prenne la parole.

Enfin, ses lèvres bougerent, mais aucun son ne lui parvint.

Il s'approcha donc, lentement, par peur de l'effrayer.

Elle rouvrit la bouche, cette fois il entendis.

- Oui, c'est moi, je suis Ladybug. Murmura-t-elle d'une petite voix.

Le Chat s'approcha pour saisir sa main, son cœur battait. Il allait posé une question lorsqu'elle prit possession de ses lèvres.

Marinette, Ladybug, sa Lady l'embrassait.

Un déversersement d'amour et de chaleur le saisit. Adrien avait l'impression de re-vivre. A chaque battement effréné de son cœur, un déversement d'énergie l'envahissait.

Le blond espérait que ce n'était pas un rêve, il se sentais tellement bien contre elle.

Il durent se séparer, par manque d'air.

- Je t'aime Chaton, je suis heureuse que se sois-toi. Déclara la jeune fille.

Même si le héros était heureux, des questions trituraient son esprit, et cela le dérangeait.

Adrien inspira et demanda:
- Quelle est l'identité de l'autre garçon que tu aimes ? Et comment as tu eu cette merveilleuse idée ?

La jeune demoiselle le regarda, étonné qu'il n'est pas compris, elle rigola doucement et murmura dans son oreille:
- C'est toi, Adrien Agreste. J'ai toujours aimé ton côté civil, ce n'est que depuis peu que j'aime ton côté héroïque.

Le blond fut surpris, il ne s'attendait pas à ça. Alors son concurrent, c'était lui même, il éclata de rire.

La situation était tellement débile, elle se joignit à lui. Leur rire s'élevant dans les airs, les englobant.

La bleutée se rappella qu'elle n'avait pas répondu à une des questions.

- Alors comment j'ai eu cette idée, et bien c'est très simple. Tu te rappelles que dans la cité Miraculous il y a une copie de la Tour Eiffel. Et bien j'ai pensé que les deux Tour pourraient être relié, alors je suis montée et j'ai essayé de tester ma folle théorie. Comme tu peux le voir, sa a fonctionné. J'ai réussi !!!

Sa coéquipière le fascinait, elle avait plein d'idées, c'était grace à elle qu'aujourd'hui ils se sont retrouvé, face à cette Tour.

Heureusement qu'ils étaient seul, sinon, les personnes les aurais trouvés bizarre.

Papillon étaient dans la cité, ils n'aimaient pas rentrés dans le monde réel, de peur de perdre trop de force.

L'homme mystérieux, regardait le monde, bientôt, oui bientôt son souhait se réalisera.

Sa femme, son essence, son énergie lui seraient rendue.

Les miraculous du chat et de la coccinelle lui permettraient d'accomplir son ultime demande.

Un sacrifié, en échange serait donné.

L'homme tourna le dos à la fenêtre, et marcha déterminer vers son objectif.

Et voila, j'ai fini le 14 ème chapitre, j'espère qu'il vous aura plus.

Je vous le délivré avec un petit jour de retard, ce n'est pas dramatique.

Sur ce
Stalastite bye bye les miraculers.

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