Parfois, l'intrus n'a pas besoin de briser la fenêtre,
Il arrive qu'il ait déjà la clef, demeure sans paraître,
il entre, occupe la place maudite, semble honnête,
Il force son entrée, chiffre son nom et crie sa haine.
Pars, j'ai beau lui crier cela mais il n'en fera rien,
Il reste, envahit la pièce, et j'entends un petit brin,
Un son mélancolique, triste et une larme feint,
Ne peut expliquer cela, mais je n'entend que sa peine.
De ta lueur sombre, je te remarque, j'aimerais te voir,
Je te sens, pourtant rien ne me perturbe, peux tu choir ?
voir choir ton mystère, est mon désire, toi mon abreuvoir,
de tes remords, tu te satisfais, de pluie tu es pleine.
Imagine les gouttes tomber, venir s'aplatir,
au côté de toutes les souffrances passées, luire,
l'espoir fuyant au goutte à goutte et berçant sans périr,
je plains cette grande, belle tristesse qui est mienne.
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Que mon esprit parte, et n'en rencontre aucun autre
PoetryCe garçon est étrange ! Il dépasse les bornes, se moque de la retenue et du correct ! Se sert du mal pour en tirer du bien, de la haine pour en apporter de l'amour, le la tristesse pour en avouer de la beauté. De la magie, pour en faire de la réalit...