besties || minsung

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Les deux se retrouvèrent à se câliner sur le lit du plus vieux encore une fois. Malheureusement, Jisung devait rentrer chez lui comme ils avaient école le lendemain. Il était déjà 22 heures et Jisung devrait bientôt rentrer. Les deux n'étaient pas tellement enthousiaste à l'idée de se séparer, la maman de Minho était déjà venue leur rappeler trois fois que le jeune homme devait rentrer. Cinq minutes plus tard, sa maman entra à nouveau dans la chambre de son fils.

"Jisung sweetie," elle commença d'une voix douce. "Je sais que tu ne veux pas partir mais vous vous verrez de nouveau demain et comme on est vendredi vous pourrez passer tout le weekend ensemble."

"Ok," Jisung répondit, une note triste dans la voix. "Mais est-ce que Minho pourra rester chez moi ce weekend ?"

"Bien sûr sweetie. Maintenant viens, prends tes affaires, je te ramène chez toi." Sa voix était vraiment tendre et agréable.

"Ok," le jeune homme se détacha de Minho et la chaleur que lui procurait le garçon lui manqua aussitôt. Sa maman était partie pour aller démarrer la voiture. Jisung ne voulait pas partir mais il savait qu'il le devait.

"Tu veux que je te raccompagne ?" Minho demanda.

"Non c'est bon hyung." Jisung dit doucement. "Mais est-ce que je peux avoir un câlin ?"

"Bien sûr" Minho se leva immédiatement et alla prendre Jisung dans ses bras. Il lui offrit une douce et tendre étreinte. Jisung entoura sa taille de ses bras, ne voulant pas vraiment partir. "Je pense qu'on est restés assez longtemps comme ça, ma mère t'attends sûrement en bas des escaliers."

"Mais," Jisung échappa une plainte. "Bien."

"On se voit demain, ok?"

"Ok," Les deux descendirent et se postèrent devant la porte d'entrée. "Hyung, ma maison, d'accord ?"

"Oui sweetie." Minho prononça doucement. "Maintenant, sors et rentres chez toi sans encombre."

"Ok hyung." Jisung offrit à Minho un dernier câlin avant de sortir. De la façon dont ils se sont séparés, certains pourraient penser qu'ils ne se verront pas pendant des semaines. Mais ils se reverraient tous les deux le lendemain. Ce n'était pas la première fois que ces deux-là avaient du mal à se séparer, et ce ne serait certainement pas la dernière fois.