Chapitre 5: Le temps de la vérité

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Jordan**
Je rentre chez moi, un mot sur la table m'indique qu'il était partie dans son coin secret:
- Super. Ce gosse est insoutenable !
A se moment son portable sonne et affiche le nom de sa fille:
- Allo, papa ?
- Oui, sava ma chérie ?
- Oui, oui très bien, je réfléchissais à un truc et je me suis dis que...Diiwan dois savoir la vérité papa, même si ces mon demi frère je pense qu'il doit savoir comment et morte maman, et à la mère de Willième même si lui il la mieux digéré que Diiwan après on sais pas sa réaction même si je pense qu'il va être extrêmement énerver et je resterais avec lui pour éviter qu'il fasse une connerie..
- Ta mère a été torturer puis tuer ces sur qu'il va faire une connerie...
- Est ce que tu pense qu'on devrait dire par qui ?
- Ces pas n'importe qui ma chéri et tu le sais très bien...en revanche ton frère me déteste et je ne sais pas pourquoi, j'espère que quand il sera à la maison on pourra en parler.
- Diiwan n'est pas vraiment ton fils papa donc on peut pas dire qu'il est obligé de t'aimer comme il aimait maman. Demande lui et si il en vient au mains, laisse le faire mais riposte comme même, tu le connais il s'énervera mais au moins sa haine sortira.
- Merci...Kira pour ton aide...
- Derien papa ces normal, après ce que tu as fais pour moi !
Je baisse la tête quand Kira prononce « après tous ce que tu as fait pour moi », je ne vais pas vous cacher que je lui ai menti, j'ai dis tous l'inverse de ce qui ces vraiment passer le faite que ce soit André qu'il l'ai sauvé de l'accident et surtout le faite que se sois moi qui ai été devant elle la première fois et non André j'ai inverser toute la réalité et je n'en suis pas fiers.
- Après si tu veux venir pour que la pilule passe mieux, je pense que si tu es là il l'acceptera mieux.
- Sûrement, bon je viendrais, il revient quand ?
- Je sais pas, tu voie quand je te dis qu'on ne discute jamais je suis rentrer du taff il n'étais pas là, il m'a juste laisser un mot.
- Ces Diiwan et tu pourra pas le changer papa.
- Je sais t'inquiète pas, bon je vais te laisser ma puce, je t'aime fort je te dirais quand il rentrera.
- Oki papa je t'aime fort aussi.

Je raccroche et passe la soirée à me demander comment dire à mon « fils » comment sa mère et morte.

Diiwan**
Nous sommes vendredi sa fait deux jours qu'on est a la maison abandonné et je me réveille tôt pour pouvoir aller dans le lac et me laver sans qu'elle puisse me voir. Je me lève doucement et passe au dessus de la rembarre et direction dans l'eau une fois que tous mes vêtements sont enlever je descend à l'eau, je ne prend pas de savon la nature nettoie très bien toute seul. Une fois fini je sort et m'essuie avec la serviette enfile un boxer et me redirige vers le kiosque j'escalade de nouveau et va vers mon sac qui se trouve en face de Tess, j'attrape des habits et me change elle émerge de son sommeil t'elle une princesse.
- Heyy, dis-je en m'allongeant a coter d'elle.
-Heyy, elle baille et se lève doucement.
- On va faire quoi aujourd'hui ?
- Une balade !
- J'adore sa !
On se regarde pendant quelque minute, et je ne sais comment expliquer cette fusion et tension qu'il y avais mais elle était si intense mais on revient à nous en étant gêner tous les deux.
- Je vais dans le lac, me laver ! Dit-elle entre guillemet car ce n'étais pas une réel douche. Je la regarde s'éloigner du kiosque, retirant les fin morceau de tissu qui l'a couvrait et une fois nue elle descend à l'eau je la regarde en la dévorant du regard, son corps mince et faible hante mes pensées je l'imagine se courber sous le plaisir, entendre son souffle comme quand on s'embrassait arrrrgh rester avec elle sans pouvoir la toucher ces comme si on mettais un lion en cage devant laquelle on mettrais un appétissant bout de viandes sur lequel il ne pourrait pas sauter pour le dévorer. Elle sort de l'eau, nue et face à moi alors là j'aurai tous vue, au putain de bordel de merde je bande je me dépêche de m'éloigner de la rembarre et calme mon Diiwan Junior en lui assurant que à la soirée du lendemain il pourrait faire son affaire. Elle revient vers moi et remonte sur le kiosque, elle s'habille en me demandant gentillement de me retourner et une fois qu'elle finit je me retourne et la regarde elle est vêtue d'un magnifique pantalon noir moulant avec une ligne rouge sur le coter et en tant que haut elle met un pull rouge pour s'accorder au ligne.
- Sava comme sa ?
- Oui, super.
- Aller prend ton sac on y va ! Lui dis-je en lui faisant un clin d'œil.
Notre randonnée se termine vers 18:00, une fois revenue au kiosque on posent nos affaires et elle court en direction du lac et se déshabille et une fois nue elle saute dans l'eau en un beau plongeon je la regarde rire au loin, elle sort de l'eau et récupère ces affaires je lui passe une serviette de l'autre coter de la rembarre et elle l'escalade et reviens à mes côtés.
- J'ai adoré cette journée...dommage que sa se finisse aujourd'hui tous ce bonheur.
Elle s'habille.
- Je vais aller dessiner sur le bout du ponton sa te dérange pas ? Me demande t'elle en sortant de son sac un grand carnet à dessin ainsi qu'une trousse avec des oreilles de lapin je ris et lui fais un signe de tête. Super ! Car je vais lui préparer une soirée magnifique. Il y a des roses pas très loin de là je vais aller en chercher et en déposer les pétales du ponton jusqu'au kiosque elle n'entendra rien elle a pris ces écouteurs. Une heure après toute et installée la lignée de rose est prête l'es couverture son parfaitement installé et des bougies orne les rembarre y compris des fleurs qui décore le kiosque, en dîner ? Il y a moi et en dessert il y a elle. Vous comprendrez ! Je me suis mis sur mon trente et un : je porte un jean noir et une chemise blanche qui se serre un peu sur mes bras et mon torse, du parfum et une toilette parfaite j'attend dans la maison qu'elle arrive sur le kiosque, elle arrive et est étonné de voir tout cette préparation, elle est sublime même si pour une soirée romantique comme celle la il faudrait qu'elle porte une robe ect...mais non elle est parfaite t'elle qu'elle est,. Elle porte un pull noir (qui m'appartient) et un short jaune légèrement large. Elle tourne sa tête vers la maison d'où je fais mon entrer et écartant les bras pour lui dire « alors qu'en pense tu ? ».

Diiwan et TessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant