BABY'S HOLD UP
-ou comment une fille complètement impulsive manque de finir en prison à multiples reprises.
" Un braquage c'était simple, on rentre on récupère, on sort. Alors comment elle avait fait pour se retrouver dans une voiture, courser par...
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LA JEUNE FEMME entra dans la petite supérette de Palmer Street, une arme à feu caché sous son pull-over, un sac de sport Quechua à la main, une cagoule opaque sur sa tête.
Baby avait toujours eu une vie calme et ça malgré une mère l'élevant seule malgré une folie de plus en plus grande. Celle-ci l'avait fait finir dans un centre de désintoxication.
C'était peut-être pou ça qu'elle n'avait jamais été comme les gens de son âge. Elle avait toujours été seule, n'ayant besoin d'autre chose que ses habits extravagants et ses traits d'eye-liner multicolores.
Petite, elle s'était toujours juré de ne pas devenir aussi folle que sa mère, mais elle avait finit par devenir comme sa mère. Et ce qu'elle allait faire là maintenant le prouvé.
Elle sorti lentement le Beretta de son sac et tira en l'air trois fois. Puis la mexicaine récita la phrase qu'elle avait passer des heures à répéter chez elle, pour être sûr qu'on la prenne au sérieux.
« Personne ne bouge ! Appeler le responsable ! C'est un hold-up !»
Plusieurs cri retentir mais ce qui attira le plus son attention, fut la phrase prononcée par un jeune homme, lui aussi cagoulé, après qu'il est jeté son sac de sport à terre.
« Non mais c'est pas vrai ! » s'écria t-il
Baby chargea son arme, puis la pointa sur l'homme juste en face. Elle devait garder le contrôle de la situation.
« On a tous décidé de braquer le même endroit à la même heure ? Bon est-ce qu'il y a d'autres braqueurs ici ? » débita le jeune homme cagoulé
« Moi ! Et j'étais là en premier. Donc sortez, vous viendrez braquer une autre fois ! » dit un homme encore une fois cagoulé, tenant un sac de sport identique à celui de l'autre braqueur
La brune retira sa cagoule, regardant les autres personnes ahuris.
Un rassemblement de braqueurs. Voilà à quoi ressemblait la supérette, pour les otages.
Une supercherie voilà à quoi ressemblait la supérette pour la braqueuse.
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