Nous quatres

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Tout les quatres assis sur les rochers
Personne ne se met à parler
En silence nous admirons
Ce paysage que nous nous offrons
Les oiseaux volent et chantent
Sur la terre un milieu de plantes
Le vent nous traverse les cheveux
Et lorsqu'une étoile passe nous faisons un voeux
Il fait noir depuis longtemps déjà
Mais aucun de nous rentrera
Car la lune nous illumine
Comme les lumières de cette petite ville
Elle est petite seulement vue de haut
On l'a voit petite cas nous sommes assis sur les rochers au bord de l'eau
Plus précisément à côté de la chute
Celle qui vit constamment une lutte
Contre le courant et les poussées
Comme nous dans cette vie que Dieu nous as donné
Ce soir assis sur le rochers au bord de l'eau de la chute
Nous vivons nous aussi une lutte
Pas physiquement mais mentalement avec nos pensées
Est-ce que c'est ce soir que cela vas se passer ?
Si oui, pouvez vous dire mes dernières pensées ?
À mes parents, à mon frère et à ma soeur
Ceux que j'aime de tout mon coeur
Je voudrais juste que vous leurs disiez que je les aimes et qu'ils n'y sont pour rien
C'est mon choix, ma vie, mon train
Pas celui de la ville mais celui de ma vie
Il n'est plus avec vous mais ici
Il est arrivé à destination
Et ne peut retourner à la maison
Alors tout ce termine ici ?
Avec vous mes chers amis
Notre dernier moment ensemble
Tout mon être en tremble
On se regarde tous dans les yeux
Et nous prononçons notre dernier vœux
Celui de ne faire souffrir personne de notre absence
Pour conclure le vœu je prends un caillou et je le lance
Elle attérie dans cette chute
Celle qui nous as fait comprendre notre lutte
On se tient maintenant la main
Et à trois nous nous élancerons vers demain
Cette endroit où on pourra enfin être nous même
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Nous sautons très loin
Mais nous ne tombons pas nous volons
Comme ces oiseaux que nous admirions
À moins que cela ne soit mon imagination
Car un après l'autre vous tomber
Sur ce sol que Dieu à créé
Je vous regarde attérir
Vous n'avez pas l'air de souffrir
Votre sang s'écoulent sur ces plantes
Pendant que les oiseaux chantent
Et c'est à mon tour
Je vais vous rejoindre à ce jour
Je commence moi aussi à tomber
Ce sentiments de liberté n'a si peu durer
J'aurais aimé que vous auriez confiance en moi
Sans toute vos lois
À cause d'eux je n'étais pas libre
Je n'avais pas la sensation de vivre
Mais ce n'est pas grave j'arrive bientôt au sol
Et aucun des oiseaux ne volent
Chacun de mes membres commence à attérir
J'aurais aimé pouvoir vieillir
Mais c'est presque fini
Je sans mon coeur qui se languit
Mon sang s'écoulent à son tour
Et ma conscience part en ce dernier jour.

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