Je sais qu'il est de coutume
Que le rêve trépasse
Il arrive qu'ils s'enlacent et s'effacent
N'echappent les miens à cette règle je présume
Oh rien qu'une fois Permettez !
Je vous le demande ardemment
Laissez ces lettres d'or gravées
Gravées sur le temps
Je sais la nature humaine hostile
Je sais les aspirations futiles
Je sais l'amour versatil
Je sais le temps delebile
Et qu'il imprime sur ses fossiles
Oh s'il vous plaît, Permettez !
Que mon amour soit , ici , convenablement
Exprimer, de ce jour pour l'éternité
Oh Maître des cieux et des terres
Ici, solennellement évoquant
Chantant, s'il le faut et dansant
Espérant rien qu'une fois
Oh Permettez ! Rien qu'une fois.
Qu'une flamme s'allume grandisse
Et brûle de tous ses feux éternels
Par votre Amour, Permettez!
Je sais que les rêves
D'habitude s'effacent
Je sais qu'en allant le monde s'enlace
Par votre grâce, Permettez !
Puisque vous le pouvez
La moindre lettre ne changer
De ce livre d'or, Permettez !
Chaque lettre de cette grâce
Vous sera directement retourner
Aucune trace de toute lettre je n'oublierai
Oh s'il vous plaît, Permettez!
Je sais que les espoirs
Souvent en perles de feu finissent
Je sais que la chair
Ne cesse de trahir l'édifice
Par tout ce que vous avez
De plus cher , Oh Permettez!
Rien qu'une fois
A la réalité de s'offrir mon rêve
Par tout ce que vous protégez
De plus précieux, Oh Permettez!
Rien qu'une fois
A cette poudre dorée de se graver
De se graver dans le vent
Fuyant et turbulent
Oh Que vous le pouvez
Par votre bonté Permettez !
Permettez que mon rêve
Fusse réalité indélébile
Et que cet amour de vous
En nous dure ne serait-ce que quelques éternités.
