Kanora L'épée Sacrée [Terminé]

Chapitre 2 Lionel

L'école est en un mot gigantesque.
Il y a des bâtiments partout avec une arène au loin qui elle aussi semble gigantesque.
Cette éocle doit vraiment être riche.
Ma mère ne tarde pas et se dirige vers l'accueil en me tenant toujours le bras, comme si elle avait peur que je disparaisse.
Elle parle avec la dame de l'accueil lui expliquant notre visite surprise.
On nous ouvre et la dame nous accompagne devant une porte où est écrit sur une pancarte argentée "Directeur".
La femme toque sans tarder et on nous fit entrer.
Celle-ci explique notre intrusion au directeur avant de s'éclipser.
Le Directeur nous dit de nous assoir sur les fauteuils se trouvant face à lui et il parle avec ma mère.
Celle-ci lui explique que je souhaiterais entrer ici afin de m'améliorer et la suite ne m'intéresse plus.
En effet, je suis du genre fainéante et à ne pas écouter le blabla des adultes sans intérêts.
Ils parlèrent ainsi un bon moment avant que celui-ci ne s'adresse à moi.

- Si tu veux entrer ici, il faut que tu passes un test. Tu dois te battre contre l'un de nos élèves tiré au sort. Tu as le droit à la magie et tu disposes d'une épée. Tu portes aussi un habit approprié pour le combat qui se trouve dans les vestiaires que tu vas créer en fonction du poids, de la couleur où encore des matériaux.

Enfin un sujet m'intéressant, et puis je n'ai pas trop le choix vu que ceci décide de mon entrée dans cette école.
Il me désigne une porte sur sa gauche.
Je me lève et y entre.
Il y a à l'intérieur une machine plutôt grande.
Je me met en face et lit les explications.
C'est une tablette pour créer son costume spécial.
Il y a la coiffure qui pour moi est déjà faite donc une chose en moins.
Je commença à faire défiler face à moi les différents tissus ainsi que les formes.
Au final je pris un kimono blanc avec des fleur de cerisiers rouges dessus.
Il est composé d'un short pour le bas et s'arrêtant au niveau de mes cuisses.
Il y a également le choix de l'arme.
J'opte pour une longue épée mais pas trop fine avec un poignard que je mettrais un tout petit peut au dessus de la cuisse avant le bas du kimono afin qu'il passe inaperçu.
Mon kimono épais amortissant les attaques afin de réduire les risque de me blesser.
Pour les chaussettes, j'en pris des hautes et noires avec des fleurs elles aussi.
Elles me protégeront les genoux et les risques de frottement.
Je pris aussi des chaussures longues et m'arrivant aux genoux recouvrant une majeure partie des chaussettes presque entièrement recouverte.
Elles sont blanches et à partir de la cheville sont beaucoup plus de légère et pour plus d'agilité, elles possèdent une bande que devant et derrière mais pas sur le côté et pour les tenirs, une fleur rouge.
Plus j'y repense, et je me dis que les manches du kimono ne sont pas assez longues, car si je me prenais un coup dans le coude ou le poignet, c'est fini pour moi.
Je ralonge les manches qui tiendront par une bague aux doigts.
Je trouve cet armure parfaite, car elle est légère, souple, et me permet de rester agile tout en restant bien protégée.
J'appuie sur suivant et l'on me demande alors si j'utilise de la magie.
Je répond oui, et écrit sur le rectangle mes pouvoirs qui ne sont autres que le feu et la glace afin que le costume puisse les supporter.
On me demande mes mesures et je finis enfin.
La machine se mise en route et le kimono en sorti rapidement.
Je le prend et me dirige dans la pièce d'à côté qui se trouve être un vestiaire.
Je me change en vitesse pressée de voir le résultat.
Je me place face au miroir et m'admire soud tout les recoins et be trouve rien à redire, il est juste parfait et me va parfaitement.
Je mis la dague et là cache bien.
Je remonte les chaussettes et mets les bagues.
Je prend ensuite l'arme qui est elle aussi de proportion parfaite.
Je pus sortir et ma mère m'attendait.

- Tu es magnifique ! s'exclama ma mère

Je sentais qu'elle mourrait d'envie de pleurer de me voir grandir et m'envoler dans le combat.
Oui ma mère est excessive sur les bords mais elle reste gentil et supportable, de toute façon je n'ai pas le choix, je dois la supporter.
Une question me titille alors l'esprit.