Amoureuse de mon harceleur (Terminée )

chapitre 2: la colère

1 semaine plus tard: 

PDV Léa: 

Cette semaine a été la pire de ma vie, je déteste Axel autant que je déteste la peste de l'école: Agnès. Depuis le début d'année, elle m'ignore mais depuis qu'elle sort avec Axel, sa nouvelle victime c'est moi mais j'avais décidé de ne plus me laisser faire. 

Après les cours: 

Je me dirige vers le bus, quand tout à coup quelque chose ou plutôt quelqu'un se mis à me pousser très fort pour me faire tomber et cette personne réussit son coup puisque je m'étala par terre, je leva la tête et vis que la personne qui m'avait poussé n'était autre que... Axel qui était accompagné de Agnès. Je me mis à pleurer et toutes les personnes présentes rigolèrent, comme si j'étais le clown principale de ce cirque appelé: l'école. J'essaye de me relever mais ma jambe me fit extrêmement mal, ce qui fait que je suis retombée au sol, ce qui ne fit qu'accentuer le rire des personnes présentes. Au bout de plusieurs minutes passées à ne pas savoir me relever, une fille qui n'était pas là au départ m'aida à me lever.

"Moi: Merci ! 

Elle: De rien ! "

Je partis prendre place dans le bus tandis que la fille qui m'avait aidé pris place à côté de moi. 

"Elle: Tu t'appelles comment ? 

Moi: Léa et toi ? 

Elle: Noémie ! Tu vas bien ? 

Moi: Oui ne t'inquiètes pas ! Merci encore !

Noémie: D'accord ! "

On mit nos écouteurs et le trajet se passa en silence. 

Arrivés chez Léa: 

J'arriva chez moi en boitant, ma mère inquiète me demanda ce qu'il s'était passée. 

"Moi: Je suis tombée dans les escalier ! "

Je mentis à ma mère pour la simple et bonne raison que je ne lui avais jamais raconté pour mon harcèlement. Elle téléphona au médecin et pris rendez-vous pour le lendemain matin. 

Le lendemain: 

PDV Axel: 

Les cours avaient déjà commencés depuis au moins 2 heures et je n'avais toujours pas vu ma victime préférée. 

"Agnès: A quoi tu penses bébé ? 

Moi: Je me disais juste que notre victime préférée n'était pas là aujourd'hui. 

Agnès: c'est vrai que du coup on a personne à embêter. 

Moi: Qu'est ce que ça m'a fait rire quand tu l'as poussée hier ! 

Agnès: Le plus marrant c'est quand elle a essayée de se relever mais qu'elle est  retombée. "

On se mit tous les deux à rigoler et elle m'embrassa.