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Point de vue de Selena

Comme punitions il me mets dans ce que l'on appelle la pièce noir, il s'agit d'un pièce plonger complètement dans le noir et insonoriser, elle vous fait perdre la notion du temps et vous déprive de vos sens, assez longtemps a l'intérieur de cette pièce rendrais n'importe qui fou, moi de même, il faut plus longtemps certe mais éventuellement ca me rendrais folle.

J'attend alors j'attend patienment qu'il revienne me chercher tout en me servant de ce temps pour faire le point de ce que je sais.

Pour sortir d'ici, la seule façon, semble être escalader la surface du batiment en se servant des balcons, ca seras pas difficile, cette partie ne m'inquiète pas, après il faut que je trouve une faille dans la clôture c'est la prochaine étape à trouver, une fois passer la clôture, il faut traverser l'épaisse forêt qui nous sépare du monde, alors que nous serons a pied il faudras courir a travers les branches pour les empêcher de nous poursuivre a camion pour au moins 2h30, sans compter de diffurcation de chemin qui serons a faire, ils vont sans doute placer des hommes tout autour de la forêt nous bloquer à la sortie, ce seras un détail a évaluer rendu la. Une fois sortie du bois c'est une partie de plaisir, mes nombreux contact se retrouvant au mexique pourrons me renvoyer au états dans le temps de le dire.

Le probleme la-dedans c'est après, ils ne cesserons de me rechercher que lorsqu'ils m'auront retrouvé et je ne doute pas en leur capacité à la faire, il faudras donc que je me tienne à l'aguet, prête à riposter.

La porte s'ouvre finalement dans une lumière éblouissante qui m'oblige à fermer les yeux, Jack rentre m'empoigne par le bras et me ramène à une chambre qui n'est pas la « notre »

Cette chambre est d'une couleur rouge sang et es meublé de plusieurs objets de torture, que je reconnais tous sans hésitations, je me doutais bien qu'il n'allais pas que me laisser dans la pièce noir comme punitions

Il m'amène dans une chaise pour m'y attacher quand je réalise que je devrais être en train de me débattre. Je me mets alors a combattre son emprise légèrement. La chaise dans laquelle il m'attache est munie de sangle sur les apuis bras et les pattes de la chaises.

- Bon Bon Bon Elena, je me trouble à savoir qui tu es vraiment? La jeune fille bien ordinaire que mes hommes on trouver ou bien quelque chose de bien plus important?

Je lui esquisse un petit sourire

- je suis une fille bien ordinaire, monsieur

Il emet un petit rire moqueur, se dirige à ma droite et empoigne le martinet

- nous allons vite le découvrir, Elena, me dit-il avec un regard malicieux

Je ferme les yeux et je prend une grand inspiration et je descend la protection que j'ai réussi à placer il y a tant d'années, qui me permets de ne rien sentir, côté douleur physique, il le faut, je peut pas résister à la douleur qui s'en viens cela confirmerais ses doutes.

Le premier coup tombe et il fais foutrement mal, cela fais des années que je n'ai pas ressentie de telle douleur, mais je me retiens de crier serrant les mains sur la chaise, puis un autre et un autre les coups pleuvent et je me laisse crier après une trentaine de coups il s'arrête

- Alors ma chère qui est tu?
Je prend quelques seconde pour me resaisir
- Je suis Elena Prain,monsieur
-Et qui es-tu Elena Prain?
- que voulez-vous dire monsieur?
- Décrit moi ta personne..
- Je n'ai pas grand chose à dire monsieur, je suis une fille qui habitent dans les habitations de la fac, j'ai toujours eu des notes dans la moyenne...
- Qui sont tes parents Elena? Entre chaques questions il me frappait a trois reprise
- mon père est jacob Prain, il travaillais dans une usine, ma mère est marizta Prain, elle était infirmière, les deux sont décédés d'un accident de voiture alors que j'avais 10 ans
- qu'as tu fait après ça?
- j'ai été vivre chez mes grands-parents, repondis-je laissant les larmes couler
- Ta mère Marizta, c'est un nom latino ça, parle moi d'elle... , trois autres coups arrivent
- Ma mère est née et à grandis au mexique avant de déménager au états pour ses études d'infirmières, c'est pour ça que j'ai sourie lorsque vous m'avez dit que nous étions au mexique, la ville natale de ma mère que j'ai perdu si jeune... s'il-vous plait j'en peux plus
arrêter avec les coups

- Bien je te laisse récupérer pour aujourd'hui, mais je garde un oeil sur toi, je ne suis toujours pas convaincu...

Il me détache et me ramène à la chambre avant de me laisser seul alors que je remets en place ma barrière contre la douleur

KidnappedOù les histoires vivent. Découvrez maintenant