Rien ne va plus. Je ne peux m'empêcher d'y songer. Ces souvenirs douloureux s'emparent de mon être et prennent plaisir à le tourmenter.
Il a peur. Constamment. Il désire s'évader dans l'infime lueur qui menace de s'éteindre.
Rien ne va plus. Il suffit d'une minuscule minute pour que tout sombre dans l'infini obscur. L'abysse abuse de ma chevelure et la traine dans ses profondeurs.
La minute s'est écoulée. On ne distingue plus aucun faisceau.