La fête bat son plein, je suis heureux que Presnel mets invité. C'est mon meilleur ami depuis le berceau et même si on s'embrouille souvent, pour rien, il reste très important pour moi. C'est lui qui était là le jour de ma séparation avec Neymar, il y a huit ans de cela. Lui était âgé de seize ans tandis que moi, je venais d'avoir seulement douze ans.
Beaucoup de chose on fait qu'il ma énormément détruit, mais je lui laissé toujours une chance, comme on dit l'amour rend aveugle, mais je ne pensais pas qu'en seulement 2 jours, une relation pouvait se détruire autant en si peu de temps. Je savais très bien que sa allait ce finir comme ça, mais je redoutais le moment où ce jour arriverais.
Je me frais tant bien que mal un passage entre la foule dispersé un peu partout dans le salon avant d'entré dans la cuisine. J'attrape un gobelet propre et me sert un verre de coca cherry. Je n'ai jamais bu une seule goutte d'alcool, et ce n'est pas maintenant que cela va commencé.
Je sors de la cuisine, verre en main. Je monte les escaliers pour me rendre au première étage, mais je manque de tombé. Quelqu'un me rattrape avant d'ajouté en rigolant.
- Tu devrais arrêter l'alcool, je crois.
Mes poils s'irise a l'entente de cette voix. Ne me dites pas que c'est lui ? Tout sauf ça s'il vous plait. Je relève les yeux vers la personne qui venait de parler et mon monde semble s'écroulait autour de moi. Il est belle et bien là, se tenant devant moi, son bras tenant fermement mon poignet.
- Je ne bois pas. Dis-je d'un ton glacial.
- Kylian ?!
Il fait les gros yeux avant de me tiré avec lui vers une pièce.
- Tu aurais la gentillesse de me lâché ? Enfin, si gentillesse fait partie de ton vocabulaire bien sûr.
- Arrête Kylian, je sais que tu m'en veux pour ce que je t'es fait, mais comprends moi. Je n'avais pas eu le choix. C'était toi où mes parents et ma carrière que je m'étais en jeu et tu sais a quel point le football c'est toute ma vie.
- Tais toi, je n'ai pas besoin d'entendre tes paroles. C'était avant qu'il fallait s'expliquer, je t'avais laissé tout le temps pour le faire, mais rien, rien ne sortais alors je suis parti.
- Je suis tellement désolé d'avoir fait ça, je ne sais pas pourquoi j'ai fais autant de chose nul en une journée.
- Bah moi je le sais, tu n'es qu'un égoïste sans coeur Neymar.
- Laisse moi une dernière chance, s'il te plait.
- Je t'es laissé des centaines de chance, mais tu l'es a toute brisés une à une.
- Mais j'ai changé. Je ne suis plus le même, je ne réagis plus pareil.
- J'espère pour toi que tu as changé, sinon pauvre de toi vraiment.
- Oui, j'ai merdé, je le sais, mais tu en fais toute un plat pour pas grand chose.
- Pardon ?! Tout un plat pour pas grand chose ?! Tu rigole là ?! Dans la même journée, tu m'as fait deux coup de pute. Le premier quand tu ma clairement fait comprendre que je n'étais pas la bienvenu chez toi et que si t'es parents ne m'apprécier pas alors toi et moi ne rimé a rien et ensuite l'après-midi, on a eu un putain d'accident de voiture par ta faute car tu m'a dis que tu savais conduire alors que ce n'était pas le cas et en plus de ça, quand tu as vu mon corps en sang, avec une respiration ralentit, tu t'es barré ! Putain, tu réalise ou pas ?! Tu m'a abandonné alors que j'étais entre la vie et la mort ! Tu n'as même pas appelé les pompiers ! Tu as vu que toi tu allais bien et tu t'es cassé ! Est ce que au moins une seule fois tu es passé me voir à l'hôpital ?! Nan, la réponse est nan ! Tu n'es jamais venu, même pas tu as culpabilisé, bah non bien sur que non, sa aurait été trop beau. Tu as pris de mes nouvelles ?! Jamais et quand je suis sortie et que je t'es demandé des explications, la seule réponse que j'ai eu de ta pars était "Il est mieux que notre relation s'arrête, mes parents ne t'aime pas et je ne peux pas vivre aux côtés de quelqu'un que ma famille déteste". Tout ça car j'étais un garçon et que dans ta famille se sont des putain d'homophobe alors ne m'approche plus jamais ! Tiens toi loin de moi !
Je pars, des larmes de rage coulent sur mes joues, l'image de son regard pleins de regrets toujours en tête.
Pourquoi m'a tu fais autant de mal ?
