Sacré théorème !

 -Le mois de juin allait prendre fin, et tous les étudiants qui passaient leurs épreuves étaient de plus en plus stressés. Sauf pour une personne. Elle répondait au nom de Léonore Watsonia. Elle qui avait beaucoup révisée pour ses examens qui lui amèneront à un travail, un salaire, une maison, un homme et des enfants (peut-être un chien ou un chat dans le lot). Mais en attendant, elle était assise à la 47ème chaise de la salle avec 50 autres étudiants oui et non de sa classe avec un professeur pour une épreuve de Mathématiques. Dans sa tête, en lisant les questions, c'était très clair pour elle.Alors elle n'hésitait pas à mettre la réponse. À ce rythme-là,elle allait finir avant les autres, à 1h30 du temps proposé. Mais elle ne pouvais pas ralentir. Elle était déjà à la 8ème page sur 10 de l'examen, et il y avait des équations, des inéquations et autres incompréhensions de mathématiques. Pour Léonore, c'était comme diluer du cacao avec du lait pour faire un chocolat chaud,alors elle répondait de plus belle. Mais en voyant la question suivante qui était : « Dans cette exercice, √(x*75%)(6:y)= ? » et elle ne savait pas la réponse portant. On dirait que l'examen a voulu que cette gamine ne fasse pas la maline. Elle voulait vraiment le terminer rapidement, mais réfléchissant, elle ne trouvait aucun moyen de le résoudre. Alors elle hésitait à répondre : « √(x*75%)(6:y) n'est pas égal à un point d'interrogation car un équation, une inéquation,une fonction ou autre ne sera jamais égal à ça. » juste pour la blague. Léonore était ce genre de fille intelligente mais qui faisait la rebelle pour se faire remarquer et avoir de l'entourage.Voyant le surveillant passer à côté d'elle, elle pensait que c'était un peu risqué et qu'elle fallait qu'elle passe à la question suivante. Mais elle voulait vraiment mettre cette phrase.Pour elle, c'est comme si cette phrase changera la face du monde.Alors elle l'écrivit et faisait en sorte que ce soit lisible avec aucune faute possible, c'était un examen quand même. Fière de son exploit, elle continua la suite. Au final, elle avait terminer 1h avant tout le monde. Pendant ce temps, elle relisait sa phrase humoristique en boucle en pensant la réaction de celui qui la corrigera. Peut-être sera-t-il choqué de cette réponse de la part d'une brillante élève, soit étonné, soit se disant qu'elle a raison. Mais avant qu'elle ne pense à autre chose, l'examen était fini et les étudiants pouvaient rentrer chez eux. En rendant sa copie, elle eut un doute mais au final, il était trop tard car son examen allait finir dans un bureau avec un correcteur. Sur le chemin de chez elle, elle réfléchissait qui pouvait bien la corriger son examen. Mais cette réflexion ne resta pas longtemps dans son esprit. 1 semaine après que les examens furent terminer, les étudiants pouvaient se soulager de ne plus en avoir pendant un bout de temps et de profiter de l'Été qui allait arriver. Ils ne devaient pas s'épanouir que de ça, mais surtout leurs résultats finaux. Le jour où les résultats des examens étaient affichés sur les murs du lycée, Léonore cherchait désespérément si elle l'avait eu ou pas. Cette question était un peu trop bête pour tout le monde car elle était dans les premières de sa classe. Mais arrivant dans les noms de famille commençant par « W », elle regarda tout en haut de la fiche, cherchait « Watsonia » et trouva : « Léonore Watsonia :Mention Très Bien ». Comme touts les autres étudiants, elle criait de joie, pleurait et voulu appeler ses parents, mais un professeur l'interpella et lui dit : « -Léonore, peux-tu venir avec moi dans le bureau du proviseur à propos de ton examen ? » Ce n'était évidemment pas une question vu que Léonore était obligée de le suivre. Mais pendant tout le long du chemin, Léonore était inquiète, il y avait plus de chances que se soit une mauvaise nouvelle qu'une bonne. Peut-être à cause de la réponse de son examen. Mais elle essayait de réfléchir à la bonne nouvelle, sis'en est une. Peut-être que comme elle avait la mention très bien,le proviseur veut la félicité ou autres. C'était trop dur de réfléchir à cause de son stress. Arrivé devant la porte du bureau du proviseur, pour Léonore, c'était comme si le jugement dernier venait d'arriver. Le professeur lui dit : « -Je te laisse rentrer. C'est une conversation intime. » Léonore frappa à la porte,attendit que quelqu'un dise « Entrez ! » et referma la porte derrière elle. Son proviseur était derrière son bureau avec un homme en costard. Le proviseur ne lui demanda pas de s'asseoir, mais il commença à dire : « -Ma chère enfant, si je t'ai fait venir ici ce n'est pas pour rien mais on ne va pas s'attarder là dessus jusqu'à la fin de la journée. Je t'ai fait venir car l'homme qui est dans ce bureau vient de l'Académie et aimerait parler de ta réponse de ton examen de Mathématiques. » C'était sûr, il n'y avait aucun doute, c'était à cause de sa réponse. Cette personne allait lui passer un savon juste pour une blague ridicule. Mais, en commençant à l'entendre parler, il avait plutôt l'air ravi. Il dit: « -Léonore Watsonia, à propos de votre réponse qui est, je cite: √(x*75%)(6:y) n'est pas égal à un point d'interrogation car un équation, une inéquation, une fonction ou autre ne sera jamais égal à ça. Tel est votre réponse. Et bien, j'aimerais vous dire que... Vous avez parfaitement raison ! » Léonore ne revenait pas d'entendre ce que lui venait de dire cette homme. Était-ce vraiment une blague de mauvais goût ou la pure vérité. En voyant le sourire radieux de l'homme et de son proviseur, elle doutait que cela était une blague. Alors elle dit :« -Je... je ne comprends pas de quoi vous voulez parler. -Voyons, Léonore, dit son proviseur. Ce que veut te faire comprendre cette inspecteur est que personne avait pensé à mettre cette réponse, et tu es la seule à l'avoir mis. On a relu toutes les autres réponses et on a constaté que aucune n'était bonne. Mais la tienne était dénouée de sens profond. Un calcul ne peut pas être égal à un point d'interrogation. C'est complètement vrai ! Même moi je ne l'avais pas pensé. Mais grâce à ton théorème, tu vas devenir célèbre Léonore. » Un théorème ? Cette discussion allait beaucoup trop loin pour elle. Devenir célèbre grâce à une réponse idiote, on n'a jamais vu cela dans l'histoire. Peut-être que les gens étaient trop stupides pour voir la stupidité de cette phrase. Alors Léonore reprit : « -Non, c'est... c'est complètement absurde. Je ne mérite pas tant d'honneur pour mon « théorème », c'est juste une réponse stupide. -Mais rien n'est stupide dans ce que tu as mis Léonore, reprit son proviseur. Ta phrase est complètement véridique et tu es bourrée de talent que tu n'exploites pas assez. De toute façon, tu ne peux pas vraiment dire non puisque ton théorème va être établi dans touts les livres de mathématiques. Donc maintenant, si tu pouvais partir, on en a terminer avec toi. -Mais attendez, je.. » Léonore n'a pas eu le temps de dire sa phrase que l'inspecteur l'a fait sortir du bureau.Contrariée, elle décida de rentrer chez elle le plus rapidement possible car elle n'avait pas envie qu'on lui parle à propos de ça.En rentrant chez elle, elle vit ses parents l'attendre avec un sourire aux lèvres : « -Félicitations mon cœur ! Dirent ses parents. -Merci, dit Léonore, mais je n'ai pas très envie de parler.. -Voyons, mon cœur, dit son père, un événement comme ça,ça se ne produit pas tous les jours. Je me demande comment t'as fait pour trouver la bonne réponse. Enfin, bref, ce qui compte, c'est que tu vas devenir célèbre grâce à ta découverte et... » Léonore commença à monter dans sa chambre. Elle croyait que ses parents allaient la harceler à propos de sa mention, mais on dirait que la nouvelle s'était déjà répandue à eux. Quelques jours plus tard,la nouvelle s'était répandue dans le journal télévisé et dans les journaux en disant que le « Théorème de Léonore Watsonia » était la recherche la plus exploitée du 21ème siècle. Environ 2 mois plus tard, dans toutes les écoles, on apprenait ce théorème dans les livres de Mathématiques. Le Théorème de Léonore Watsonia avait déjà fait le tour du monde en seulement 2 mois environ. Les gens étaient trop stupides pour comprendre cette blague. À cause de ça, Léonore n'eut pas la vie qu'elle espérait avoir.