Chapitre 24

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"Comment sa il a disparu?"

 "Je crois que ton père lui a donner une fesser et envoyé dans sa chambre. Ta mère a été le chercher il y était pas.

"OK ou sont mes parents?"

"Dans le jardin."

Il le remercie et rejoins le jardin ou il trouve sa mère en pleure assis a côté de son père qui apparemment rumine dans sa barbe.

 "Maman qu'est ce qu'il s'est passer ?"

"Je suis désoler je l'ai pas vu partir."

(le prend dans ses bras) "Maman c'est pas de ta faute. Ont va le retrouver. Il doit pas être loin. Est ce que sur les caméras ont le voit sortir ?"

 "D'après les gardes non."

(regarde son père) "Et toi Joe, tu as vu quelque chose ?"

"Non."

Michael le regarde et soupire doucement.

(s'adresse au garde) "S'il vous plaît ne faite plus aucun bruit. Éteignez vos lampes."

 "Mais ont verra plus rien."

 "Sydney a peur du noir si il est dans le jardin il va se rapprocher de la demeure et si il entend ma voix il va crier et m'appeler. Donc plus aucun bruit."

Il attendent une minute et finissent par entendre des cris et des pleures.

"PAPA!!! PAPA!!!"

Ils commencent a tous s'avancer.

 "J'y vais seul il va paniquer si il vous voit."

Michael commence a avancer vers les cris qui continuent. Il fini par arriver vers le cours de badminton. Il cherche et finit par entendre des sanglots, il se dirige derrière la cabane qui est inaccessible pour les adultes le trou étant trop petit. Voila pourquoi ils ne l'ont pas trouver.

"Mon cœur sort c'est papa."

"Tu va me punir ?"

"Non chaton, vient me voir ont va parler tout les deux."

Le petit réfléchis et repasse par le trou du grillage. Il voit son père et saute dans ses bras. Michael le rattrape de justesse et le sers fort dans ses bras. Il va s'asseoir sur un banc qui se trouve sur le terrain et attend que Sydney se calme, il lui caresse le dos et embrasse de temps en temps son front. Une fois calmer il le relève de son torse et le regarde même si il fait noir. Il y a les reflet de la villa. 

 "Tu m'a fait peur mon cœur. Pourquoi tu est parti ?"

 "Parce que je voulais pas être encore frapper."

"Qui ta frappé?"

"Grand père. Papa? "

 "Oui mon cœur?"

"Toilette."

"Tu as ta couche mon cœur."

"J'arrive pas."

une lueur d'espoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant