Chapitre 67

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RANCH NEVERLAND 18 H 

Michael est assis sur le canapé depuis maintenant deux bonnes heures. Il est maintenant 18 h et la nuit commence a tomber. On a beau être en mars, le soleil ne se couche pas si tard. Et la nuit commence a tomber. Michael s'inquiète de plus en plus. Quand ils ont regarder les caméras de surveillance juste après la  découverte de Sydney disparu, ils n'avaient vu personnes sur les écrans de contrôle. Sydney a du passer dans les angles non visibles pour ne pas se faire remarquer par les gardes poster au entrées principal de la grande demeure. 

Une équipe de gardes a été envoyé fouiller les alentours et les routes les plus proches du ranch. Au bout d'une heure de recherche sans résultat, ils ont fini par se décider a appeler la police. Les gardes l'ont fortement recommander a leurs patron qui ne savait plus quoi faire. Ils sont arriver sur les lieux, une petite demi heure après, demandant a voir le responsable légal du jeune homme.   

Michael est limite en train de pleurer. Il s'en veux énormément, il aurais du aller voir son fils pour savoir ce qu'il avait. Mais non, il na pas écouter son instinct. Quelle horrible anniversaire pour Sydney. Il se répète en boucle qu'il n'est pas un bon père. A force de se le répéter il commence a vraiment pleurer et des petites larmes commence a goutter le long de ses joues creuse. Il s'en arrache presque les cheveux. Il aurais du être insistant, sa ne serais pas arriver. Il sait que son fils a besoin d'attention, mais non lui a fais le contraire. Ses larmes coulent de plus belle a cette penser. Il ne peut pas se passer de lui. C'est son fils, il a autant besoin de lui, que Sydney a besoin de son père. 

Il sens une main sur son épaule qui le fait sursauter. Il tourne la tête et aperçois Bill qui est en présence de deux policiers. Les mêmes qui l'ont interroger il y a une heure.

 "Du nouveau ?"

"Non je suis désoler. Mais ont aimerais vous posez d'autre questions. C'est possible ?"

Michael rit intérieurement. C'est la première fois que des policiers -depuis sont affaires - qu'ils voient des policiers bien faire leurs travail. Sans être brutal ou malpolie. Et qui demande avant de commencer. 

"Oui bien sur asseyez vous."

 (s'assoie) "Bien. Est ce que il y a un endroit ou Sydney aime allez particulièrement ?"

 "Oui mais sa m'étonnerais qu'il aille la bas. C'est a plus de deux heures d'ici."

"Vous pouvez nous donnez l'adresses ? Je sais que c'est improbable, mais cela fait deux heures que Sydney est parti. Il peut très bien être déjà la bas."

"A Encino ?"

 "C'est possible. C'est quoi comme lieu ?"

"C'est la maison de ses grand parents. Il adore allez la bas."

"Vous pourrez les appeler après pour vérifier si il est la bas ?"

"J'appellerais."

"Ensuite ont aimerais savoir pourquoi Sydney a fugué ? Ont vous posent la question pour savoir, c'est la procédure a suivre."

"Je comprend tout a fait. Il a fugué parce que sa fait quelque jours que je ne lui porte pas assez d'attentions. J'ai depuis peu une nouvelle compagne qui a des enfants. Et cela ne lui plait pas. Il n'aime pas partager son papa."

"Monsieur vous confirmez les dires de monsieur Jackson ?"

"Oui tout a fait. Je connais bien Sydney maintenant et oui il serais capable de fuguer pour ses raisons. Et je pense que c'est le cas, vu le mot qu'il a laisser."

une lueur d'espoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant