Le Réveil du Roi des Vampires

CHAPITRE 2

CHAPITRE 2 : La peur au ventre.

Marie regarda sont amie et s'assit tout tremblante. Elle était sur le point de s'évanouir. Adeline attendait une réaction de sa part mais la seule réaction de son amie ce fut des tremblement.

- Marie ?

-Je ... Je...Je ne peux pas....

- Marie, je sais que c'est dur pour toi mais malheureusement tu ne peux pas refuser.

- Mais pourquoi ? Je ne veux en aucun cas y allée. En plus c'est demain !!

- Je sais mais tu l'as lu tu ne peut pas refuser.

- Que vont-ils faire si je n'y vais pas ?

- Ils risquent de te tuée ou de tué ceux qui te sont chère ou encore de déclaré une guerre aux humains. Cette cérémonie est plus importante que des vies pour eux. C'est leurs roi.

- Comment tu sais tout ça ?

- C'est passer aux infos de 13h.

- Je peux pas ... J'ai trop peur Adeline.

- Oh Marie.

Adeline pris Marie tremblante dans ses bras. Elle était terrifié. Marie se demandait pourquoi il l'avait choisit et comment ça allé se passer. Elle se demandait si elle allait survivre a cette cérémonie. Va-t-elle se faire agressée comme le jour de ses 7 ans ?

- Eh... Marie regarde-moi, Adeline mis ses mains sur les joue de Marie et lui releva la tête, rien ne va t'arrivait d'accord ?

Mari secoua vivement la tête de droit à gauche.

- Je sais que tu es inquiète mais aucun vampire ne va te touché comme aucun surnaturel dans cette salle. Les vampire veulent que le réveil de leur roi soit parfait et pour cela aucun faux pas ne sera toléré durant cette soirée.

- J'ai peur Adeline.

- Viens la.

Adeline repris son amie dans ses bras tout en essayant de la calmée ce qui sembler être impossible au vu de l'état de Marie. Pour essayer de faire passer la nouvelle Adeline partie faire un chocolat chaud, la boisson préféré de son amie et pris un plaid qui était posé sur un petit tabouret dans le salon à côté du canapé.

Adeline mis le plaid sur les épaules de son amie et lui donna son chocolat chaud. Malheureusement rien n'y fait Marie restée dans ses pensés concernant cette cérémonie. Apeuré, elle ne pouvait s'empêche d'imaginer le pire.