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Salut, je m'appelle Marianne, je suis étudiante et je vis à Lyon, je vis également avec deux des personnes qui comptent énormément pour moi, tout ça pour conclure ce petit résumé de moi en disant que c'est ma deuxième année au sein de L'ESAIL de Lyon, ce fut également au cours de cette année que j'ai rencontré Gabriel. Il est assez grand, possède de profonds yeux noir, des cheveux de jais, ainsi qu'une discrète paire de lunettes qui je dois l'avouer, lui donne un charme insolent.
Je sonne à la porte du vingt deuxième appartement de l'énorme bâtisse dans laquelle vit mon camarade de classe.
Je patiente en silence, devant moi se dresse l'immense porte noire qui fait office de barrage entre son appartement et moi.
Alors que je m'enfonçais dans un labyrinthe de pensées, la porte s'ouvrit sur lui, uniquement vêtu d'un jogging de couleur grise, ainsi que d'un t-shirt noir tout à fait banal. Je remarque qu'il ne porte pas son habituelle paire de lunettes, ni ses boucles d'oreilles? ça fait drôle la première fois, mais on s'y habitue.
- Salut Marie, ça va ? Je souris à sa nonchalance et lui répond en souriant.
- Non, c'est d'ailleurs la raison de ma visite, alors prêt à accueillir ta fantastique amie pour la soirée? Voir le weekend? Dis-je d'une voix mielleuse en tapotant mon sac de sport, et je joins mes deux mains ensemble d'une manière solennelle, ce qui lui arrache un sourire en coin.
- Inutile de te dire de faire comme chez toi. Dit-il d'un ton ironique en me cédant le passage. Je le remercie d'un rire franc et sans plus attendre je pénètre dans l'enceinte des murs, pendant que mon hôte referme la porte derrière moi, je ne suis étonné de trouver des plans de bâtiments et des croquis de meubles étalés sur sa table basse, je lui lance d'un ton moqueur.
- Je ne savais pas que l'on proposait une déco papier pour les tables?
"Ah" fut la seule chose qu'il me répondit.
- Dit Gabi', t'aurais pas une boisson à me suggérer ? Comme le ferait une personne bien élevé? J'échappe un petit rire en déposant mes affaires dans un des fauteuils proches du canapé.
- Tu n'est pas invalide, donc tu va te servir de tes deux jambes et te rendre dans la cuisine ou tu te servira ce qui te chantera. Me dit-il avec humour avant de prendre une bouteille de freez traînant sur la table basse et de me narguer en la buvant.
- Attend.....Ta cuisine peut chanter ? je répond en ricanant et en m'installant dans le canapé.
- Toi et ton humour disons....merdique. Se moquait-il en s'asseyant près de moi, s'enfonçant par la même occasion dans le canapé.
- J'en prendrais une plus tard. Dis-je d'un ton nonchalant en lui piquant la bouteille des mains. Sinon toi ça va ? Le questionnai-je en buvant une gorgée de la boisson.
- Heu.....ouais, mais j'ai un peu froid, peut-être qu'un baiser pourrait me réchauffer?
Me dit-il en me regardant droit dans les yeux, un sourire coquin au coin des lèvres.Nous avions pris l'habitude de ce petit jeu, et niveau tact il ne s'est toujours améliorer mais j'en ai des frissons à chaque fois, ou c'est simplement dû au froid hivernal qui commence à s'installer.
En tout cas, l'atmosphère se fait tiède et nous nous fixons toujours, n'osant pas un seul geste.
Nous n'étions pas vraiment à l'autre bout du canapé, mais notre proximité soudaine est telle que je sens son souffle sur mon visage, et heureusement pour moi, ça sent la cerise.
Je me mord la lèvre inférieure, signe que mes pensés se mélangeaient et se faisait plus obscènes les unes que les autres.
Lentement, il se rapproche de mon oreille, et d'une voix si sensuelle que je ne lui connaissais pas, il me chuchote ces quelques mots qui me firent frissonner:- Si on faisait quoi que ce soit ce soir, notre relation resterait-elle la même ?
- Pourquoi devrait elle changer? Dis-je avec un désir très prononcé dans la voix en déposant lentement la bouteille en bord de table, sans pour autant le quitter des yeux.
Pour seule réponse, il pressa ses lèvres sur les miennes, dans un baiser fiévreux.
Inutile de préciser que l'ambiance venait de grimper en flèche, et que mon être se consumait lentement, très lentement, beaucoup trop lentement.
Il s'arrêta un instant, ce qui me provoque un grognement de frustration et se recula pour me fixer avec envie, ce qui ne manqua pas de me faire sourire.Et il me lança d'une voix suave :
- Tu ne voudrais pas continuer dans un endroit disons plus confortable ?~
Il me dit tout ceci avec un sourire tellement, tellement, tellement ~ indescriptible!
Pour toute réponse il eu droit à un petit sourire coquin.
Sans plus attendre, il me soulève en agrippant mes fesses, par automatisme j'enroule mes jambes à ses hanches et mes bras à son cou puis lui susurre à l'oreille :- T'a conscience que t'es en train de soulever une petite centaine de kilos ?
Il me répondit avec un calme et un humour qui me fit sourire :
- C'est pas grave, ça me fera de l'exercice.
Sur ces bonnes paroles, il m'embrassa avec vigueur, ce qui n'était pas pour me déplaire, et nous entraîna vers sa chambre.
Il entra, alluma la lumière tamisé de la pièce, en même temps, d'aussi loin que je m'en souvienne il ne supporte pas les fortes clartés. Il faufila sa main droite en dessous de mon pull, pendant qu'il me tenait fermement le postérieur. Il dû faire deux trois pas, que nous étions arriver au pied du lit. Il me posa délicatement sur le matelas et se mit à califourchon sur moi.
Il m'ôta mon pull, et je me retrouvais en soutien-gorge, devant mon amant qui présentais un regard bestial. Il m'embrassa la commissure des lèvres, la joue, me lécha le cou, et fit descendre sa langue jusqu'à la naissance de ma poitrine, me faisant gémir, il relève la tête vers moi en souriant, puis vint m'embrasser tout en dégrafant mon soutien-gorge. Une ne fois celui-ci retiré, il descendit d'un étage et prit en bouche mon seins gauche, en me regardant, il lécha mon téton. Je poussa un long soupir d'aise, mais il ne s'arrêta pas là, il défi mon jean, et me le retira lentement, trop lentement à mon goût.
Mais il me laisse tout de même mon bas ainsi que mes chaussettes. Il revint ensuite sur mes lèvres, où se déroule dorénavant un acte sauvage, mais passionnée. J'entrepris de fourrer ma main droite dans ses cheveux afin d'approfondir le baiser, ce qu'il apprécie je crois. Je profite de cet échange buccal, et faufile ma main gauche en dessous de son t-shirt et dessine des arabesque sur son dos, la droite ne tarde pas à la rejoindre, au détriment de sa chevelure.- Alors, on s'impatiente? Me dit-il d'un air taquin entre deux baisers.
Il eu un regard brûlant en guise de réponse.
Il se leva et enleva son t-shirt de manière trop lente pour mon métabolisme en feu, il laisse tomber son jogging par la même occasion et me fit languir en descendant son deuxième bas.
Il revint sur le lit, et se remit à califourchon sur moi entièrement nu, sortit sa langue de sa cavité buccale et traça une ligne invisible en partant de mes seins jusqu'au début de mon intimité.
Avec des mains que je juge très habiles, il m'enlève mon shorties, le faisant glisser le long de mes cuisses puis revient dans ma direction et glissa son muscle rose en moi.
Après ce qui me parut une éternité de bonheur, il introduisit deux doigts, qu'il mouvait en faisant de lent et profonds vas et viens. Ce geste était si bon, si intense que je me cambra en arrière en me mordant la lèvre inférieur afin d'étouffer mon gémissement, un gémissement qui en sortant fit sourire mon partenaire contre moi. Il se releva lentement, la respiration tout aussi saccadée que la mienne, lui donnant une allure des plus érotique et me dit de manière très sensuelle comme dans un murmure, un murmure qui me provoqua un frisson foutrement bon:- Laisse toi aller Marie.
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General FictionUn jour comme les autres, Je pensais passer ma soirée du Samedi soir avec mes deux coloc', mais elles sont "indisponibles", pfff merci la solidarité féminine. Pour ne pas passer une soirée morose en solitaire, j'ai appelé mon ami Gabriel, aka Gab'...