chapitre 17

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Sans dire bonjour où presenter autre signe de politesse marc lui dit:
-- mademoiselle kay assayer vous.
Et lisa obeït sans trop broncher parcqu'elle savais qu'elle etait en faute.

-- vous savez combien de minutes vous avez de retard?

-- 30minutes repondit elle siplement pour pas qu'elle hatise encore la colère qui se lisait dans ses yeux.

-- et que fesiez vous pendant ces 30 minutes ?
-- je..

-- et je vous conseil de ne pas me mentir.

-- j'avais pas l'intention de mentir precisa cette derniere avec une voix a peine audible, je me suis reveiller en retard a vrai dire hier a été une journé epuisante pour moi.

-- oui je sais de quoi vous me parlez repondit -il.
la colère qui l'animait augmenta encore a l'entente de ses paroles.
Ainsi jared avais passer la nuit avec elle?

Hier il était allé chez la jeune femme non seulement pour confirmer qu'elle avait dit vraie pour ses probleme de famille mais aussi pour l'invité a dejeuner. Cette fille le rendait tout chose , mais a present il voulait se ressaisir et rester professionnel, il etait maitre de tout , de son corps, ses affaires et toute personne qui croisait son chemin et ce n'est pas avec cette fille qu'il cessera de tout contrôler en plus.

Et il ne voilait surtout pas melanger privé et professionnel c'etait parmis ses rêgles d'or donc il ne le transgresserai jamais et pas pour une fille qui sortait avec un de ses clients et qui plus est etait la maitresse de jared ce macho qui collectionne les femmes comme des chaussettes. Cette fille etait le genre a jouer de ses charmes pour s'attirer les faveurs de quelqu'un en feignant de ne pas s'en rendre compte avec son air innoncent il commençait meme a se dire que c'est a cause de ça qu'il avait reçus nombre d'éloges de la part de ses clients et ses employer et ses collaborateurs et marc n'etait pas dupe elle voulait en faire autent avec lui.

<elle se trompe de personne > se dit-il dans son fort interieure elle ne va pas l'avoir aussi facilement mais apparement son corps n'etait pas du même avis juste par la vision de son visage il sentait son corps se raidir, ses mucles se contracter et une chaleur au creux de ses reins qui annonçait la douleureuse exitation qui allait se manifester d'un moment a l'autre.

-- quesque vous voulez dire par vous savez de quoi je parle?

-- vous oubliez qu' hier j'etais a votre domicile? Et j'ai vue avec qui vous partiait?

-- je ne vous permet pas d'insinuer...

-- je n'insinue rien tout cole ,tout coïncide repondit- il avec un calme legendaire feignant l'indifference.

-- comment osez- vous...

-- je n'ose rien et je vous conseil de baisser de ton quand vous me parler pour votre securité, mais votre vie privé ne me regarde pas et je veux pas le connaitre vous etes une grande personne pour choisir ce qui est bon pour vous mais je vous pris de ne pas mélanger travail et plaisir et encore moins venir en retard parcque la veille vous avez fait je ne sais quoi c'est ma première et ma dernière avertissement je pense que vous avez bien compris mademoiselle.

Lisa sentit une colère lui monter mais s'avisa de faire une bétise d'autant plus qu'elle avait besoin de ce job maintenant plus que jamais.

Les paroles de marc lui avait transpercer le coeur pour une fois qu'elle se permettait de sortir avec quelqu'un on la traitait presque de pute cet homme etait le diable en personne et n'en avait rien a faire de personne avec lesquels il discuttait il etait odieux et orgeuilleux. lisa décida de rester professionnel et de ne jamais le contrarier meme si a cet instant precis elle avait envie de lui en coler une.

Il lui rappelait son père qui aussi ne se souciait pas de ce que les autres pouvait ressentir en leurs disant des mots blessants . a cette penser elle sentie ses larmes lui monter et s'empressa de repondre un:<oui j'ai compris> avant de se lever et d'aller dans son bureau où elle fondit en larme, elle ne pouvait pas lui permettre le luxe de la voir lacher.

-- ouvrez cette porte tout de suite entendit- elle a peine 2minutes apres son entrer dans son bureau.

Se forçant de reprendre une vois plus ou moins naturelle pour qu'il ne se rende pas compte qu'elle pleurait elle repondit:
-- aller vous-en je veux travailler en paix vous avez fini de m'humilier non? J'ai compris donc allez vous-en.

-- je vous rappel qu'ici c'est moi qui donne les ordres et pas le contraire donc je vous ordonne d'ouvrir cette porte tout de suite cria t-il a bout de patience.

Irresistible BossOù les histoires vivent. Découvrez maintenant