chapitre 36

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-- non je peux pas etre amoureuse de lui je le deteste, il n'a pas de manière, il est arrogant c'est un goujat et puis il est... Il est...

-- sexy???

-- non moche. Elle dit ce dernier mot sans elle même y croire.

-- wooaaw tu ne l'aime pas didonc . dit sa soeur se moquant d'elle.

-- c'est ce que je m'entete a t'explique mais tu comprend rien.

-- ok tu va recuperer ton sac demain?

-- ah!! Non c'est toi qui va recuperer mon sac demain et aussi mes affaires qui sont dans le bureau je veux pas le voir.

-- mais demain c'est le weekend il sera pas là.

-- il travail tout les jours on peut croire qu'il n'a que deux activité dans sa vie.

-- deux!!!? Comment ça deux? Quel autre activité?

-- les femmes.

-- n'exagère pas non plus esque tu a déjà vue avec une femme?

-- et pas qu'une plusieur. Tu ne lis pas la presse? Et tu te rappel de ce que sa mère a dit?

-- c'est la jalousie qui te fait parler maintenant.

-- QUOI!!!!? Attend moi? Elisabeth? Jalouse? Non mais laisse moi rire. Jalouse d'un collectionneur de femme? Arrete avec ça tu veux bien?

--ma pauvre si tu savais que ça ce vois sur ton visage regarde cette mine outré que tu fait ça montre que tu feins de ne pas être jalouse.

-- tu a finie? on peut changer de sujet??

-- je le savais.

-- tu savais quoi?

-- que tu voudrai changer de sujet puisque celui-ci te touche de trop prêt.

-- où tu va cherche toutes ces bétises?

-- tu peut dire que ce sont des bétises mais tu le sais que trop bien que ça ne les sont pas.

-- parle toujours moi je vais dans ma chambre si tu m le permet, je me sens fatiguer.

-- vas-y la fuyeuse du siècle.

-- parle toujours.

Lisa se dirigea vers sa chambre pour prendre un bon bain.

Après s'etre essuyer elle se jetta sur le matelas pour se reposer mais le someil ne venait pas. A chaque fois qu'elle fermait les yeux elle révoyait cette image de carmen et marc dans le bras l'un de l'autre et les larmes coulait d'elles meme sans qu'elle ne le veuille, son coeur se serrait et sa gorge se dessechait.

Elle essayait d'avaler cette boule qu'elle avait dans sa gorge mais rien n'y faisait. Son coeur était meurtrie elle ne savait pas comment controler ce flot d'emotion douloureux qui la submergeait.

Elle qui ne voulait pas admettre qu'elle etait amoureuse et ne voulait pas tout court etre amoureuse commencait a y croire.elle ne controlait plus les douleurs de son coeur et ses sentiments et ne comprenait pas pourquoi ça faisait tellement mal puisqu'ils n'etaient même pas ensemble il avait quand même le droit de faire ce qu'il voulait.!!!. Et puis c'est...non c'etait son patron.

-- quesqui ce passe avec toi?? Traitre de corps.

Elle se recroqueville sur elle même et commença a pleurer tout les larmes de son corps. Son coeur battait a mille a l'heure ce qui etait mauvais signe par rapport a son arythmie.
Elle se leva et commença a faire les exercices réspiratoires qu'on lui avait montrer mais rien y faisait.

-- le...le..le...leaaaa.

Elle se leva avec difficulter pour se diriger vers la porte mais heureusement lea avait entendue et s'etait précipiter dans sa chambre

-- lisa lisa quesqui se passe??? Mais tu fait une crise??

Lea pris lisa dans ses bras et commença et lui montrer comment réspirer comme elle le faisait quand elles étaient encore enfants.

-- respire... Respire encore... Encore.

Lisa respirait profondement a chaque fois que sa soeur le lui disait.

-- CHERIE??? JE SUIS LÀ.

--NOUS SOMMES LÀ VIENS M'AIDER VITE.

Hereusement que paul était renter du travail.

-- oh!! Mon Dieu lisa... Quesqu'elle a?

-- une crise d'engoisse appel l'ambulance vite elle n'arrive plus a reprendre son souffle.

-- non vite on la porte jusqu'a la voiture c'est plus rapide on l'emmene nous même a l'hopital.

-- a trois on la porte en même temps. Un...deux... Trois.

Il l'emenère jusqu'a la voiture que paul le mari de léa s'empressa de démarrer et léa resta puisqu'elle pouvait pas laisser christian seul a la maison et elle n'avait pas le temps de le prendre et revenir.

Le temps était compter.

Arriver a  l'hopital les bracardiers se précipitèrent vers la voiture et lui mirent le tube respiratoire et lui procurèrent les premiers soins ce qui la stabilisa un peu et la conduisirent dans une salle puis dirent a paul de n'est pas y entrer .

Paul resta dans le couloir et dans 250minutes léa était là.

-- où est christian ?

-- je l'ai laisser a ta mère. Comment esqu'elle va?

-- le docteur n'est pas encore sorti mais ne t'enfait pas elle est forte elle va s'en sortir.

Léa était en larme. Elle n'avait jamais vue lisa dans un tel état dépuis leurs enfances elle se sentait coupable.

-- c'est de ma faute quand elle est venue a la maison on a parler des futilité aulieu de prendre des précautions pour que ça ne ce répète pas.

Paul la pris dans ses bras.

-- non ma cherie ne te culpabilise pas, c'est pas toi ,c'est une maladie c'est tout,ce n'est de la faute de personne.

-- si, c'est sa faute si elle est là dit elle en se libérant des bras de son mari... Je réviens tout de suite.

-- QUOI !?? Mais où vas tu?

-- le voir repondit t-elle courant vers la sortie.

-- attend moi je viens. Repliqua t-il ne comprenant même pas ce qui ce passait.

-- non reste avec elle.

-- tu pense que je vais laisse ma femme aller je ne sais où seul et sans défence? On part ensemble.

-- ok monte alors.

-- non c'est moi qui vais conduire tu es trop rémonter en ce moment et puis tu m'explique tout en cours de route.

-- ok demarre.

Chapitre 36 disponible. Bonne lécture.
A demain encore.

Vos avis et n'oubliez pas de participer et me donner vos idées.


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