Rihanna est à l'apogée de sa carrière. Elle tout ce qu'elle veut elle remplie des stades, elle est l'égérie de plusieurs marques. Et c'est la cerise sur le gâteau quand elle apprend qu'elle est la première femme noire égérie : de la luxueuse marque...
Bon comme vous, vous en doutiez, j'ai finalement décidé de dormir avec lui. Mais il s'est strictement rien passer, justes quelques petits câlins. Depuis hier une atmosphère bizarre régnait entre nous, en fait depuis hier soir, on n'avait pas vraiment discutés. Mais j'ai besoin de lui, comme lui, il a besoin de moi. Après avoir réglé deux trois petites choses, avec Rackim, on devait prendre le jet direction New-York ce soir. Mon chez-moi m'avait tout de même manqué. Sans vous mentir, j'appréhende énormément notre retour. J'ai peur de perdre la relation que l'on avait construite ici. Cette connexion que l'on a, et que l'on peut trouver avec personne d'autre ; du moins, je l'espère. Lors de notre dernier dîner à Paris tout le monde discutait ou rigolais et moi : j'étais loin dans mes pensées.
Rackim : qu'es-ce qui se passe ?
Je lui souris et lui répond " rien ", il soupira et garda son regard sur moi.
Rackim pov :
je ne sais pas ce que Rih a, mais depuis le début du dîner elle ne parle pas. Elle lâche deux trois sourires de gauche à droite. Et quand je lui demande qu'es-ce qu'il se passe elle me répond "rien".
Alors que je sais qu'il y a un bien, quelque chose qui l'a perturbe. À l'aéroport, sur le chemin pour monter dans le jet, je la vois marcher devant nous. Donc je décide de la rejoindre sans dire un mot et de passer mon bras autour de son coup. Elle glisse sa main autour de taille et nous avançons ensemble.
" Contente de rentrer à New-York ? "
Rih : Bien sûr, mon lit me manque tellement et toi ?
Moi : est-ce une question ? Lui répondais-je en rigolant. J'ai toujours vécu à New-York. Pour moi, c'est la meilleure ville du monde, tu y trouves de tout et à n'importe quelle heure. Surtout, avant que je devienne connu, quand j'habitais précisément à Harlem, je me déplaçais tout le temps à vélo. Comme on dit, je vivais ma meilleure vie, a traîné tard le soir avec les mecs de mon quartier a rigole, parler d'argent, de meufs et à fumer blunt sur blunt. À faire quelques plans sous pour s'en sortir. On ne préoccupait pas vraiment de ce qui nous entourait. On était dans notre bulle. Parfois, ça me manque. L'anonymat me manque.
Rih : et moi alors je suis dans le showbiz depuis un peu près de l'âge de mes 18 ans, alors, croit moi l'anonymat me manque, c'est que quand je retourne sur mes terres natales que je peux me reposer. D'un coup, elle me regarde ;" ça ne veut pas dire pour autant, que je n'aime pas New-York hein". Je souris.
Moi : ne t'inquiète pas, je comprends.
On décollait enfin. En rentrant à New-York, j'allais reprendre ma vie, voir ma famille, mes potes et mes sorties en boîtes. Mais pensez même pas qu'avec Rihanna c'est qu'un flirt: cette connexion dont l'on a moi et elle est unique. Plus sérieusement, je m'exprime jamais sur ce sujet (parce que pour moi, c'est un truc de meuf de parler de sentiments ). Mais Rih elle, est l'une des plus belles femmes que j'ai rencontré de plus elle est intelligente, raffinée, humble d'esprit et elle un style déclassé. C'est une femme avec un grand F : quand elle rentre dans une pièce tous les regards, sont posés sur elle. Alors vous imaginez l'effet qu'elle me produit lorsque elle me regarde dans les yeux. Je sais que ce sentiment est réciproque, mais je sors d'une relation très compliqué tout comme elle. À la base, je ne voulais clairement pas me mettre en couple. Depuis plusieurs mois, j'enchaînais relations d'un soir sur relations d'un soir. Sans prise de tête. Et elle arrive elle chamboule tout dans ma tête, elle me fait revenir à la réalité. Que je devrais penser à me mettre en couple sérieusement.
Elle était assise vers l'avant et discuter avec sa copine Mélissa. Et moi, j'étais là a la regarde en me disant que Dieu avait créer de très belles femmes sur terre. Au moment, son regard se pausa sur moi, j'en profitai de lui faire signe avec la main pour qu'elle puisse venir vers moi. Elle avança en soupirant et s'arrêta devant moi mettant sa main sur sa hanche.
Moi : viens t'allonger près de moi, on va discutter. J'étais allongé vers l'arrière du jet. Elle soupira pris un duvet qui se trouvait sur un fauteuil et s'allongea près de moi. Je m'assurai que l'on était tout les deux bien couvert. . Elle mit sa tête sur mon torse, pendant que je lui caressais son épaule les yeux fixés vers le ciel.
Rih : tu veux me parler de quoi ?
Moi : de nous.
Rih : à parce qu'il y a un nous maintenant ? Disat-elle elle levant sa tete vers moi. Je la regardai.
Moi : Robyn, ce n'est pas parce que je n'en parle pas que je n'y songe pas. Je... Tu vois... Moi et toi... Merde, je ne sais pas comment dire ça... Je me mis à rire.
Rih : . Oui, je le sais. Elle sourit. Notre connexion était tellement forte. Je n'avais pas besoin de dire des mots qu'elle savait.
Moi : Parfait, donc bien sûr que oui il y a un nous. Je tiens à toi, ça tu le sais et je ne veux pas que la chose que l'on a créée à Paris puisse s'arrêter même New-York. Pas maintenant, pas après. J'ai besoin de toi comme tu as besoin de moi. Je veux que notre relation en elle-même puisse évoluer. On sort tous deux de deux relations compliquées donc entre nous pas de mensonges ni de cachotteries. Je te prierai d'être la plus honnête avec moi. Et moi, je ferrai en sorte de réparer tout ce que l'on a détruit en toi. Si toi et moi demain on essaye quelque chose ; sache que ça ne sera pas le temps de quelques mois. Je veux que l'on soit sur la même longueur d'onde. J'ai envie de faire les choses bien avec toi. Concernant le capte, on ne le franchira pas maintenant. Pour deux bonnes raisons. La première, c'est que l'on est tout les deux pas près a ça. Et on risquerait de tout détruire. La deuxième et que tout simplement si je t'embrasse, tu voudrais jamais que je m'arrête.
Rih : hein ?! Que tu t'arrêtes ? Dit elle d'un air interrogative.
moi : sérieusement, tu ne voudras pas que j'arrête de t'embrasser après ça pourrait aller trop vite. Et je serai comme une drogue pour toi ... Une addiction.
Rih : chaque chose a son temps alors.
Moi : ouais, et crois moi ce jour viendra. En guise de réponse, elle me pauser un baiser très délicat sur ma joue. Ça peut aller très vite.
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